par lenzo » 04 Jan 2005, 21:26
Sur les principes :<br><br><!--QuoteBegin--></div><table border="0" align="center" width="95%" cellpadding="3" cellspacing="1"><tr><td><b>QUOTE</b> </td></tr><tr><td id="QUOTE"><!--QuoteEBegin--> <!--emo&:leon:--><img src="http://forumlo.cjb.net/html/emoticons/trotsky.gif" border="0" style="vertical-align:middle" alt="trotsky.gif" /><!--endemo--> , août 1940, Les syndicats à l'époque de la décadence impérialiste<br> (…)<br>Des syndicats démocratiques dans le vieux sens du terme, c'est-à-dire des organismes dans le cadre desquels différentes tendances s'affrontent plus ou moins librement au sein d'une même organisation de masse, ne peuvent plus exister longtemps.<br>Tout comme il est impossible de revenir à l'Etat démocratique bourgeois, il est impossible de revenir à la vieille démocratie ouvrière. Le sort de l'un reflète le sort de l'autre. Il est un fait certain que l'indépendance des syndicats, dans un sens de classe, dans leur rapport avec l'Etat bourgeois, ne peut être assurée, dans les conditions actuelles, que par une direction complètement révolutionnaire qui est la direction de la IVème Internationale. <b>Cette direction, naturellement, peut et doit être rationnelle et assurer aux syndicats le maximum de démocratie concevable dans les conditions concrètes actuelles. Mais sans la direction politique de la IVème Internationale, l'indépendance des syndicats est impossible.</b> <br> :<!--QuoteEnd--></td></tr></table><div class="postcolor"><!--QuoteEEnd--> <br><br>Reste à reconstruire la IV ème, mais c'est un autre problème.