http://www.forumamislo.net

La multiplicité des langues est une entrave aux échanges mais aussi une source de richesse culturelle. Alors que devra t'on faire sous le communisme ?

Arg ! Grosse faute d'orthographe ! Est il possible de remplacer "qu'elle langue" par "quelle langue"

Chaque langue étant une richesse de l'humanité, le communisme liberera les esprits, et sauvera la diversité, l'envie de communiquer, la soif de savoir, de voyager, nous seront polyglotes, les enfants par les media, internet, le tour du monde parleront sans entraves, les langues de demain seront celle d'une autre humanité pas d'oppression linguistisque, les mots nouveaux de la société nouvelle seront le socle d'une société fraternelle, les tournures d'esprit, la littérature, la pedagogie par immertion... L'humanité n'a pas besion d'esperato pour s'unir... Seul l'appartenance de classe est le critère commun... A l'usine, le kalyle le berrichon le portugais ou le francilien, n'aura pas besoin de langue unique pour comprendre ses interet de classe et s'il en faut une, soyons tous bilingues au moins...

L'humanité est culturellement diverse, cela ne disparaitra pas, ce qui disparaitra c'est le capitalisme qui lui opprime, regente la pensée unique, chez les esclaves qui le servent.

Pas d'accord ! Objectivement l'existence de plusieurs langues est plutot un frein aux echanges, meme s'ils sont un produits de l'histoire de l'humanité. J'ai tendance à penser qu'avec la disparition des états-nations les langues aussi auront tendance à disparaitre. Cela m'enpecche pas de défendre le droit des peuples dominés à parler leurs langues. Mon pére, quand il était gamin, à la Guadeloupe, n'avait pas le droit de parler créole avec ses potes dans la cour de l'école!

La disparition des frontières étatiques n'a rien à voir avec la pluralité linguistique... La preuve la majorité des langues minoritaires sont sans etat, ni frontière et même partager sur plusieurs Etats, kurde, tamagazi, basque, tchetchene, sans compter les langues africaines, inuit, guarani, catalan...langues propre contre Etat nation... De plus tout dépend de quel Etat nous parlons... L'Etat ouvrier et les langues dites minoritaires.

Cependant la revolution ne pourra pas faire l'impasse sur les "questions nationales". Exemple la la Finlande, la Pologne, la Géorgie, Staline et les bolchevick pour ou contre la russificassion. Mais que se soit les bolcheviks géorgiens qui est proclamé des veleités d'independeance c'est troublant...la position de Lénine juste et archiclaire, contre Staline. Le programme revolutionnaire devra eviter d'ouvrir la brèche nationaliste en donnant des perspectives culturelles...

Certes des ethnistes comme Françes Fontan definisse langue = Nation = Etat... ici il n y a pas d'ethniste à la Ben Vautier, cela sont les pires théoriquement...

Non c'est de se dire que si du passé faisons table rase, c'est la société qui change, le capitalisme renversé, et en ouvrant le débat rien ne dit que l'intéret des langues minoritaires opprimé non officialisée, par le capitalisme, par l'Etat français ne soit pas un argument révolutionnaire, d'unité...

De plus que dire des écoles Diwan, Calandreta, bressolas, Iskolas... Des choses qui nous echappe... Pour proposer une alternative tout doit ête pris en cause... Ce n'est pas le centre, la lutte de classe, sauf si des ouvriers bretons d'une usine en grêve et occupée brandissaient des revendication de classe en breton...

Catharos

moi, je suis plutot d'accord avec une partie du raisonnement de caupo :

a écrit :Ce qui va se passer au communisme, je n'en sais rien

quel modele prendra t on ? le modele francais ou on ne connait et n'admet qu'une langue, ou le modele kanak, ou tout le monde pratique 20 langues. Ce dont je suis sur, c'est que le communisme implique qu'il n'y ai plus d'oppression nationale (et donc, d'imposition d'une langue du dominant au dominé) et que le communisme ce sera plus la diversité culturelle que l'imposition d'un modele unique par de grands gourou ! Laissons les gens décider !

ps je te rapelle caupo qu'en amérique latine, on parle également brésilien...