... américain Charles Denby en souscription aux éditions Plein-Chant.
http://npnf.eu/IMG/pdf/annoncedenby.pdf
Depuis le soir où, à la cantine de la « Patte-d'Oie », Josèpha coucha contre un panneau de la cuisine, sur deux bottes de paille, tout ce que j'avais pu lui trouver, elle fut mon amie ardente, mais mon amie, seulement. J'étais riche. La charrette à bras ne me pesait guère. Débauché de la « Patte-d'Oie », je bricolai, garçon livreur, à l'imprimerie à Saurer. Et je partis, sans hargne, faire mon service militaire. Un an, comme fils de veuve, à Beauvais-la-Cathédrale. Nous nous écrivions quand nous avions des sous pour acheter des timbres : moi, des lettres empêtrées de Beauceron, elle, des pages courtes qui m'enchantaient, me brûlaient, et dont j'étais orgueilleux. Misérable, et ne se repentant point d'avoir dépensé 400 francs pour la pierre funéraire du vieux Moracchi, elle gagnait 25 sous par jour dans une maroquinerie, demeurait rue de la Roquette et ne demandait de pain à personne.
com_71 a écrit :Oui, à l'époque de ma lecture, le dernier chapitre cité ci-dessus (le 16), avait particulièrement retenu mon attention... mais attendons la parution en français.
Byrrh a écrit :si jamais il s'avère qu'il y a eu des erreurs ou de révoltantes sottises, il est plutôt sain de les désigner comme telles et de ne pas trouver des excuses à ces dirigeants d'autrefois. Parce que des excuses, on finit toujours par en trouver, hein ?...
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