(Lyon Capitale a écrit :
Selon un document de l’Alpil (Association lyonnaise pour l’insertion
par le logement), les squats et bidonvilles sont en train de s’ancrer
durablement dans l’agglomération lyonnaise, du fait de la crise du
logement social. Dans un article de Lyon Capitale du 9 février
dernier, l’Alpil évoquait déjà le chiffre de 800 squatters. Sept mois
plus tard, ils sont 40 % de plus. L’association a recensé 42 sites,
dont les plus importants, à Villeurbanne, Vénissieux et Saint-Priest,
comportent près de 200 personnes.