Résister à la langue unique...
Une langue principale unique est hautement souhaitable, et c'est la voie du progrès. Ce sera comme, à l'échelle linguistique mondiale, ce que fut l'unification des systèmes de mesure imposée par la révolution française.
S'agissant bien sûr de la langue administrative, commerciale (on dira des échanges), juridique, des communications scientifiques, etc...
Pour le romanesque, la poétique ou même le magico-religieux
, l'humanité ne manquera pas, bien sûr de cultiver aussi le doux archaïsme des langues régionales.