Demain c'est samedi

Rien n'est hors-sujet ici, sauf si ça parle de politique

Message par jeug » 31 Août 2007, 21:28

Lundi c'est la Lune, mardi Mars, mercredi Mercure, jusque là, ça va.
Mais alors jeudi = Jupiter, vendredi Vénus et surtout samedi Saturne, pour ces trois-là, ç'a été sacrément déformé !
Quelqu'un sait comment ?
(en anglais, c'est beaucoup plus proche : saturday. Mais samedi ...)
jeug
 
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Message par Thersite » 01 Sep 2007, 02:34

Ca va être indigeste, mais j'essaie de sélectionner et de présenter en ce saturday morning :

a écrit :Étymol. et Hist.

Premières attestations :

1. Déb. XIIe s. samadi, samedi (St Brendan, éd. E. G. R. Waters, 405 et 1417);
2. ca 1200 (Dialogue Grégoire, éd. W. Foerster, p. 48: lo tressaint sethmedi de la paske); 1690 (FUR.: le Samedy Saint).


Étymologie :

D'un lat. pop. *sambati dies (prob. diffusé à partir de milieux chrétiens hellénisants tels que Lyon et Trèves, d'où aussi l'all. du sud "Samstag"), composé de dies « jour » et sambati, génitif d'un *sambatum, emprunté au grec "sambaton", variante de "sabbaton" (sabbat*) attesté au IVe s. sous la forme "Sambatô" (cf. M. PFISTER, Einf. in die romanische Etymologie, p. 80).
Au IVe s., sous l'influence du christianisme, *sambati dies s'est substitué à l'ancien dies Saturni « jour de Saturne » (de même que dies dominicus « jour du Seigneur, dimanche » à dies solis « jour du soleil ») dont les représentants survivent en anglais Saturday, en néerl. zaterdag, dans les dial. du nord-ouest de l'Allemagne Sater(s)tag ainsi qu'en bret. disadorn et dans les lang. celt. (PFISTER, op. cit., pp. 78-84).
La forme sethmedi (de même que semedi) est probablement due à l'influence de l'ancien français setme, seme « septième » (< lat. septimus).

Source : le TLFinformatisé

Comme les mots grecs ne passaient pas, je te les ai retranscris en alphabet latin et j'ai complété les abréviations... Ca me dit ! :wavey:
Thersite
 
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Message par Thersite » 01 Sep 2007, 02:50

a écrit :
SAMEDI, subst. masc.

Septième jour de la semaine dans le calendrier ecclésiastique, venant après le vendredi et avant le dimanche. "Les cours du soir ou du samedi peuvent être donnés dans des établissements scolaires et universitaires déjà existants, par un personnel d'enseignement qui est sur place" (Encyclop. éduc., 1960, p. 286). V. esquinter rem. a ex. de Queneau, lundi A 2 ex. de Maupassant.

P. méton. Réunion qui se tient le samedi. Les plus grands noms de France ne dédaignaient pas de se rencontrer aux samedis de la baronne Hemerlique (A. DAUDET, Nabab, 1877, p. 126).

RELIG. JUIVE. [Corresp. au sabbat (v. ce mot A 1)] Le samedi un juif ne peut donner ni recevoir de l'argent (THARAUD, An prochain, 1924, p. 66).
Samedi saint. Samedi de la semaine sainte, veille de Pâques. "Le samedi saint, l'intérieur de Saint-Jean de Latran donnait à Madame Gervaisais le spectacle de la piété fauve qu'y apporte, avec sa foi d'animal sauvage, le peuple de la campagne de Rome" (GONCOURT, Mme Gervaisais, 1869, p. 90). "Avec le samedi saint et le chant de l'Alleluia, les cloches sont de retour" (MENON, LECOTTÉ, Vill. fr., 1, 1954, p. 61).

Loc. fig., pop., fam. tre né un samedi. tre paresseux (d'apr. LITTRÉ).


a écrit :SABBAT, SHABBAT, subst. masc.

A. RELIG. JUIVE. [Sabbat et, plus gén. dans le monde juif dep. la 2e guerre mondiale, shabbat]
1. Septième jour de la semaine; samedi, jour du repos; ensemble des prescriptions liées à ce jour. Observance du s(h)abbat; célébrer, pratiquer, transgresser, violer le s(h)abbat; liturgie, lumières, repas du/de s(h)abbat. C'est vendredi, et l'heure de la première étoile. (...) Le sabbat vient de commencer (THARAUD, Jument err., 1933, p. 11). Que la sorcellerie puisse être comparée à la transgression du Shabbat (à l'opposé de ceux qui appelèrent délicatement Shabbat les rendez-vous des sorcières!) est assez remarquable (E. LEVINAS ds L'autre dans la conscience juive, Paris, P.U.F., 1973, p. 66). V. instituteur I ex. de P. Leroux.
P. anal. Rompre le sabbat, c'est-à-dire aller à la campagne le dimanche, est un des plus grands péchés aux yeux des méthodistes (STENDHAL, Corresp., 1826, p. 435).
2. P. ext.
La septième année; la fin d'un cycle de sept fois sept ans. La remise des dettes, dans l'année sabbatique, libère l'économie des contraintes de l'argent (...). Le sol, le débiteur, l'esclave sont « rédimés » de leurs aliénations par les retours périodiques du sabbat (Univers écon. et soc., 1960, p. 64-8).
P. méton. La mise en jachère de la septième année prescrite par la Loi juive. Le Lévitique, XXV, 2 à 7 (...) institue le Shabbat de la terre (G. FRIEDMANN ds Le Shabbat dans la conscience juive, 1975, p. 85).
Le septième millénaire. Jésus ne faisait que prêcher (...) que le temps était accompli, et que le septième millénaire, ou le grand Sabbat divin, allait venir: c'était là ce que l'on appelait le règne, ou le règne de Dieu, ou le royaume des cieux, ou enfin la résurrection (P. LEROUX, Humanité, 1840, p. 751). Les six mille années de l'histoire du monde correspondent aux six jours de la semaine qui conduisent au grand Sabbat cosmique, à la rédemption qui doit se produire le septième jour du monde (G. SCHOLEM, Le Messianisme juif, 1974, p. 131).
B. Sabbat. [À cause de l'interprétation malveillante du sabbat juif faite par les chrétiens (v. supra ex. 1)]
1. a) OCCULT. Assemblée nocturne de sorciers et de sorcières, tenue dans un lieu désert souvent élevé, dans laquelle le culte rendu au diable, les danses et les orgies rappellent ceux de l'antiquité païenne; pratiques auxquelles on s'y livre. Nuit de sabbat; ronde de sabbat. Rouletabille, frappé au cœur, jeta un cri sourd et il lui sembla que tout se mettait à danser une danse de sabbat autour de lui (G. LEROUX, Roul. tsar, 1912, p. 125). Cette guerre était foncièrement amie des ténèbres. Elle avait dans ses ancêtres la nuit de Walpurgis et le sabbat des nécromants (ROMAINS, Hommes bonne vol., 1938, p. 143). V. décharné II A 1 a ex. de Sand, farfadet A ex. de Béranger, messe A 4 ex. de Péladan.
Faire le sabbat. La sorcellerie était fort pratiquée dans la contrée (...) on y faisait beaucoup le sabbat. Les sorcières y allaient (...) sur un manche à balai ou changées en poules noires (A. FRANCE, Vie littér., 1892, p. 95).
Aller au sabbat. Parle-t-on des sorciers? Du sabbat? (...). Ma grand'mère disait que sa mère les avait vues aller au sabbat et qu'il y avait plein de petites épingles (BARRÈS, Cahiers, t. 6, 1907, p. 97). V. blâmer ex. 10.
P. méton. Danse de sorcières. Tous les démons de l'Atlantique, Cheveux épars et bras tordus, Dansent un sabbat fantastique Autour des marins éperdus (LECONTE DE LISLE, Poèmes barb., 1878, p. 210).
8) Représentation d'un sabbat de sorciers. Des peintures (...) comme certains Sabbats de Goya (ARTAUD, Théâtre et son double, 1938, p. 144).
2. P. anal., fam., vieilli
a) Réunion bruyante, licencieuse; orgie. Mes petites actrices voient arriver avec ennui le jour où elles ne vont plus jouer et ne plus faire leur sabbat de tous les soirs dans les combles du théâtre (GONCOURT, Journal, 1889, p. 918). J'admire que chez les Goncourt le récit de leurs médiocres orgies corresponde très exactement à l'idée qu'Emma Bovary et que le pharmacien Homais se faisaient du sabbat des étudiants parisiens (MAURIAC, Mém. intér., 1959, p. 98). V. bestial ex. 5.
Loc. fig. Un sabbat de + subst. Synon. une orgie de (v. orgie C). Véritable sabbat de couleurs et de formes, Où la cruche hydropique, avec ses flancs énormes, Semble un hippopotame (GAUTIER, Albertus, 1833, p. 128).
8) Agitation désordonnée et bruyante; vacarme. Synon. cirque (v. ce mot II A 3), ramdam (pop.). [Elle] s'était aperçue enfin que sa sœur cadette tapait sur le piano, et elle lui allongeait des claques, elle la flanquait à la porte, giflant et poussant dehors par la même occasion la plus petite, avec sa casserole. Ce fut un sabbat infernal (ZOLA, Pot-Bouille, 1882, p. 310). Le sabbat sans queue ni tête que les hommes menaient sur terre (...) n'était pas digne d'occuper le philosophe (BEAUVOIR, Mém. j. fille, 1958, p. 228). V. diable I C 3 c ex. de Colette.
Faire/finir son sabbat. Voilà Madame qui se remue; elle va faire son sabbat: faut que j'y aille (BALZAC, Goriot, 1835, p. 50). Et il y eut une bataille féroce, les deux sœurs tombées par terre, se dévorant, hurlant (...) Tonnerre! (...) Voulez-vous bien finir votre sabbat, ou je vous flanque toutes à la porte! (ZOLA, Fécondité, 1899, p. 151).
Un sabbat de + subst. Un bruit assourdissant de. Dans un sabbat de sabots, ils grimpaient la côte (LA VARENDE, Nez-de-cuir, 1936, p. 43). Toute la maison s'est mise à hurler, à feuler, à miauler, un horrible sabbat de gémissements, de sanglots, de plaintes rugissantes (GENEVOIX, Avent. en nous, 1952, p. 43).
REM. 1. Chab(b)at, (Chabat, Chabbat)subst. masc., var. [Corresp. à supra A] Le jour du chabbat, le Juif se désengage, et il n'y a engagement véritable que s'il y a parallèlement à lui une possibilité de désengagement (J. EISENBERG, A. ABECASSIS, À Bible ouverte, 1978, p. 189). 2. Sabbatiser, verbe intrans., vx. Célébrer le sabbat (v. supra A 1). Dieu s'est rendu mon lieu de repos. Comment négligerois-je de sabbatiser? (SAINT-MARTIN, Homme désir, 1790, p. 122). 3. Sabbatisme, subst. masc., vx. Observance du sabbat. [Plutarque] parle de sabbatismes, de prosternations, de honteux accroupissements, etc. Lisez le passage entier, et vous ne saurez s'il s'agit de dimanche ou de sabbat (J. DE MAISTRE, Soirées St-Pétersb., t. 2, 1821, p. 188).
Prononc. et Orth.: [saba], [-]. Ac. dep. 1694: sabbat. Étymol. et Hist. 1. Ca 1170 sabat « jour de repos des juifs » (Rois, éd. E. R. Curtius, p. 209 [II Rois, 16, 18]); 2. [2e moit. XIVe s. « agitation bruyante, vacarme » (FROISSART, s. réf. ds BL.-W.1-5)] 1451 mener le sabbat (CHARLES D'ORLÉANS, Ballades, CI, 19 ds Poésies, éd. P. Champion, p. 157: les Anglois menoient leur sabat); ca 1485 (Mistere Viel Testament, éd. J. de Rothschild, 16808: il y auroit ung beau sabat); 3. 1508 sabbat « assemblée nocturne de sorciers et de sorcières » (E. D'AMERVAL, L. de la diablerie, éd. Ch. F. Ward, f o 29b: les jours que je tien mon sabbat). Empr. au lat. chrét. sabbatum, lui-même empr. au gr. et celui-ci à l'hébr. « sabbat », dér. du verbe « s'arrêter; se reposer » (cf. Gen. 2, 2-3). Au sens 3, cf. le lat. médiév. sabbatum (ca 1475, J. VINCENTII ds J. HANSEN, Quellen und Untersuchungen zur Geschichte des Hexenwahns und der Hexenverfolgung im Mittelalter, Bonn, 1901, p. 229: demonum sabbata; ca 1500, S. CHAMPIER, ibid., p. 257: demoniaca sabbata). On a également employé, pour désigner les assemblées de sorciers et de sorcières, le mot synagogue (ca 1460 ds HANSEN, op. cit., p. 189; 1586 senegogaz, 1609 signaguogue ds PIERREH.; cf. FEW t. 12, p. 493), en lat. synagoga (1438 ds HANSEN, p. 462; cf. P. F. FOURNIER, Étymol. de sabbat ds Bibl. de l'Éc. des Chartes, t. 139, 1981, pp. 247-249). En ce qui concerne la dégradation sém. qu'ont subie les mots sabbat et synagogue, cf. brouhaha, ramadan, ramdam. Fréq. abs. littér.: 260. Fréq. rel. littér.: XIXe s.: a) 568, 8) 269; XXe s.: a) 409, 8) 229. Bbg. WARTBURG (W. von). Sabbatum: Samstag. In: [Mél. Orr (J.)]. Manchester, 1953, pp. 299-300.
Thersite
 
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Message par Thersite » 01 Sep 2007, 02:51

Argh, j'avais oublié de regarder pour jeudi et vendredi !

a écrit :JEUDI
Étymol. et Hist.
1119 juesdi (PHILIPPE DE THAON, Comput, 468 ds T.-L.).
Du lat. Jovis dies proprement « jour de Jupiter » (cf. die Jovis IIIe s. ds TLL s.v. dies, 1060, 52).
Le type dies Jovis s'est maintenu dans le catalan dijous, l'occitan et le fr.-prov. dijou (anc. dijous) et l'a. fr. dioes (XIIIe-XIVe s. en Wallonie, Flandre, Picardie, v. GDF. et HENRY, 1960, pp. 23-25); le type Jovis dies vit en fr. et dans l'ital. giovedi et le type Jovis dans l'esp. jueves, le prov. et le fr.-prov. jou (anciennement jo(u)s), ainsi qu'en roumain, etc... (v. FEW t. 15, pp. 78-79; v. aussi lundi).


a écrit :VENDREDI
Étymol. et Hist.
1119 vendresdi (PHILIPPE DE THAON, Comput, éd. E. Mall, 571); 1260 vendredi de croiz aouree « vendredi saint » (ÉTIENNE BOILEAU, Mestiers, 26 ds T.-L., s.v. aorer); ca 1300 le saint Vendredi (GUILLAUME DE SAINT-PATHUS, Vie de St Louis, éd. H. Fr. Delaborde, p. 39); 1671 vendredy saint (POMEY).
Du lat. Veneris diem propr. « jour de Vénus »; cf. a. fr. a. wallon divendres [diem Veneris] (ca 1130 Ver del Juise, 451 ds T.-L.), ce dernier type dominant dans les pays septentr. et mérid. (cf. 1391, Gaillac, divendres d'apr. A. VIDAL ds R. Lang. rom. t. 42, p. 220); pour la localisation précise et la crit. des ex. de ce type en a. fr., v. HENRY, pp. 25-31. Fréq. abs. littér.: 3 474. Fréq. rel. littér.: XIXe s.: a) 4 470, 8) 9 677; XXe s.: a) 5 626, 8) 2 390. Bbg. BAEHR (R.). Zu den rom. Wochentagsnamen. In: [Mél. Rohlfs (G.)]. Halle, 1958, pp. 26-56.


Dernière précision du dico : les orthographes "jeudy", vendredy et "samedy" ont été fixé dans Le dictionnaire de l'Académie françoise en 1694, la terminaison s'est changée en "-di" avec la réforme de l'orthographe de 1740. Sinon marrant le verlan wallon "divendres" ! :hinhin:
Sinon, les deux émoticônes à lunettes noires ne sont pas de moi, mais des abréviations du dico non supportées par le format du message...
Thersite
 
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Message par jeug » 01 Sep 2007, 09:53

Merci Thersite.
Pour samedi, en fait, contrairement à ce que je croyais il n'y a pas de rapport entre samedi et saturne puisqu'on est passé (au IVème siècle) de dies saturni (saturday en anglais) à Sambati dies, jour du Sabbat.
jeug
 
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Message par Thersite » 01 Sep 2007, 22:07

(Pumsz @ samedi 1 septembre 2007 à 21:12 a écrit : Et en anglais et dans toute les langues germaniques (allemand, néerlandais, suèdois, dannois, norvégien, islandais... etc)

Mercredi : Wednesday : en référence à un dieu germanique dont je ne me souviens plus le nom. Woed ou un truc du genre.
Jeudi : Thursday : en référence au dieu germanique Thor.
Vendredi : Friday : en référence au dieu germanique Freyja.

Passionant non ? :smile:
Oui. (désolé pour les afficionados du débat contradictoire)
Wednesday = Woden's day, c'est-à-dire le jour d'Odin (ou Wotan, ou Woden)...
Je ne connais pas les autres langues que tu cites, mais le mercredi allemand Mitt-woch signifie simplement "milieu de semaine"...
Passionant en tout cas. :wavey:
Thersite
 
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Message par Ottokar » 02 Sep 2007, 09:50

Oui c'est amusant ces dénominations, car de tous les découpages du temps, la semaine (regroupement des jours en paquets de 7) est le seul à ne pas avoir de base "naturelle" : le jour est la rotation de la terre, le mois la rotation de la lune (approximativement) l'année la révolution atour du soleil, la semaine, rien... on a eu des "semaines" de 10 jours (les décans des égyptiens, des assyriens et mésopotamiens, repris dans les décans des astrologues) en 8 jours ou en 7. Sept est le nombre de "planètes", objets errants que l'on peut voir à l'oeil nu, et qui ne sont pas toutes des planètres, mais que les anciens distinguaient des étoiles car leur place bougeait dans le ciel : le soleil et la lune, puis les 5 planètes du système solaire que l'on peut voir sans lunette (les seules qu'on connaissait jusqu'à la renaissance) : Jupiter, Saturne, Mars, Venus et Mercure. D'où les noms des 7 jours chez les Romains.
Ottokar
 
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Message par titi » 02 Sep 2007, 09:51

ch'tite question : comme la plupart des mythologies (et religions) se sont faites en récupérant les mythologies (et religions) existantes, est-ce finalement plus proche que cela ? les dieux ne sont ils pas similaires ?
titi
 
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