appel retraite

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par Nestor Cerpa » 08 Avr 2003, 22:07

> CherE amiE,
>
> La réforme des retraites annoncée par le gouvernement sera débattue au
> parlement d'ici deux mois. Comment réagir ensemble lorsqu'il est encore
> temps.
> Comment réagir ensemble associatifs, intellectuels, syndicalistes si
> nous pensons que privé et public ne doivent cotiser que 37 ans et demi ?
>
> Si nous pensons que la répartition et la retraite à 60 ans à taux plein
> représentent des acquis qu'il faut défendre ? Comment réagir ensemble
> pour encourager toutes les mobilisations et diffuser très largement une
> argumentation pour défendre nos droits ? Avant qu'il ne soit
> définitivement trop tard.
> Beaucoup d'entre nous souhaitent un cadre collectif comme en 1995, mais
> personne ne sait très bien comment l'initier. Nous ne représentons que
> nous-même. Mais il nous semble qu'attendre plus longtemps serait
> attendre trop. Nous croyons qu'il faut maintenant, sans perdre davantage
> de temps, d'urgence nous rencontrer.
> Nous vous proposons donc de soumettre le plus largement possible le
> texte qui suit de façon à encourager toutes les revendications, et à
> regrouper plusieurs milliers d'associatifs, de syndicalistes du privé et
> du public, d'intellectuels.
> De nombreux syndicalistes CFDT, CGT, FSU et G 10 - Solidaires ont déjà
> signé le texte. Un premier bilan de toutes les signatures sera présenté
> à tous le lundi 14 avril. Pour décider ensemble comment donner un
> maximum d'écho à notre initiative nous t'invitons à la seconde réunion
> des signataires lundi 14 avril, à 19 h, à la Bourse du travail de
> République, rue du château d'eau (métro République), salle Pelloutier.
>
> RéuniEs ensemble, nous pouvons peser. Nous nous en donnerons les moyens,
> en les arrêtant collectivement lors d'une rencontre à la Mutualité avant
> la fin du mois d'avril. Ce texte bien sûr est à circulation libre.
> N'hésites surtout pas à le diffuser le plus largement possible. On peut
> le signer à http://www.appel-retraites.org et pour tout renseignement
> supplémentaire on peut s'adresser à [url=mailto:augen2@wanadoo.fr]augen2@wanadoo.fr[/url] ou au 01 48 05 83
> 72 (Willy Pelletier).
>
>
> Bien amicalement à toi et au lundi 14,
>
>
> Premiers signataires :
>
> Tony Andreani (professeur de science politique, Université Paris 8
> Saint-Denis), Bruno Bachini (maître de conférence en droit public, IEP
> de Paris), Eric Berr (économiste, Université Montesquieu Bordeaux 4),
> Marc Bessin (sociologue, CNRS), Bernard Charlot (sociologue, Université
> Paris 8 Saint-Denis), Sébastien Chauvin (sociologue), Laurent Cordonnier
> (économiste, Université Lille 1), Nicolas Daumas (expert auprès des CE),
> David Dupuy (expert auprès des CE), Sybille Fasso (enseignante,
> SNES-FSU), Gérard Filoche (inspecteur du travail), Bernard Friot
> (sociologue, Université Paris 10 Nanterre), Laurent Garrouste (juriste),
> Bertrand Geay (sociologue, Université de Poitiers), Didier Gélot
> (économiste), Karine Granier (agrégée de sciences économiques et
> sociales), Stéphane Guillemarre (professeur de philosophie), Michel
> Husson (économiste), Elsa Jacquemain (avocate), Olivier Laviolette
> (expert auprès des CE), Pierre Le Masne (maître de conférence en
> économie, Université de Poitiers), Claire Le Strat (politiste), Laurent
> Lévy (avocat), Michael Lowy (sociologue directeur de recherche au CNRS),
> Philippe Marlière (politiste, université de Londres), Lilian Mathieu
> (sociologue, CNRS), Nathalie Merley (maître de conférence en droit
> public), Philippe Monti (philosophe, IUFM Orléans Tours), Numa Murard
> (sociologue, Université Paris 7) Olivia d'Ovidio (agrégée de sciences
> économiques et sociales), Patricia Paperman (maître de conférence en
> sociologie, Université Paris 8 Saint-Denis) Willy Pelletier (sociologue,
> Université de Picardie), Evelyne Perrin (militante AC! réseau Stop
> précarité), Claude Piganiol-Jacquet (professeur d'économie et de
> gestion, Université de Tours), Pierre Picard (doctorant en sociologie,
> EHESS), Louis Pinto (sociologue, directeur de recherche CNRS), Pascal
> Queru (expert auprès des CE), Emmanuel Reich (expert auprès des CE),
> Violaine Roussel (maître de conférence en science politique, Université
> Paris 8 Saint-Denis), Frédéric Roux (agrégé de sciences économiques et
> sociales), Sabine Rozier (maître de conférence en science politique,
> Université de Picardie), Rémi Skoutelsky (expert auprès des CE), Patrick
> Simon (démographe, INED), Jeanne Singer (économiste), Jacques Texier
> (philosophe, Université de Paris 10 Nanterre), Philippe Zarka
> (astronome, chargé de recherche CNRS)
>
> Texte proposé à signature :
>
> Des retraites solidaires pour une société juste.
>
>
> Le 3 février, dans un discours-programme catastrophiste, le Premier
> ministre a délivré l'objectif gouvernemental concernant les retraites.
> Ce projet n'est " prudent " que pour la forme, car son contenu est
> explicite. La capitalisation sera développée : il faut " permettre aux
> Français de mieux épargner pour leur retraite ", dit J-P Raffarin. Il
> faut " harmoniser " public et privé autour des 40 annuités, poursuit-il.
> Et il célèbre, au final, " les mesures courageuses de 1993 " qui "
> doivent être confortées ". La retraite à 60 ans deviendra, en pratique,
> un droit impossible à faire valoir.
>
> Le débat sur les retraites est depuis longtemps faussé par la
> dramatisation des effets de l'allongement de la durée de vie. On agite
> sans cesse l'épouvantail d'un " choc " démographique qui menacerait de
> faire exploser le régime. On cherche à nous convaincre que le recul de
> l'âge de la retraite, et la baisse du niveau des pensions versées, sont
> des réformes inéluctables auxquelles seuls des irresponsables voudraient
> s'opposer.
>
> Certes, la proportion de personnes âgées va augmenter lors des
> prochaines décennies. Mais la vraie question est de savoir si la part du
> revenu national qui leur revient doit augmenter, ou bien s'il existe une
> loi économique cachée, une sorte de barrière invisible, qui force à
> maintenir cette part à son niveau actuel.
>
> Le Medef a sa propre réponse. Il ose exiger 45 annuités de cotisations
> alors qu'à 60 ans, du fait de la politique patronale de licenciements et
> de plans de préretraite, seul un actif sur trois a un emploi. Dans ce
> contexte, le passage à 40 annuités pour les fonctionnaires n'est qu'une
> étape : il s'agit de faire sauter un verrou qui permettra bientôt
> d'imposer à tous, et d'abord au secteur privé, une nouvelle augmentation
> de la durée de cotisation. L'équité entre privé et public est absolument
> fondamentale, mais elle ne peut être obtenue en étendant à ce dernier
> les mesures injustes dont les salariés du privé sont en train de faire
> les frais. Avec 40 annuités de cotisations, comment les chômeurs et les
> précaires, de plus en plus nombreux, peuvent-ils obtenir une retraite
> convenable ? Que dire de la situation de nombreuses femmes employées à
> temps partiel qui ne pourront obtenir qu'une retraite partielle ? La
> retraite ne doit pas, une fois de plus, creuser les inégalités
> hommes-femmes.
>
> Nous refusons que, sous prétexte de " réforme ", de nouvelles
> régressions viennent encore dégrader la situation. Nous proposons au
> contraire de refonder un système de retraite solidaire autour de trois
> garanties fondamentales :
>
> - droit à la retraite à taux plein à 60 ans ;
> - taux de remplacement d'au moins 75 % et indexation des retraites sur
> les salaires ;
> - 37 annuités et demi pour tous, privé et public.
>
> La mise en place de ce triptyque passe par l'abrogation des décrets
> Balladur de 1993 et de l'accord sur les retraites complémentaires de
> 1996. C'est dans ce cadre que peuvent et doivent être introduites les
> mesures nouvelles qui visent à mieux prendre en compte la réalité du
> monde du travail :
>
> - garantie d'une retraite au moins égale au SMIC ;
> - retraite à 55 ans pour les travaux pénibles, dangereux, postés ;
> - validation des périodes de chômage, d'emploi précaire, de temps
> partiel contraint et de formation.
>
> Ce projet est-il vraiment au-dessus de nos moyens, comme on cherche à
> nous le faire croire ? Selon le Conseil d'Orientation des Retraites, il
> ferait passer la part des retraites de plus de 12 % du PIB aujourd'hui à
> 18,5 % en 2040. Ce déplacement, étalé sur 40 ans, nous semble à la
> mesure des évolutions démographiques à venir.
>
> Pour en assurer le financement, les marges de manouvre sont
> considérables : il faudrait d'abord reconsidérer le partage des
> richesses dans notre pays. Aujourd'hui, 60 % de la valeur ajoutée va aux
> salaires (directs et indirects sous forme de cotisations) contre 70 % au
> début des années 80. La progression de 10 points de la part des profits
> n'a fait qu'accroître les revenus financiers, sans effet sur le chômage.
> Une augmentation de la cotisation patronale permettrait donc à la fois
> de financer les réformes que nous proposons, de redresser la part
> salariale dans la valeur ajoutée et de modifier la répartition de la
> masse salariale ainsi revalorisée entre actifs et retraités. Et même
> dans l'hypothèse la plus défavorable pour les salariés - c'est-à-dire
> celle où ils devraient supporter eux-mêmes l'intégralité de ce coût avec
> un partage stable entre salaires et profits ? les gains de productivité
> permettraient une progression du pouvoir d'achat des salaires trois fois
> plus rapide sur les vingt années à venir, qu'au cours des vingt
> dernières.
>
> De nombreux travaux, comme les expériences étrangères, montrent par
> ailleurs que les autres solutions, notamment la capitalisation ou le
> recul de l'âge de la retraite, sont factices et sources d'inégalités et
> d'incertitudes accrues, voire de catastrophes sociales comme pour les
> salariés d'Enron.
>
> Le choix qui nous est présenté comme la gestion concertée et experte des
> contraintes apparaît finalement comme un choix politique et social en
> faveur de la finance, au détriment des retraités. A cette régression,
> nous opposons un projet qui assure l'équité et la solidarité, entre
> actifs et entre générations.
>
> Et c'est au nom d'un tel projet que nous voulons nous mobiliser
> ensemble, syndicalistes, associatifs, enseignants et chercheurs, privé
> et public. Parce que c'est juste, parce que c'est possible.
>
> Contacts, signature, diffusion :
> Site : http://appel-retraites.org
> e-mail : [url=mailto:augen2@wanadoo.fr]augen2@wanadoo.fr[/url]
> 01 48 05 83 72 (Willy Pelletier)
Nestor Cerpa
 
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Message par stef » 08 Avr 2003, 22:29

L'appel des 500 travailleurs de la RATP revendique :
a écrit :Nous soussignés, nous addressons à vous, dirigeants des organisations syndicales de la RATP :

Prenez publiquement position pour la défense de notre règlement de retraites !

Prononcez vous pour le maintien intégral de notre régime de retraite, pour tous les personnels de la RATP !
La direction (Madame Idrac), en présentant au Conseil d'Administration le 24 janvier "ses orientations stratégiques" avait déclaré : "L'un des grands atouts de la RATP, c'est la force du dialogue social que, bien entendu, j'entends poursuivre. Lorsqu'il faudra^parler des retraites nous le ferons dans cet esprit."

Dirigeants des organisations syndicales, refusez toute négociation, toute concertation, toute consultation avec la Direction et tout représentant du gouvernement sur la question des retraites !


Exigence encore plus actuelle au moment où on apprend que les syndicats sont conviés à mettre en oeuvre la réforme (ainsi des négociations de branche sur la "pénibilité" sont prévues pour mettre en palce la "réforme" des retraites). Or on ne saurait combattre ce qu'on accepte par avance d'appliquer.

A ceci s'ajoute l'exigence désormais évidente, élémentaire, que les directions syndicales - notamment de la Fonction Publique - appellent à la Grève Générale. (Ca ne l'était pas au moment de la signature de ce texte).

Or pas une trace de tout cela dans le texte publié par Nestor ! Voilà pourquoi il ne faut pas signer ce texte
stef
 
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Message par Louis » 08 Avr 2003, 22:45

je ne comprend pas cher steph

Lui propose unb soi disant appel "des 500 de la ratp" Voyons un peu cela

l'appel n'a pas l'air de se prononcer pour le retour de tous a 37.5 annuités Serait il inspiré par la CFDT ? :headonwall:

il se prononce contre toute négociation avec la direction mais ne propose aucun plan d'action, pour la mobilisation alors qu'il se prononce pour la greve générale Serait il inspiré par la CFDT ? :headonwall:

Il ne propose aucune avancée sur les retraites de misère qui touche plus particulierment les femmes (comme je l'ai montré lors d'un post précédent Serait il inspiré par la cfdt ? :headonwall:
Louis
 
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Message par stef » 08 Avr 2003, 22:51

Tes clowneries ne valent pas un kopeck, cher LCR.
Mais libre à toi de défendre un appel signé par des gens comme Filoche... Si tu t'y sens à ta place... Chacun la sienne... :D

Et puis tant qu'à faire, médite celui-là :
a écrit :"Face aux attaques quasi quotidiennes contre l'enseignement public et ses personnels (retraites, décentralisation, aides-éducateurs, surveillants...), l'AG des personnels de l'enseignement réunie à Montpellier le 3 avril d'adresse aux dirigeants des confédérations, des fédérations de fonctionnaires, des syndicats de l'Education Nationale :
- Exigez l'abandon de la contre-réforme des retraites, de la décentralisation, de la casse des statuts, des licenciements.
- Cessez sans délai les discussions sur les retraites avec le gouvernement, qui ne débouchent sur aucune prise en compte des revendications que vous défendez au nom des personnels.
- Appelez contre les projets gouvernementaux à la grève générale de l'Education Nationale et de la fonction publique."

(adopté par environ 360 pour, 1 contre, 3 abstentions, 4 refus de vote).
stef
 
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Message par Nestor Cerpa » 09 Avr 2003, 19:00

Euh stef j'avoue que je te trouve de plus en plus ahurissant. Maintenant tu signe des pétitions en fonction de qui la signe. Ok filoche la signe mais dans tes 500 ils ont tous voter LO??? T'imagines ça ce trouve ta signer une pétition avec des membres du FN....

Je préférais ton post sur le problème politique de l'appel pétition, au moins c'étais intéréssant.
Pour ton premier argument ok pour le second sur la greve generale: j'espere que tes pas syndiqués parceque sinon tu dois être malheureux que ton syndicat n'appel pas tous les jours à la grève générale.
Je suis d'accord pour dire qu'il faut aujourd'hui vu l'attaque faire et pousser vers la greve generale. Mais voilà je pense que cette appel est plutôt bien et c'est le moins pire que j'ai vu pour l'instant (en dehors des appels corpo)
Nestor Cerpa
 
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Message par stef » 09 Avr 2003, 19:08

1/ J'ai dit que Filoche était fort bien à sa place dans cet appel qui ne représente en rien une ouverture politique.
Bref, c'est symptômatique. Et tu sais quoi ? Je le maintiens !

2/ Quant au fait que ce papier est le moins pire (blah blah)... moi je défends l'appel des ensignants de Montpellier. Eux veulent combattre le gouvernement ! Et je vais même te dire : ton rôle est justement de défendre cet appel. Ou alors explique moi en quoi il est faux !
Si tu veux faire oeuvre utile, c'est ça qu'il faut défendre, pas la ligne de Filoche, qui sait très bien ce qu'il fait !

3/ Et oui, le devoir des dirigeants syndicaux est d'organiser la grève générale en défense des acquis. C'est ça qui se cherche de partout.
Qu'est ce qui te prends de les protéger ?
stef
 
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Message par Nestor Cerpa » 09 Avr 2003, 19:27

Tu m'as vu protéger qui? je dis encore une fois que ton arrogance catégorique refuse et coupe toute discussion possible.

Non je ne défenderais pas ton appel corpo. Je trouve inadmissible qu'un révolutionnaire défende un texte qui ne défend que la grève dans le publique :headonwall:
a écrit :à la grève générale de l'Education Nationale et de la fonction publique


Perso je ne suis pas dans cette catégorie et mon syndicat ne défendra jamais une tel position qui sert encore l'intéret de la bourgeoisie en marquant la division. Je suis remplis de peine de voir :( que tu sert la logique de patronat en divisant public /privé sur les retraites.

PUBLIC PRIVE MEME COMBAT.

Bon stef t'a pas un appel qui n'est pas corpo a me proposer?
Nestor Cerpa
 
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Message par stef » 09 Avr 2003, 20:51

Nestor


Ceux qui lisent les posts de ce thread n'ont qu'à juger si l'appel de Montpellier est "corpo". Je te laisse insulter les enseignants qui ont voté ce texte - sur un terrain pareil, on ne discute pas.

Mais au fait, cher camarade : quel est le bilan de ton organisation ? Pour l'instant, je l'ai vue coller au cul de bureaucrates du SNUIPP, se taire au congrès de la CGT.... Mais en positif, le bilan est maigre, très maigre... si on excepte évidemment le texte ci-dessus - intégralement sur la ligne des appareils.

Et toi qui - sans rire - est pour avancer le mot d'ordre de Grève Générale partout, privé comme public, quelle initiative proposes-tu ? Comment concilier ceci avec l'appel en question, qui n'en dit mot (de ça comme du reste) ?

PS. Plus sérieusement. Fillon a annoncé que jusqu'au bout la méthode du "dialogue social" s'appliquerait. Préparer les conditions de l'affrontement, c'est multiplier les initiatives pour la rupture de la collaboration avec le gouvernement UMP. Fillon annonce déjà des négociations de branche pour "négocier" les modalités d'application de sa réforme. On ne peut combattre ce qu'on accepte par avance d'appliquer.
Si tu veux la grève générale dans le privé je te suggère fortement d'intervenir sur cet axe....
stef
 
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