(bennie @ mercredi 25 mars 2009 à 19:16 a écrit :La langue de Incas, le Quechua, et aussi une marque de Décathlon, mais je ne connais pas le rapport..
Voilà ce qu'en dit Christian Ollier, directeur international Quechua :
"Du peuple quechua niché au cœur des Andes, au siège international de Quechua au pied du massif du Mont-Blanc.
Né au cœur des Andes, le peuple quechua est l’exemple même de l’intégration au milieu : montagnards accomplis, ses membres avaient un vrai amour de la montagne, savaient la protéger et en tirer leurs ressources de manière raisonnable. Au-delà de ces qualités, les Quechuas ont développé une société fondée sur la communauté, l’échange et l’écoute.
Des caractéristiques fortes qui sont l’âme de Quechua, marque née de la passion pour la montagne et l’environnement montagnard. Notre installation au pied du mont Blanc parfait cet état d’esprit : nous sommes au plus près de la montagne et de nos utilisateurs. L’idéal pour écouter, partager et rendre la montagne accessible de façon durable, grâce à des produits pratiques, moins chers et plus sécuritaires.
Cette volonté va de pair avec une grande responsabilité. La montagne est notre terrain de jeux et d’expérimentations, nous devons la protéger. Cela passe par l’attention que nous portons à notre impact environnemental et par une meilleure éducation de nos utilisateurs. Un défi d’avenir que Quechua devra relever avec succès. » C'est de la publicité, mais Quechua est maintenant une marque déposée.
Le mot quechua désigne aussi un étage andin, donc relatif à la montagne :
"Massif des Andes: deux cordillères encadrent des hauts plateaux, des vallées
perchées et des plaines alluviales d’altitude
• Etage Quechua: <3600 m: formations herbeuses et arbustives clairsemées
• Etage Suni: 3600-4200 m: formations herbeuses et arbustives clairsemées
• Etage Puna: 4200-4500 m: pelouses et steppes
• Au-dessus de 4500 m: déserts froids et glaciers"
Tenez pour changer, un petit mot de patois : gaurlé .
Pour moi, ce mot caractérise un arbre ayant un trou important, une blessure assez profonde, observable sur les chataîgniers de culture par exemple.
En français, je n'ai jamais trouvé d'équivalent :headonwall: .
Dans ce même patois, la châtaigneraie se dit la "gorce".