Où l'on voit comment s'engraissent les marchands de sommeil, comment galère une assoc pour "sauver les Chênes Pointus", comment les petites gens se font arnaquer, comment les agences immobilières, les notaires trichent et prospèrent sur ce fond de misère... Les boules. Une cité pourrie (au sens propre) c'est déjà pas marrant, mais quand on est proprio, on est tout à fait enchaïné comme un esclave.
a écrit :Reportage sur France 3 : “Un Français sur deux réside aujourd’hui dans des copropriétés privées. Pourtant, pour certains d’entre eux, l’accession à la propriété a tourné au cauchemar. Entre des grands ensembles vieillissants ou mal conçus, ou de petits immeubles vétustes en centre-ville, ces petits propriétaires peinent à s’en sortir.
Leurs revenus modestes ne leur permettent plus de payer leurs charges, devenues écrasantes. Caroline Benarrosh est allée à la rencontre de ces personnes à Clichy-sous-Bois, en banlieue parisienne, et à Brest, en Bretagne. Une situation inquiétante, qui commence à préoccuper les pouvoirs publics.”
“Ils sont les oubliés de la crise du logement. Qu’ils aient acheté dans de grands ensembles vieillissant et mal conçus, ou dans de petits immeubles vétustes des centres-villes, ces petits propriétaires modestes sont souvent pris au piège de leurs rêves, écrasés par le poids des charges. Nous les suivons à Clichy-sous-Bois, en banlieue parisienne, où les appartements ne valent plus grand chose, et à Brest, dans le centre ville rongé par un champignon dévastateur, la mérule…”
A Clichy sous bois, la cité des Chênes pointus, un extrait :
http://www.ligne-de-mire.fr/proprietaires_mais_pauvres.php