Sodas et consorts.

Rien n'est hors-sujet ici, sauf si ça parle de politique

Message par Inna » 21 Juil 2006, 21:56

NUTRITION, Taxe sur les produits sucrés
Avec plus de 5 millions de personnes concernées, la lutte contre l'obésité est un enjeu majeur pour la France. Dans ce cadre, Bercy et le Ministère de la santé travaillent sur un projet commun : une nouvelle taxe sur les produits sucrés comme les sodas ou les barres chocolatées.
Après la nouvelle réglementation concernant la publicité pour certains produits alimentaires, les industriels devraient réagir à l'annonce prochaine de ce projet.
Ces mêmes produits viennent en effet déjà d'être l'objet d'une nouvelle loi. Non encore appliquée, celle-ci fixe un cadre précis concernant les publicités pour les produits sucrés et prévoit une taxe pour les entreprises y dérogeant.



NUTRITION, Taxe sur les produits sucrés
Avec plus de 5 millions de personnes concernées, la lutte contre l'obésité est un enjeu majeur pour la France.

Rédigé par driss ouahmani le Mercredi 28 Juin 2006


Dans ce cadre, Bercy et le Ministère de la santé travaillent sur un projet commun : une nouvelle taxe sur les produits sucrés comme les sodas ou les barres chocolatées.

Après la nouvelle réglementation concernant la publicité pour certains produits alimentaires, les industriels devraient réagir à l'annonce prochaine de ce projet.

Ces mêmes produits viennent en effet déjà d'être l'objet d'une nouvelle loi. Non encore appliquée, celle-ci fixe un cadre précis concernant les publicités pour les produits sucrés et prévoit une taxe pour les entreprises y dérogeant.
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Message par Inna » 21 Juil 2006, 21:58

COCA-COLA, le coca-cola zéro arrive Outre Manche
Encore une nouveauté chez COCA-COLA : le coca-cola Zero. Cette boisson se veut identique au coca-cola mais sans sucre et s'adresse plus particulièrement aux hommes (en parallèle au coca-cola light créé en 1984 avec une connotation plutôt féminine).
Si le produit n'a pas rencontré un grand succès aux Etats-Unis, la firme COCA-COLA a prévu un budget publicitaire de 12 millions d'Euros pour réussir son lancement en Grande Bretagne.

http://www.agrojob.com/actualite/COCA-COLA...Manche-448.aspx
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Message par Inna » 21 Juil 2006, 22:03

Un vieil article du monde, toujours d'actu bien sûr :

La lutte contre l'obésité se heurte au lobby agroalimentaire
Article paru dans l'édition du 30.04.05


Un paquet de chips pourra-t-il être considéré un jour comme "bon pour la santé" ? Boutade ? Pas vraiment. En vidant de sa substance, jeudi 21 avril, la proposition de règlement sur les allégations nutritionnelles et de santé, les membres de la commission environnement, santé publique et sécurité alimentaire du Parlement européen ont suscité la colère des associations de consommateurs. Celles-ci dénoncent la victoire des intérêts du lobby agroalimentaire au détriment de la santé publique.


Alors que les pays européens sont de plus en plus confrontés à la question de l'obésité, le projet de règlement interdisait aux fabricants de produits trop gras, trop sucrés ou trop salés de mettre en avant, sur leur emballage, des messages vantant de prétendus bienfaits comme : "Riche en calcium et magnésium" ou "Enrichi en vitamines" ­ de ceux qui fleurissent sur les paquets de biscuits et autres boîtes de céréales.

Las ! Les parlementaires européens ont rejeté le principe selon lequel toute allégation devait reposer sur les qualités nutritionnelles réelles du produit. Pour justifier leur position, ils ont repris le même argument que les industriels, qui combattaient depuis de longs mois cette disposition : il n'y a pas de "mauvais" ou de "bons" produits, mais seulement de bons ou de mauvais régimes alimentaires.

De plus, les membres de la Commission ont remplacé par une simple notification la procédure d'autorisation préalable que prévoyait le texte pour utiliser des allégations de santé. Concrètement, les fabricants ne seront donc pas obligés d'apporter la preuve scientifique de la véracité de leurs allégations avant de mettre leur produit sur le marché. L'Union des fédérations de consommateurs UFC-Que Choisir et le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC) estiment "essentiel" que le Parlement européen "revienne sur ces décisions" lors du vote en session plénière, le 25 mai.


EFFETS DU MARKETING


"Certains industriels surfent sur la vague de l'obsession "santé" sans se soucier réellement des effets de leur marketing sur la santé publique et notamment celle de nos enfants" , souligne Jim Murray, directeur du BEUC. Les agences sanitaires européennes, et notamment l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), reconnaissent aussi que la pression commerciale est un élément sur lequel il faut agir pour lutter contre l'obésité.

En France ­ où 16 % des 6-15 ans présentent un excès pondéral (contre 5 % en 1980), dont 3,8 % d'obèses ­, l'obésité est qualifiée d'"épidémie" par l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Obtenues de haute lutte face à la pression de l'industrie agroalimentaire, deux mesures, inscrites dans les articles 29 et 30 de la loi du 9 août 2004 relative à la politique de santé publique, devraient bientôt être appliquées.

Tout d'abord, à compter du 1er septembre, les distributeurs automatiques de sodas et de barres chocolatées seront interdits dans les établissements scolaires. "Il est acquis que cette disposition sera maintenue, il ne faut pas que les jeunes soient tentés" , insiste-t-on au cabinet du ministre de la santé, Philippe Douste-Blazy.

Le ministère de l'éducation, chargé de relayer l'information, confirme que cette interdiction sera rappelée dans la circulaire de rentrée, bientôt publiée au Bulletin officiel. "A priori, il n'y a pas de problème, nous pourrons appliquer la loi et enverrons une lettre recommandée aux distributeurs pour résilier nos contrats" , explique Philippe Guittet, secrétaire général du Syndicat national des personnels de direction de l'éducation nationale (SNPDEN).


"GRANDES MANOEUVRES"


La seconde mesure prévoit d'imposer, dès le 1er janvier 2006, un message sanitaire dans les publicités télévisées ou radiodiffusées pour des boissons sucrées et des produits manufacturés. S'ils refusent ce message, les annonceurs devront verser une taxe, correspondant à 1,5 % des sommes investies dans la diffusion des spots, au profit de l'Institut national de prévention et d'éducation à la santé (Inpes) ­ une taxe jugée "scandaleuse" par l'Association nationale des industries alimentaires.

Pour être effective, cette mesure nécessite un décret et une validation interministérielle. "Le décret est techniquement prêt, maintenant il s'agit d'une décision politique" , résume Serge Hercberg, vice-président du comité stratégique du Programme national nutrition santé (PNNS). Le message à diffuser a été rédigé et validé par l'Afssa et les professionnels de la nutrition. Reprenant les préconisations du PNNS, il devrait indiquer : "Pour protéger sa santé, manger au moins cinq fruits et légumes par jour, pratiquer une activité physique régulière, éviter de manger trop gras, trop sucré, trop salé." "Tout devrait être prêt pour le 1er janvier 2006" , assure le ministère de la santé.

En attendant, "les grandes manoeuvres ont commencé" , déplore un spécialiste de santé publique. Pour preuve, la publicité du confiturier Andros, publiée sur une pleine page du Figaro du 20 avril, avec comme slogan : "Pour votre santé, le PNNS vous recommande de manger cinq fruits et légumes par jour."

Au cabinet de M. Douste-Blazy, on ne cache pas que cette stratégie de récupération par l'industrie alimentaire des messages du PNNS, "pose problème" et constitue un sujet "très vif" . "La confiture c'est plus de sucre que de fruits, il faut des règles déontologiques" , résume le ministère. Face au risque de voir les industriels se servir de la caution du programme national lancé par les pouvoirs publics pour vanter les mérites de leurs produits, le groupe de travail chargé de rédiger les règles et la charte d'utilisation des messages du PNNS a été appelé à "accélérer sa réflexion" . Jusqu'à présent, le PNNS était identifié comme une information émanant des pouvoirs publics, validée par des scientifiques et indépendante du secteur économique. "Si rien n'est fait, demain, McDonald's pourra dire que le PNNS recommande de manger des salades McDo" , résument certains nutritionnistes.

Pendant ce temps, dix villes françaises, dont Beauvais, Béziers, Evreux, membres du programme Epode (Ensemble, prévenons l'obésité des enfants), tentent depuis un an de sensibiliser les 5-12 ans à l'importance d'une alimentation équilibrée. "Le but est de stabiliser le taux d'obésité. Cela peut paraître un objectif limité, mais on part de très haut" , explique le docteur Jean-Michel Borys, coordinateur d'Epode. A Beauvais, 22 % des enfants sont en surpoids et 5 % sont obèses.






Sandrine Blanchard

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Une proposition de loi pour agir sur l'épidémie

A l'occasion de la sortie de son livre Obésité, le nouveau mal français (Ed. Armand Colin, 284 p., 21 euros), le député (PS) Jean-Marie Le Guen a déposé, mardi 29 mars, une proposition de loi destinée à lutter contre l'obésité. Considérant que le politique doit "agir sur l'environnement pathogène des consommateurs" , le parlementaire ­ qui fut, à l'Assemblée, le promoteur acharné de l'interdiction des distributeurs automatiques dans les collèges et les lycées et de la taxation de la publicité alimentaire ­ propose la création d'un "haut comité de lutte contre l'obésité" et d'un "observatoire" de l'épidémie. Il préconise d'obliger l'industrie agroalimentaire à fournir une information "compréhensible pour le consommateur" sur "la densité calorique, la teneur en sucre, en acides gras et en sel" et suggère que le ministre de la santé puisse "imposer un message d'éducation sanitaire sur les produits ne respectant pas les normes minimales de réglementation nutritionnelle" .
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Message par Gaby » 22 Juil 2006, 00:05

[quote=" (Inna @ vendredi 21 juillet 2006 à 22:58"]
COCA-COLA, le coca-cola zéro arrive Outre Manche
Encore une nouveauté chez COCA-COLA : le coca-cola Zero. Cette boisson se veut identique au coca-cola mais sans sucre et s'adresse plus particulièrement aux hommes (en parallèle au coca-cola light créé en 1984 avec une connotation plutôt féminine).
Si le produit n'a pas rencontré un grand succès aux Etats-Unis, la firme COCA-COLA a prévu un budget publicitaire de 12 millions d'Euros pour réussir son lancement en Grande Bretagne.

http://www.agrojob.com/actualite/COCA-COLA...Manche-448.aspx
Là je comprends plus rien. Il me semblait que le Coca Zero aux USA, c'était l'équivalent du Light vendu en Europe, alors qu'ils avaient déjà le Diet Coca Cola qui était une recette différente, propre aux USA.
Gaby
 
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Message par Inna » 22 Juil 2006, 02:01

(Gaby @ samedi 22 juillet 2006 à 01:05 a écrit :
(Inna @ vendredi 21 juillet 2006 à 22:58 a écrit : COCA-COLA, le coca-cola zéro arrive Outre Manche
Encore une nouveauté chez COCA-COLA : le coca-cola Zero. Cette boisson se veut identique au coca-cola mais sans sucre et s'adresse plus particulièrement aux hommes (en parallèle au coca-cola light créé en 1984 avec une connotation plutôt féminine).
Si le produit n'a pas rencontré un grand succès aux Etats-Unis, la firme COCA-COLA a prévu un budget publicitaire de 12 millions d'Euros pour réussir son lancement en Grande Bretagne.

http://www.agrojob.com/actualite/COCA-COLA...Manche-448.aspx

Là je comprends plus rien. Il me semblait que le Coca Zero aux USA, c'était l'équivalent du Light vendu en Europe, alors qu'ils avaient déjà le Diet Coca Cola qui était une recette différente, propre aux USA.


... là je ne peux pas t'aider... ma science est très limitée dans ce domaine :D .
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Message par roudoudou » 22 Juil 2006, 11:44

a écrit :INNA  là je ne peux pas t'aider... ma science est très limitée dans ce domaine  .


Bonjour INNA ;)


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Message par Inna » 22 Juil 2006, 11:51

(roudoudou @ samedi 22 juillet 2006 à 12:44 a écrit :
a écrit :INNA  là je ne peux pas t'aider... ma science est très limitée dans ce domaine  .


Bonjour INNA ;)
Merci merci :roll:
:wavey:
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Message par Louis » 22 Juil 2006, 14:16

de toute façon, on connait mal les effets des édulcorants

exemple pour l'aspartame :

a écrit :Jean-François Narbonne : « Les édulcorants n’ont rien à faire dans notre alimentation ! »
On apprécie chez le toxicologue Jean-François Narbonne (Université de Bordeaux 1) à la fois sa rigueur et son franc-parler. En marge du dossier que nous consacrons à l’aspartame, nous lui avons demandé son avis sur les dernières études qui mettent l’aspartame en cause, et plus généralement sur la place des édulcorants.

LaNutrition.fr : En mars 2006, l’étude italienne de la Fondation Ramazzini a trouvé que les rats nourris à l’aspartame font plus de cancers. Qu’en pensez-vous ?

Jean-François Narbonne : L’essentiel de l’augmentation des cancers est due au fait que les rats « témoins », ceux qui ne recevaient pas l’aspartame, ont eu moins de cancers que prévu pour ce type d’animaux. Il arrive que l’incidence chez les rats non traités diminue ainsi dans une expérience sans qu’on sache vraiment pourquoi.

Les experts européens ont sévèrement critiqué cette étude en mai 2006, êtes-vous d’accord avec eux ?

Je trouve que les critiques faites par les experts européens sont fondées ; d’ailleurs l’EFSA a consulté les agences nationales – en France l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments - avant de répondre aux résultats de cette étude. La Fondation Ramazzini est clairement sortie du protocole qui s’applique d’habitude à ce type d’étude. D’ailleurs, ils utilisent leurs propres souches de rats, publient dans un journal qu’ils contrôlent… Et ils ont mis du temps à fournir leurs données. On les a reçues sous la forme d’un PDF, alors que d’ordinaire ce sont des données sous Excel. La principale critique européenne, c’est d’avoir suivi les rats jusqu’à leur mort. En fin de vie, chez le rat, il y a des cancers spontanés, c’est la raison pour laquelle on arrête les essais à 110 semaines, car après c’est difficile de faire la différence entre ce qui est dû au produit testé et ce qui relève de la dégénérescence pathologique.

Faut-il continuer à rechercher d’éventuels effets cancérogènes de l’aspartame ?

Je ne pense pas que le cancer soit le domaine le plus intéressant à explorer s’il s’agit de rechercher des effets indésirables potentiels de l’aspartame. En plus, le rat n’est pas un très bon modèle. Pour pouvoir observer quelque chose chez le rat, il faut des valeurs très fortes, des substances fortement cancérogènes.

En quoi l’aspartame pourrait-il poser problème, alors ?

L’un des domaines sur lesquels on s’interroge, c’est celui de la neurotoxicité. Avant tout, il faut bien comprendre que s’il y a dans l’aspartame des composés excitateurs ou toxiques pour les cellules nerveuses, on trouve ces mêmes composés dans l’alimentation quotidienne. Mais le métabolisme de ces substances est très bien régulé. Heureusement d’ailleurs, sinon, selon ce qu’on a mangé, on passerait en permanence de l’état d’excitation à celui de prostration. La barrière hémato-encéphalique isole le cerveau par des systèmes de transporteurs spécifiques. Mais il existe peut-être des conditions dans lesquelles ces systèmes de régulation fonctionnent  plus ou moins bien : la grossesse, la période in utero, l’enfance. En plus, il y a des interactions entre des additifs ou des édulcorants et certains colorants. Ceci a été montré in vitro.

Quel message faire passer auprès du public ?

Ma position, c’est que les édulcorants, c’est essentiellement du marketing qui n’a rien à faire dans les aliments. Ils ne font que répercuter des comportements aberrants. Les produits « light » sont devenus maintenant des produits standard, c’est aberrant !

Pour le grand public, c’est l’assurance de manger moins de sucre, certains nutritionnistes y sont d’ailleurs favorables

Au départ, les nutritionnistes étaient favorables aux édulcorants, mais ils sont en train d’en revenir. Qu’on réserve ces aliments aux diabétiques, passe ! A la limite, la personnes qui met une sucrette dans son café, c’est un geste volontaire, elle peut contrôler ce qu’elle avale. Alors que lorsqu’on achète un produit allégé, on ne contrôle pas grand-chose. Le problème c’est que les industriels présentent ces aliments comme « allégés » ; ils se gardent bien de dire « avec édulcorant de synthèse. » Les gens ne comprennent pas que lorsqu’ils achètent un produit « light », ils troquent un aliment sans dose journalière admissible (DJA), pour un autre sur lequel existe une DJA !

Vous n’êtes pas un toxicologue coupé de la vie quotidienne. Qu’est-ce qui vous mobilise en ce moment ?

Je voudrais qu’on vire les yaourts allégés des cantines scolaires. Car dans les cantines, les yaourts aux édulcorants, c’est devenu le produit standard. Pour avoir des prix bas, les cantines diminuent le nombre de produits référencés, ils n’en gardent souvent qu’une, le produit « light. » Je veux que le produit standard, ce soit le yaourt sans édulcorant. J’aimerais qu’on me prouve que l’obésité et le diabète ont augmenté chez les enfants parce qu’on leur a servi des yaourts sucrés !


Le probleme c'est que l'industrie agro alimentaire essaye de nous vendre de plus en plus de sucre, mais par hypocrisie on essaye de cacher tout ça avec des éducorants sous forme de "produits lighr" ! Laissez le coca, buvez de l'eau !
Louis
 
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Message par Inna » 22 Juil 2006, 14:27

(LouisChristianRené @ samedi 22 juillet 2006 à 15:16 a écrit :
Laissez le coca, buvez de l'eau !
Je dirais même plus : de l'eau.. ferr... de l'eau ferrugineuse ! :D :whistling_notes:
Inna
 
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