... ou ça se jette.
Tous les commerces d'alimentation doivent jeter la nourriture la date de limite de vente échue.
A Marseille une employée d'une société de sécurité a accepté des sandwichs périmés destinés au personnel de Carrefour.
Salariée à 1250 euros. Seule avec deux enfants. C'était pour les nourrir a-t-elle déclaré.
Dénoncé par deux de ses chefs, elle est menacé de licenciement à la demande de Carrefour semble-t-il.
Devant l'émotion provoquée Carrefour et la société de sécurité auraient renoncé au licenciement et envisageraient une "autre solution".
En voilà une belle société où mieux vaut détruire de la nourriture que de nourrir des démunis.