Sur le même ton grandiloquent et hors de propos on pourrait tout aussi bien se demander de quel côté tu serais "si une révolution voyait le jour"...
S'il te plait, on peut discuter sans se traiter de futurs fusilleurs ?
a écrit :Aujourd'hui, j'étais tellement heureux qu'après la gueule de bois et l'ivresse de la grand veille, je n'ai cessé de klaxonner, à contre courant, en faisant le V de la victoire. Mais les gens étaient un peu fatigués. L'allegresse n'a duré que la nuit, la liesse s'est brusquement arretée ce matin. Pas pour moi! On va la gagner cette finale! Et tant pis pour les pseudos puristes d'un faux bolchévisme en mal de sécession. Le peuple vibre, danse, crie, chante, derrière notre Sélection Nationale. Et ceux qui ne sautent pas ne sont pas de vrais communistes. Vouloir discréditer le bolchévisme en apparaissant comme les briseurs de rêve est un comportement irresponsable. Heureusement, Olivier et Arlette ne disent pas les insanités que l'on voit sur ce forum. Qui ne saute pas n'est pas révolutionnaire! Allez les bleus!
a écrit :Convidado Quant aux autres, ils ont le droit de ne pas aimer le foot et de se lacher contre le "foot", pourquoi pas contre les Mac Donalds et les dances a la mode (par ex) qu'on a sur le dos plus que la coupe?
J'ai l'impresion qu'il y a des gens qui s'imaginent l'influence d'un parti politique dans un mouvement revolutionnaire comme une chose logique, ordonnée et paisible; oú touts seron bien d'accord et disciplinés et suivront les consignes du comité Central:
Les masses auront abandonné enfin, et pour toujours, "pensent" ces incorregibles amis des contes pour enfants, leurs "tendances malsaines" leurs "betises" pour se transformer en acides porteurs de la politique et rien que la politique.
Pour ces Savonarolas, futurs chefs du peuple, (a combattre avec urgence), tout ce qui distrait une seconde les masses de leur " tache fondamentale" (malgré que ces memes Savonarolas ont ete toujours incapables de les gagner meme en temps hors toute coupe) devienne une insulte directe a leur "science" infuse; une frustration de plus.
Helas por eux les mases savent distinguer entre un match de foot et leurs interets. Pire, elles manifestent, a certains moments, les tendances profondes qui se developpent au plus profond et plus en surface meme, de la societé como le voit wolf; et comme j'ai essayé de le montrer.
Je continue de penser que les bourgeois intelligents (dont ne se trouvent pas inclus ceux qui crachent contre les sentiments momentannées des masses) se font des soucis certains de ce que les manifestations de "joie" des masses fondamentalement des travailleurs.( D'envie d'avoir une vie de triomphe, d'allegresse et de energie enfouis. Une critique aigue mais retournée de la societé qu'elles vivent )
Il y a bien moins chauvinisme que ce que les jounalistes essaient de promouvoir, je le vois au boulot. Meme un triomphe de l'equipe de foot ne changera pas la donne de fond. Ce qui est grave est le decalage des sentiments entre les "communistes" et les masses pour une broutille au fond. Le jour oú le chaos desordonné et tres peu poli, plein des prejugés reculés (eh oui, les masses se mettent en colere tres souvent avec des idees assez peu theoriques) qui est une revolution se fasse jour, ces gens se trouveront inmanquablement de l'autre coté.
a écrit :le décalage des sentiments entre les "communistes" et les masses pour une broutille
(El convidado de piedra @ dimanche 2 juillet 2006 à 22:41 a écrit : Quant aux autres, ils ont le droit de ne pas aimer le foot et de se lacher contre le "foot", pourquoi pas contre les Mac Donalds et les dances a la mode (par ex) qu'on a sur le dos plus que la coupe?
J'ai l'impresion qu'il y a des gens qui s'imaginent l'influence d'un parti politique dans un mouvement revolutionnaire comme une chose logique, ordonnée et paisible; oú touts seron bien d'accord et disciplinés et suivront les consignes du comité Central:
Les masses auront abandonné enfin, et pour toujours, "pensent" ces incorregibles amis des contes pour enfants, leurs "tendances malsaines" leurs "betises" pour se transformer en acides porteurs de la politique et rien que la politique.
Pour ces Savonarolas, futurs chefs du peuple, (a combattre avec urgence), tout ce qui distrait une seconde les masses de leur " tache fondamentale" (malgré que ces memes Savonarolas ont ete toujours incapables de les gagner meme en temps hors toute coupe) devienne une insulte directe a leur "science" infuse; une frustration de plus.
Helas por eux les mases savent distinguer entre un match de foot et leurs interets. Pire, elles manifestent, a certains moments, les tendances profondes qui se developpent au plus profond et plus en surface meme, de la societé como le voit wolf; et comme j'ai essayé de le montrer.
Je continue de penser que les bourgeois intelligents (dont ne se trouvent pas inclus ceux qui crachent contre les sentiments momentannées des masses) se font des soucis certains de ce que les manifestations de "joie" des masses fondamentalement des travailleurs.( D'envie d'avoir une vie de triomphe, d'allegresse et de energie enfouis. Une critique aigue mais retournée de la societé qu'elles vivent )
Il y a bien moins chauvinisme que ce que les jounalistes essaient de promouvoir, je le vois au boulot. Meme un triomphe de l'equipe de foot ne changera pas la donne de fond. Ce qui est grave est le decalage des sentiments entre les "communistes" et les masses pour une broutille au fond. Le jour oú le chaos desordonné et tres peu poli, plein des prejugés reculés (eh oui, les masses se mettent en colere tres souvent avec des idees assez peu theoriques) qui est une revolution se fasse jour, ces gens se trouveront inmanquablement de l'autre coté.
(wolf @ lundi 3 juillet 2006 à 11:53 a écrit : Moi je constate que la mayonnaise patriotique prend moins qu'en 1998, je m'en réjouis. Je constate aussi que la décomposition sociale perce même au travers de la liesse, que même le patriotisme portif, un des derniers "repères" donnés par la bourgeoisie, n'arrive pas à noyer les mêmes phénomènes de violence qu'en novembre et depuis. C'est à noter, et à surveiller : c'est inhabituel. La tension sociale est là (pour le meilleur et pour le pire, pour le CPE et pour les écoles brûlées, les ados agressés dans les manifestations).
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