ta ta taaaaaaaaaa, tatataaaaaaaaaaa

Rien n'est hors-sujet ici, sauf si ça parle de politique

Message par amanda » 18 Juin 2006, 18:59

Ouais en plus c'est à l'oral le jeu et Lepers il demande pas d'épeler que je sache, e mes suis faite avoir sur Kroutchev, fallait l'écrire genre en Russe mais sans l'alphabet Cyrillique :hum:
Encore un coup des informaticiens qu'ont développé le programme :hinhin:
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Message par ianovka » 22 Juin 2006, 15:45

Qui dit mieux ?



:hinhin: :hinhin: :hinhin: :hinhin: :hinhin: :hinhin: :hinhin:
"Le capital est une force internationale. Il faut, pour la vaincre, l'union internationale, la fraternité internationale des ouvriers." Lénine
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Message par Bertrand » 22 Juin 2006, 16:57

Pfffffffff
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Message par Bertrand » 22 Juin 2006, 19:59

(ianovka @ vendredi 16 juin 2006 à 23:09 a écrit :Mais si tu tappes ça t'as faux


Et si tu tapes "tappes" ? :bleh: :harhar:
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Message par amanda » 22 Juin 2006, 20:42

(Zelda @ jeudi 22 juin 2006 à 19:04 a écrit :Quel est l'infinitif du verbe dans l'expression "Peu me chaut".

:-P   J'adore ce genre de questions, ça fait fouiller.

a écrit :chaloir : Le verbe chaloir provient du latin calere, « être chaud » et donc « désirer ».

chaloir
Peu m'en chaut.

Vous ne l'utilisez sans doute pas très souvent, cette bonne vieille formule. Mais vous en connaissez le sens global : c'est une marque d'indifférence à l'égard de ce dont on parle : ainsi Pierre Chevènement, interrogé sur le candidat qu’il affrontera au second tour des élections présidentielles, répond froidement – c’est le cas de le dire : " peu m’en chaut " (Le Monde, 9 février 2002).

Tout est compliqué dans cette locution très archaïque, véritable fossile linguistique, qui obéit à des règles de grammaire abolies. D'abord, la forme chaut. C'est aujourd'hui le seul reste, après tout pas très irrégulier (comparez avec valoir/vaut), de la conjugaison du verbe chaloir, devenu depuis bien longtemps défectif. Défectif, il ne l'a pas toujours été aussi fortement : il a eu un participe présent, que vous utilisez encore sans le savoir, dans le nom chaland — non, pas celui qui passe : celui qui fait des achats — et surtout dans l'adjectif nonchalant. C'est qu'il ne s'inquiète de rien, le nonchalant : peu lui en chaut.

Quant à la syntaxe de l'expression, elle est encore plus bizarre. Peu n'est pas le sujet du verbe, mais l'adverbe qui en précise le sens. Le pronom en représente l'objet qui vous laisse… froid, si j'ose dire. Le sujet ? Il n'est pas exprimé, comme il était possible, dans la langue médiévale, pour les verbes impersonnels. Nous en gardons quelques autres traces, par exemple dans peu importe, dont l'alternance possible avec il importe peu révèle la véritable construction.


chaloir : troisième groupe


Ben ça alors ! :D
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Message par com_71 » 22 Juin 2006, 21:44

(Zelda @ jeudi 22 juin 2006 à 19:04 a écrit :

Ben ça alors ! :blink: Elle est belle ton éphéméride Com, et pas il est beau !!!
Comme punition tu me conjugueras le verbe frire à toutes les personnes de l'indicatif !
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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