C'était pourtant pas compliqué.
Il a suffit de trois tours aux urnes pour que l'Assemblée trouve un perroquet à mettre au perchoir.
Ce qui était prévisible depuis que le parlement ment les journaleux s'échinent à faire monter cette mayo présentée inédite. Pourra-t-elle pimenter une combine gouvernementale ?
Les élus LFI ont trouvé une dernière attaque, refuser la main à un député RN promus surveillant de scrutin, provoquant l'ire de tous les défenseurs de la courtoisie française .
Une dernière du maire de Béziers qui ne saurait jamais voter pour un "communiste" au perchoir.