(Paingrillé @ jeudi 1 novembre 2007 à 12:52 a écrit : La romantisme c’est d’abord, l’exaltation. le touffu, le tortueux, le moi, les grds questionnements philosophiques, les grands renoncements qui ne mènent a rien, l’incommunicabilité, l’incompréhension (hypothétique…), l'abandon, l'isolement, le complexe, la vie en métaphores, un certain mépris des autres, la pénétration (du vide ?) et l’élévation, le plaisir (spirituel !!), le triste, la disproportion, la victimisation, la foudre, les éclats, la tempete, le supplice, la cruauté, la résignation, le mystère, le spectre qui hante…, les échecs, et même la tentative de maitrise des sens par l’esprit, le catharsis, la dignité, la séduction (biaisée), la douleur, les barrières, la fièvre, les souvenirs, et la fatalité, le désir et la vertu , l’ambigüité, les sacrifices, les blessures éternelles, honneurs et déshonneur, en bref, la promiscuité et la confusion des élans contradictoires.....
... une énumération sans queue ni tête ? j'ai bon ?