deja il "n'opose" pas tant le beau au sublime qu'il ne les "distingue" Si le beau est fini, le sublime, lui, nous dépasse infiniment. Ce sont les objets terribles, démesurés qui inspirent le sublime et nous portent à penser que l'homme peut surmonter sa petitesse
Il ne faut pas oublier de contextualiser l'apport de kant par rapport a son époque (disons pré romantique) ou on commence a "gouter" la nature et les ruines (la "beauté des ruines" est un gout typiquement romantique) Le spectacle d'un volcan en eruption est il "beau" ou "sublime" ? Et ou va se nicher la conscience de classe la dedans ? Le fait de considérer l'irruption volcanique comme sublime est elle "petite bourgeoise" ou révolutionnaire ? Et la révolution elle meme comme plaisir esthétique ? Personnelement j'aurais tendance a la ranger dans la catégorie du "sublime"...