Le romantisme

Rien n'est hors-sujet ici, sauf si ça parle de politique

Message par Jul » 01 Nov 2007, 10:49

bon je vais tirer ma révérence, parce que ca ne mène a rien ! Je n'ai jamais "avaler ce que dictent mes profs", on m'a assez reproché de ne pas le faire, alors évite les jugement personnel quand tu ne connais pas les personnes....

N'empeche, tu parles de musique sans pouvoir te détacher des idées politiques qui sont derrière.... Moi aussi je m'y attache souvent, au fond aux idées qui peuvent desfois être véhiculées, mais si on se limite à ces idées on ne va pas trop loin....

et je ne dis pas ça que pour le romantisme.....

enfin bref, j'arrete le forum ici parce que je finis par défendre une musique que je n'écoute que rarement, mais que j'ai étudié, seule, face aux partitions et non à un livre d'histoire !

Tu ne fait pas de critique el convivado, tu t'énerves, comme moi d'ailleurs, à défendre ce qui te tiens à coeur et ce qui te révulse (les curés par exemple, ben moi aussi j'en cramerai bien un, en ce jour des cimetières !! comme dis ma grand-mère !).

Quand tu parles de Liszt, tu ne fais qu'évoquer une partie de ces oeuvres ! Il y a tellement de pièces géniales pourtant ! Les pièces pour piano par exemple.....
et la Faust Symphonie !! tu connais ?

bon donc, je te laisse avec ton immense culture qui est tellement au dessus du commun des mortels !! Je m'en vais écouter le 15ème quatuor de Beethoven
Jul
 
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Message par Jul » 01 Nov 2007, 10:52

Puisque à LO on aime bien les bouquains, El convive, je te conseille la lecture de "Génération romantique" de Charles Rosen
Jul
 
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Message par Jul » 01 Nov 2007, 11:04

rooooo non c'est de l'analyse, musicale biensur ......
Jul
 
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Message par Jul » 01 Nov 2007, 11:05

pour les quatuors, après on a quand même les quatuors de Bartök, de Chostakovitch, de Dutilleux (Ainsi la nuit) et plus récemment Morton Feldmann !
Jul
 
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Message par Jul » 01 Nov 2007, 11:16

(El convidado de piedra @ jeudi 1 novembre 2007 à 10:02 a écrit :
(Jul @ jeudi 1 novembre 2007 à 09:52 a écrit : Puisque à LO on aime bien les bouquains, El convive, je te conseille la lecture de "Génération romantique" de Charles Rosen

Ca ressemble à "Génération Miterrand"?

Pas la peine de lire trop sur les romantiques; leurs idées sont les idées esthétiques dominantes et le Café de Comerce (quand parle d'art) les vehicule comme le lait sortant des pis des vaches.

Et pour contrer un peut le romantisme (si c'est encore possible) je te propose "De l'Allemagne" de H.Heine et tant "la Breve histoire de la littérature allemande" comme "Goethe et son temps" (ainsi que "marxisme ou existentialisme?") du plus grand philosophe et critique d'art du XX siècle G.Lukacs
ok, ben ne lis rien alors ! Tu n'as pas lu le bouquain (et c'est de l'analyse pure) alors, si il y a un café de commerce où je peux avoir ce genre de discussions, donne moi tout de suite l'adresse !! :hum: :wacko: :altharion:
Jul
 
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Message par Paingrillé » 01 Nov 2007, 12:52

Bon puisqu’on ne me répond pas sur un autre fil….je voudrais pas encore polluer la discussion mais sil ya bien quelqu’un qui se prend pour un héros romantique ici ....
La romantisme c’est d’abord, l’exaltation. le touffu, le tortueux, le moi, les grds questionnements philosophiques, les grands renoncements qui ne mènent a rien, l’incommunicabilité, l’incompréhension (hypothétique…), l'abandon, l'isolement, le complexe, la vie en métaphores, un certain mépris des autres, la pénétration (du vide ?) et l’élévation, le plaisir (spirituel !!), le triste, la disproportion, la victimisation, la foudre, les éclats, la tempete, le supplice, la cruauté, la résignation, le mystère, le spectre qui hante…, les échecs, et même la tentative de maitrise des sens par l’esprit, le catharsis, la dignité, la séduction (biaisée), la douleur, les barrières, la fièvre, les souvenirs, et la fatalité, le désir et la vertu , l’ambigüité, les sacrifices, les blessures éternelles, honneurs et déshonneur, en bref, la promiscuité et la confusion des élans contradictoires.....

En te lisant, ‘par exemple
a écrit :Je n'arrive tout simplement pas.

Au contraire, la recherche des relations et des contradictions que toute vraie oeuvre d'art porte et sa découverte est un des plaisirs le plus grands de tout chef d'ouevre.

L'intéllecte a des plaisir que les sensations ne connaissent pas.

Et j'ai l'outrecuidanse d'affirmer (contrairement à toutes les tendances romantiques) que ce plaisir est supérieur à la qualité primaire du sensible.

voila l’image qu’on se figure….. ;


Le voyageur au dessus de la mer des nuages, C. D. Friedrich , 1818

……mais non, t’es pas tout seul sur ton rocher…… ;)
Paingrillé
 
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