Autrement dit Dirty pretty things.
C'est du Frears.
Rarement déçu avec Frears.
L'immigration clandestine, le travail au noir, les coloc compliquées, prédation sexuelle et le trafic d'organes à Londres. Mais aussi ent'aide et solidarité élémentaire et pudeur des sentiments.
Frears nous épargne une fin horrible comme une fin à l'eau de rose.
C'était sur Arte hier soir précédé par le Samouraï. Qu'est-ce que ça a vieilli.