On s'en fout

Rien n'est hors-sujet ici, sauf si ça parle de politique

Message par fourmi_rouge » 15 Juin 2006, 19:13

(zeanticpe @ jeudi 15 juin 2006 à 19:50 a écrit : Du lundi au vendredi
08h29, 11h27, 12h27, 12h57, 13h57, 14h27, 15h57, 16h57, 17h57, 18h27, 18h57, 19h27, 20h27, 20h57, 21h27, 22h57, 23h57




C'est tous les jours sur France-Info.
Le précieux bulletin de la bourse,...
pour les quelques privilégiés qui font vraiment des profits avec ca sur le dos des autres.

et moi, ca me gave. :headonwall: DOnc là on a les horaires pour ceux qui veulent éviter. :17:
Pourtant, en ce moment, les valeurs d'EADS et d'Airbus sont à suivre...
fourmi_rouge
 
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Message par ianovka » 15 Juin 2006, 19:31

;)


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"Le capital est une force internationale. Il faut, pour la vaincre, l'union internationale, la fraternité internationale des ouvriers." Lénine
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Message par Harpo » 15 Juin 2006, 20:57

Il paraît que l'équipe de france a fait match nul avec celle de la suisse au mondial de foot.
Harpo
 
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Message par zeanticpe » 15 Juin 2006, 21:05

match neutre!
non, c est bon Harpo, t'as gagné là je crois! :D
zeanticpe
 
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Message par Harpo » 15 Juin 2006, 21:11

a écrit :match neutre!
non, c est bon Harpo, t'as gagné là je crois! 


:victory: Mais j'ai gagné quoi ? Peut-être un billet pour la finale ?
Harpo
 
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Message par roudoudou » 16 Juin 2006, 22:25

Coucou :harhar:

a écrit :
Cécilia Sarkozy: Paris-New York-New York-Paris...
Publié le 15/06 à 12:02

Vu en une de "VSD" du 14 juin 2006, et paru en page 16, un article sur le retour au bercail de Cécilia Sarkozy




Cecilia Sarkozy - AFP 
  Selon VSD, un retour annoncé depuis plusieurs semaines, mais qui n'a été concrétisé que le 3 juin. Un samedi qui a vu débarquer de New York Cécilia Sarkozy, son fils Louis et Jeanne-Marie, l'une de ses filles.

Dans la foulée, le couple Sarkozy et le jeune Louis se sont envolés pour Marrakech, direction La Mamounia, pour un week-end de retrouvailles. 


Aperçu dans la tribune présidentielle du court central de Roland-Garros en compagnie de l'autre fille de Cécilia, Judith, toujours selon le magazine, le ministre de l'Intérieur était apparu détendu cette même journée, ce qui augurait d'une bonne nouvelle.

Il semblerait que Nicolas Sarkozy n'ait jamais voulu baisser les bras par rapport à cette rupture et qu'il a toujours cherché à persuader son épouse de revenir. Persuasif, donc, il l'a été. "Le couple à présent réuni a traversé une épreuve difficile, comme des milliers de Français. Je peux vous dire qu'aujourd'hui ils sont tous les deux très forts", a déclaré un proche anonyme du ministre.

Sans aucun doute un atout à un an de la présidentielle...

Le feuilleton: de la rupture et des retrouvailles
Le Parisien avait annoncé le 14 mars que Cécilia Sarkozy avait de nouveau quitté la place Beauveau le 4 mars, après être rentrée le 2 janvier à Paris après 7 mois d'attermoiements et de séparation.

Le départ de Mme Sarkozy pour Manhattan avec son fils resté jusque là en France, avait eu lieu le lendemain d'une dispute. La jeune femme y avait retrouvé Richard Attias, avec lequel elle vivait en compagnie de ses deux filles, née d'un premier mariage de Cécilia avec Jacques Martin.

La dernière apparition du couple Sarkozy, selon le quotidien, remontait au 1er mars, dans un restaurant parisien, Le Pichet, où ils fêtaient l'anniversaire du conseiller en communication du ministre, Pierre Charron, en compagnie d'une centaine de proches.

Cécilia était rentrée en France début janvier
Quand Cécilia et Nicolas Sarkozy s'étaient retrouvés le 2 janvier, le député UMP des Hauts-de-Seine, Patrick Balkani, avait déjà affirmé dans un entretien au Parisien/Aujourd'hui en France que tout était "rentré dans l'ordre" dans le couple, nouvelle relayée par plusieurs autres journaux comme VSD du 11 au 17 janvier 2006.

Tout avait commencé au printemps 2005. Déjà le 26 mai, Nicolas Sarkozy, visiblement ému, avait déclaré sur France3 que sa famille avait "connu des difficultés" qu'elle était "en train de surmonter".

"La vérité, elle est très simple: comme des millions de familles, la mienne a connu des difficultés", avait-il concédé.

Cécilia, qui à l'époque n'accompagnait déjà plus son mari dans les meetings, avait entretenu la rumeur de tensions au sein du couple Sarkozy dès le 22 mai, date d'annulation par le président de l'UMP de son intervention dans le 20h de TF1.

Le 30 juin 2005, Le Parisien citant Me Kiejman, se présentant comme un ami du couple, avait confirmé que Cécilia et Nicolas Sarkozy connaissaient des "difficultés".

Après la sortie de l'affaire, Nicolas Sarkozy avait appelé à plusieurs reprises au "respect" pour ses proches et notamment pour son épouse Cécilia, étroitement associée tant à son image médiatique qu'à son action politique.

Cette femme de caractère avait accompagné jusque là pas à pas la carrière de son époux, l'aidant à donner l'image d'un couple "uni en amour comme en politique", jusqu'à sa rencontre avec le No2 de Publicis, Richard Attias.

Bientôt au côté de son époux dans la course à l'Elysée ?
Le retour de Cécilia Sarkozy au bercail remet en question sa conception d'épouse de présidentiable car celle qui a déclaré à Télé-Star il y a plus d'un an qu'elle ne se voyait pas en first lady, retrouve un homme politique aux ambitions présidentielles.

"Je ne me vois pas en first lady. Cela me rase. Je ne suis pas politiquement correcte : je me balade en jean, en treillis ou en santiags. Je ne rentre pas dans le moule", avait-elle alors lancé.

Ou, invitée de l'émission Petites confidences entre amis sur Paris Première au printemps, Mme Sarkozy avait indiqué qu'elle s'imaginait dans dix ans "aux Etats-Unis, faisant un jogging à Central Park".

Central Park en tout cas ne lui aura pas assez donné l'envie de rester new-yorkaise.


Je sais trop fort le gars :-P
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Message par roudoudou » 16 Juin 2006, 22:34

RE coucou tien on parle pognon d'une pauvre femme :-P
a écrit :Les bijoux de Margaret vendus chez Christie's
Publié le 15/06 à 12:40

Les 13 et 14 juin, 800 bijoux et objets ayant appartenu à la princesse Margaret ont été vendus chez Christie's



La princesse Margaret, le jour de son mariage: elle porte la tiare Poltimore en diamants. - France 2 
  Une vente "historique et unique", selon la maison londonnienne, qui a recueilli 13,65 millions de livres sterling en deux jours d'enchères.

Ses enfants en avaient décidé ainsi pour payer les frais de succession estimés à 40% de la fortune de leur mère. 


La timbale d'enfant à l'effigie de Blanche-Neige, des centaines de bijoux, des meubles, des pièces de vaisselle, des tableaux et des dizaines de bibelots, amassés jusqu'à sa mort en février 2002 à l'âge de 72 ans, faisaient partie des lots.

La pièce la plus chère était une petite horloge Fabergé mauve offerte par la reine Mary à sa petite-fille, estimée à entre 880.000 et 1,2 million d'euros.

La pièce la plus convoitée restait la tiare Poltimore, créée autour de 1870, et que la princesse rebelle portait à son mariage avec le photographe Antony Armstrong-Jones en 1960. Elle est estimée à entre 300.000 et 500.000 euros.

Etaient également mis aux enchères une rivière de diamants offerte par la reine Mary, ainsi que le collier de cinq rangs de perles et de diamants immortalisé dans le portrait de la princesse réalisé par le photographe Cecil Beaton pour son 19e anniversaire.

Tables, pièces d'horlogerie précieuses signées Fabergé, vaisselle, dessins dédicacés à la princesse par Picasso ou Jean Cocteau, rien n'a échappé au marteau du commissaire-priseur. De la première broche de la princesse, accompagnée d'une note de sa main à  l'écriture encore enfantine, en passant par trois de ses parapluies en plastique ou encore un lot de trois bouteilles de vin étiquetées "Kensington palace", il y en avait pour tous les goûts, à tous les prix.

Emouvants, les bijoux étaient souvent dans leur boîte d'origine usée, accompagnés d'annotations, tels une broche Art déco en saphir et diamants avec un petit mot de la reine Mary: "Pour ma chère Margaret , le jour de sa confirmation, de sa grand-mère qui l'aime Mary R.Que Dieu te bénisse. 15 avril 1946".

Lord Linley et Lady Sarah, ses enfants, qui ont  décidé de cette vente sans précédent, "n'ont pas fait ça de légereté de coeur, mais c'était leur seule façon de payer ces droits (de succession). Et ils se sont dits que la meilleure façon de se séparer de certains des souvenirs de leur mère était de les proposer aux enchères, pour permettre aux gens de posséder leur petit morceau d'histoire royale", a souligné une porte-parole de Christie's.


  Vidéos 
Vente des bijoux de la princesse Margaret


Alors là vive la révolution :-P

m'enfin bon reston d'en l'humour on s'en fout aussi :-P
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Message par roudoudou » 23 Juin 2006, 11:24

a écrit :Les Bleus, soutenus du bout des lèvres, croient au déclic, le Togo aussi
LEMONDE.FR | 23.06.06 | 08h49  •  Mis à jour le 23.06.06 | 09h28 
Les Bleus, soutenus du bout des lèvres, espèrent le déclique


Pour les Français, c'est le jour ou jamais. Après la douche froide du match contre la Corée, les Bleus jouent leur va-tout face au Togo, vendredi 23 juin. Rien d'insurmontable ? voire. Zinédine Zidane fêtera ses 34 ans dans les tribunes, puisqu'il est suspendu après avoir écopé d'un carton rouge à la 91e minute du match contre la Corée du Sud.



Les supporters soutiennent l'équipe de France du bout des lèvres : cinquante-neuf pour cent des Français croient que l'équipe sera éliminée du Mondial 2006 vendredi soir, lors de son match contre le Togo, selon un sondage réalisé par CSA pour le quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France. En revanche, 32 % pensent que les Bleus vont se qualifier, 9 % ne se prononcent pas. Les Français doivent s'imposer par au moins deux buts d'écart contre le Togo - déjà éliminé - à Cologne pour être certains de disputer les 8es de finale.

Patrick Vieira, lui, espère que les Bleus vont enfin arrêter de jouer avec le "frein à main". "Ce match peut être un déclic pour le groupe, il peut nous apporter beaucoup plus que la qualification", suggère celui qui portera le brassard de capitaine le jour de ses 30 ans et de sa 90e sélection, en l'absence de Zinédine Zidane.

Quatre ans après l'échec de 2002, l'équipe de France est confrontée au même problème en Coupe du monde et Raymond Domenech veut voir dans cette situation un signe du destin."On est dans la même position qu'il y a quatre ans, a estimé Raymond Domenech, le sélectionneur des Bleus. Il leur fallait marquer deux buts pour se qualifier. Ils n'ont pas réussi et on leur redonne une chance de démontrer que ce qui leur était arrivé est un accident", a-t-il poursuivi. "C'est un fabuleux signe du destin. Il est très rare que l'on ait la possibilité d'avoir une deuxième chance dans la vie. Les joueurs ont leur destin entre leurs mains. Ils ont l'occasion de démontrer qu'ils méritaient mieux que ça", a-t-il poursuivi.

Passionné par l'astrologie, Domenech a souvent expliqué qu'il attachait une importance particulière aux signes et aux hasards de la vie. Non seulement, il espère que l'histoire ne va pas se répéter mais il est convaincu qu'une victoire, assortie de la qualification face aux Togolais, pourrait constituer un "déclic" pour son équipe. "Une victoire ne peut que nous faire monter d'un cran. Il y aura forcément une progression avec encore un match au moins à disputer", a-t-il conclu.

La rencontre de ce soir sera arbitrée par l'Uruguayen Jorge Larrionda.


Avec AFP
suivant : Le dispositif des Bleus


RIEN a foot :-P
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Message par roudoudou » 23 Juin 2006, 11:28

a écrit :Il faut renforcer l'Etat pour que la France n'ait plus peur de la mondialisation"
LE MONDE | 22.06.06 | 13h09  •  Mis à jour le 22.06.06 | 13h09 
Consultez les archives du journal, tous les articles parus dans "Le Monde" depuis 1987.


Une nouvelle génération arrivera au pouvoir en 2007. Y a-t-il encore un message français à l'international ?


Non, hélas. La France est inaudible parce qu'elle ne met en oeuvre ni chez elle ni dans sa politique étrangère ce qu'elle proclame à l'extérieur. Les beaux discours de Jacques Chirac sur les droits de l'homme ou sur l'environnement ne sont pas appliqués. Cela ridiculise notre pays et ruine sa crédibilité. Avec François Mitterrand, la France tenait son rang parce qu'on la créditait encore d'une vision en phase avec son histoire et avec l'état du monde. Il faut redonner à la France une voix qui porte. Elle l'aura si elle est capable d'éclairer sans passéisme les transformations que nous vivons, si elle affirme une ambition sans arrogance et y conforme ses actes. Il faut redéfinir tous ces enjeux de façon plus démocratique. Aujourd'hui, le Parlement est très peu associé à la politique étrangère. Les Français sont passionnés de politique. Ils ne sont, contrairement à ce qu'on dit, pas indifférents aux questions internationales. Les grands choix diplomatiques, ça les regarde.




Au lendemain de la présidentielle, la réforme des institutions européennes sera à l'ordre du jour. Faut-il renégocier la composition de la Commission, le droit de vote des Etats ?


Il faudra un nouveau traité et surtout un traité social. L'Europe actuelle n'a qu'une jambe économique. Sans sa deuxième jambe sociale, rien n'est possible. Mais je crois surtout qu'il faut donner à l'Europe du souffle et du sens. Il lui faut une idée aussi forte que le fut, du temps de ses fondateurs, l'Europe de la paix. On n'avancera réellement que si l'Europe prouve sa capacité à protéger, à faire reculer le chômage de masse, à incarner un avenir plus heureux. Plus encore que de règles techniques, c'est d'une vraie volonté politique dont nous avons besoin pour construire ce que j'appelle l'Europe par la preuve, qui conjugue l'émulation (stimulante), l'harmonisation (sociale et fiscale) et la mutualisation (champions industriels, programmes de recherche, bonnes pratiques managériales et sociales). L'autre sujet, pour moi, c'est la visibilité de l'Europe, qui n'a pas d'incarnation, pas de président, ni de ministre des affaires étrangères, ni de porte-parole et ne pèse pas sur l'évolution du monde. C'est à l'Europe réelle de rejoindre l'Europe de l'utopie.


Nicolas Sarkozy est pour un directoire à six pour gouverner l'Europe. C'est une bonne ou une mauvaise idée ?


Je me méfie de la domination de quelques-uns sur tous les autres. On a beaucoup heurté par certaines déclarations sur les prétendus petits pays. Regardez les dommages causés par Jacques Chirac dans les pays de l'Est...


Si vous êtes élue, allez-vous respecter les contraintes du pacte de stabilité ?

Il faut desserrer le carcan budgétaire pour que les investissements qui préparent l'avenir n'entrent pas dans le calcul des déficits. Quand la Suède, dans les années 1990, était en pleine crise avec un chômage massif, elle a investi dans la recherche et le développement. Pendant deux ans, cela a fait des déficits provisoires, mais ils sont sortis de la crise et ont maintenant moins de 5 % de chômage.


Sur la mondialisation, Lionel Jospin avait dit "l'Etat ne peut pas tout" à propos de Michelin. Le reprenez-vous à votre compte ?


La mondialisation ne prive pas l'Etat de sa responsabilité. Au contraire ! Pour que la France n'ait plus peur de la mondialisation et même en tire parti, il faut renforcer le rôle de la puissance publique pour lutter contre les précarités et inventer de nouvelles sécurités, empêcher les délocalisations purement financières, anticiper et accompagner les mutations, et aider les entreprises à innover et à créer les emplois de demain.


Quel rôle joue cet Etat ? Quelle forme prend sa protection ?

L'Etat a un rôle déterminant. Même dans les pays qui se disent libéraux, il intervient plus qu'on ne croit. Aux Etats-Unis, la recherche et l'innovation bénéficient d'investissements publics importants, civils et militaires. Lors de la crise financière asiatique, ceux qui ont tiré leur épingle du jeu sont ceux qui, comme la Malaisie, ont opposé aux règles du FMI une politique où l'Etat garde le contrôle du calendrier et des modalités d'ouverture au marché mondial. En Grande-Bretagne, Tony Blair a investi dans les services publics. En Suède, si à l'aise avec la mondialisation, le modèle d'Etat est très poussé, modernisateur, redistributeur, solidaire, financeur actif de la recherche. Et l'un des obstacles majeurs au développement africain, c'est l'absence d'Etat solide et non corrompu. Chaque fois que l'Etat est faible, les pays ont du mal à décoller ou à faire face.


On ne reproche pas tant à l'Etat de ne pas être fort mais d'être inefficace...

L'Etat, lui aussi, doit accomplir une mutation et vivre avec son temps. Il faut redéfinir sa mission, c'est ce que l'opinion réclame. Et donner aux services publics les moyens humains et matériels de faire correctement leur travail. Il doit investir beaucoup plus dans la recherche et l'innovation pour préparer l'avenir puisque le fonctionnement à court terme du marché ne permet pas les choix à long terme.

Sans l'Etat, il ne sera pas possible de préparer l'après-pétrole. Mais il doit aussi libérer les énergies, encourager le goût d'entreprendre, pousser les entreprises à faire preuve d'audace et de créativité. Le service public doit apporter les formations professionnelles qui permettront de changer d'emploi sans dommage, de rebondir ou de se reconvertir avec l'assurance d'un filet de sécurité et d'un accompagnement individuel de qualité. Il faut mutualiser les risques entre les salariés et les entreprises. La droite a estimé qu'en précarisant le contrat de travail, on aurait moins de chômage et plus d'efficacité économique. L'échec est là. Avec 10 % d'emplois réellement créés, le CNE (contrat nouvelles embauches) a surtout abouti à des effets d'aubaine et de substitution.

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Propos recueillis par Arnaud Leparmentier et Isabelle Mandraud
Article paru dans l'édition du 23.06.06

Tien vla la grosse démago du PS :sygus:
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