
Hier était le dernier jour de l'exposition Les nouvelles couleurs de l'industrie au Musée de la carte à jouer d'Issy-les-Moulineaux.
Elle présentait des photographies industrielles d'Alain Pras ainsi qu'un reportage de Thierry Dehesdin sur la Tiru, la grosse usine de traitement des ordures ménagères dont les cheminées au grand panache pouvaient servir de repère en région parisienne.
Elle montrait des paysages industriels, les structures gigantesques des outils, des usines que les hommes ont produit pour... produire. Rappel que, malgré les désirs de certains qui voudraient qu'elles n'existent plus, ou en tout cas la classe ouvrière pour les faire fonctionner, qu'elles sont bien là, y compris en France. Comme le souligne le texte de présentation, cela prend ainsi le contrepied de photos nous montrant jachères industrielles et hangars désaffectés.
De belles photos de ces ensembles qui nous fait apprécier ces représentations du génie humain et dont les structures et les couleurs vives peuvent les rendre très graphiques. On peut y voir une immense excavatrice de lignite, ou une partie d'une des plus grosses usines du monde de plastique (polystyrène) à Carlville Louisiane, qui appartient à Total. Le texte explique que des usines aux tonalités sombres et grises ont pris des couleurs dans les années 80 pendant que d'autres fermaient.
On pourrait être sceptique sur le fait qu'il n'y a que rarement présence humaine dans ces mastodontes, accréditant l'idée que les usines tourneraient toutes seules. Mais, outre, le gigantisme qui rend tout présence humaine de toute façon à peine visible, elle va avec le fait que l'automatisation ont rendu nombre de ces usines (métallurgie, chimie etc.) souvent désertes dans le cadre d'une marche normale. Le photographe nous montre néanmoins quelques ouvriers, en tant que sujets ou non.
Ensuite, le reportage sur la Tiru nous montre plus à voir des hommes au travail. S'ensuit une exposition sur l'industrie locale.
Le site d'Alain Pras
Il y a un bouquin Images de fer mais il était cher (60 €).
Elle présentait des photographies industrielles d'Alain Pras ainsi qu'un reportage de Thierry Dehesdin sur la Tiru, la grosse usine de traitement des ordures ménagères dont les cheminées au grand panache pouvaient servir de repère en région parisienne.
Elle montrait des paysages industriels, les structures gigantesques des outils, des usines que les hommes ont produit pour... produire. Rappel que, malgré les désirs de certains qui voudraient qu'elles n'existent plus, ou en tout cas la classe ouvrière pour les faire fonctionner, qu'elles sont bien là, y compris en France. Comme le souligne le texte de présentation, cela prend ainsi le contrepied de photos nous montrant jachères industrielles et hangars désaffectés.
De belles photos de ces ensembles qui nous fait apprécier ces représentations du génie humain et dont les structures et les couleurs vives peuvent les rendre très graphiques. On peut y voir une immense excavatrice de lignite, ou une partie d'une des plus grosses usines du monde de plastique (polystyrène) à Carlville Louisiane, qui appartient à Total. Le texte explique que des usines aux tonalités sombres et grises ont pris des couleurs dans les années 80 pendant que d'autres fermaient.
On pourrait être sceptique sur le fait qu'il n'y a que rarement présence humaine dans ces mastodontes, accréditant l'idée que les usines tourneraient toutes seules. Mais, outre, le gigantisme qui rend tout présence humaine de toute façon à peine visible, elle va avec le fait que l'automatisation ont rendu nombre de ces usines (métallurgie, chimie etc.) souvent désertes dans le cadre d'une marche normale. Le photographe nous montre néanmoins quelques ouvriers, en tant que sujets ou non.
Ensuite, le reportage sur la Tiru nous montre plus à voir des hommes au travail. S'ensuit une exposition sur l'industrie locale.
Le site d'Alain Pras
Il y a un bouquin Images de fer mais il était cher (60 €).