Avanti !

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par tristana » 14 Jan 2003, 19:07

(wolf @ mardi 14 janvier 2003 à 13:51 a écrit :Ca c'est vraiment typique de la LCR (même si ce sont d'anciens morénistes ou assimilés qui font ce bulletin). L'Auberge espagnole.

Chaque petit groupe se fait son "courant", sa "tendance", sa "fraction", tout naturellement, publie ses positions publiquement comme il l'entend. Tout ce petit monde y prend un grand plaisir et surtout reste dans un autre monde.
Curieux comme je suis, j'ai jeté un oeil. Et comment un courant se constituant dans la LCR peut-il écrire:
"C’est pourquoi il est crucial que la LCR et la IV° Internationale défendent sans ambiguïté une politique de rupture avec le capitalisme"

Sans prononcer les termes suivants "Chirac", "vote Chirac", "gouvernement", "Organisations syndicales"... j'arrête la liste.

C'est vraiment ahurissant.

C'est un peu débile, ce que tu dis!
Ils n'ont pas prononcé non plus les mots "porte manteau", "onirique", "extasy" ou "hélitreuillage"...
Le vote Chirac, on s'en tape comme de l'an quarante!
On ne va pas en reparler jusqu'à la fin des temps!
Ce n'était ni une erreur, ni une non erreur.
C'est la vie qui est passée par là, avec ses hauts et ses bas, ses porte manteaux, ses crudités et le combat continue, les débats aussi et c'est tant mieux.

PS: Je note que dans ta contribution, tu ne cites meme pas le mot "Révolution",alors que moi, si: révolution, révolution...
Ahurissant, non?
tristana
 
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Message par tristana » 14 Jan 2003, 19:09

(EMMA-LOUISE @ mardi 14 janvier 2003 à 17:33 a écrit :tout!!!

Salut!
Ca y est, mon téléphone remarche!
OK pour le collage demain vers 14H, passe chez moi!
tristana
 
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Message par Louis » 14 Jan 2003, 19:33

a écrit :Sur la question des courants, je ne crois pas que l'existence de tendances soit un signe de bonne santé, mais surtout, dans la ligue, on fait d'abord une tendance pour discuter. C'est comme dans le PS


L'existance de tendance n'est pas en soi un signe de bonne santé Je ne connais pas de parti révolutionnaires qui ait conduiT un processus révolutionnaire sans tendances (plus ou moins organisées)

Sans doute, le fait que de nombreuses tendances existent dans la meme organisation font peser le risque d'un éclatement organisationnel et politique. Est ce que le fait que ces tendances soient amené a constituer leur groupe indépendant, férocement oposé aux autres groupes fait avancer d'un iota la lutte de classe Quel est le poids politique de cps dans la lutte de classe ?

Maintenant, il y a tendances et tendances Notre conception est qu'elles sont inclusives, c'est a dire que le fait de s'oposer a l'orientation majoritaire ne les mene pas systemetiquement a la marginalité dans l'organisation, et qu'elle doive etre représenté a la direction de l'orga et dans les instances fait que ces tendances ont moins l'occasion de se "stratifier"

De ce point de vue, tu peut noter le bilan quelque peu différent du passage de cambadélis (pour le pci) et de filoche (pour la lcr) MAtti s'est retrouvé avec seulement la moitié de la tendance qu'il avait contribué a créer (et celle ci avait fondu au fur et a mesure de l'évolution de Filoche) Cambadélis s'est barré avec tout le courant étudiant Choisi ton camp, camarade

Enfin, c'est purement polémique (et donc nul et non avenu) ta comparaison avec le ps : les sensibilités ne servent que d'écuries pour des enjeux de carrière et on peut voir des tendances exister sans un poil de différence entre elles (genre congres de renne en 90) chez cous, les tendances R et la majo se rapprochent : elles fusionnent
Louis
 
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Message par emma-louise » 15 Jan 2003, 13:52

ma coterie et mes potes votent une exclusion totale d'yvan du forum ...et après??? Emma-Louise ,tristana et les autres , rejoignent LO ??? si un jour on rejoint LO ce sera jamais à la suite d'invectives et de ragots (j'ai la colère là la vie d'ma mère!!!)


[img]http://forumamislo.net/uploads/post-9-1042635131.jpg[img]
emma-louise
 
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Message par tristana » 15 Jan 2003, 15:21

(wolf @ mardi 14 janvier 2003 à 23:17 a écrit :
(triste @ triste a écrit :C'est un peu débile, ce que tu dis!


Si tu penses que commencer par définir sa politique dans la lutte des classes en France n'est pas la moindre, mais vraiment la moindre des choses qu'on attende d'un "nouveau" courant, effectivement on ne risque pas de se comprendre.
Mais il est vrai que ça aussi c'est une des caractéristiques de la ligue. pas des écuries, effectivement, lcr, mais des côteries.

Au fait, on attend toujours la condamnation officielle de la charge lamentable contre LO à laquelle s'est livrée Yvan depuis les locaux de la brèche dans une émission de merde ...

Faut pas rester là, monsieur...........
tristana
 
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Message par emman » 15 Jan 2003, 15:57

Qu'est-ce qu 'il a dit Yvan et quand ?
emman
 
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Message par emma-louise » 15 Jan 2003, 16:19

La preuve par la campagne…

Le fait dominant de cette campagne est la vitalité de l'extrême-gauche, c'est-à-dire du mouvement trotskyste dans sa diversité. Il convient de noter avec grande satisfaction la leçon que les faits viennent donner à tous ceux qui voulaient s'empresser d'abandonner les références à notre passé, plus généralement la référence au communisme. Plus précisément, le fait que ce soit le mouvement trotskiste qui permette à une fraction des travailleurs de sanctionner et de désavouer les partis de la gauche plurielle au moment où s'effondre le stalinisme est la démonstration par les actes de la validité des raisonnements et analyses qui fondent notre démarche commune. C'est la vérification de la fécondité des analyses de Trotsky, de façon plus générale du marxisme, du matérialisme militant.
Par delà nos faiblesses, nos erreurs, nos difficultés, il y a là la confirmation, à grande échelle, de notre conviction que le mouvement ouvrier ne peut renaître des défaites de la social-démocratie et du stalinisme qu'en renouant avec le marxisme révolutionnaire.
Le mouvement trotskyste est un capital politique et humain indispensable à cette renaissance. Il en constitue l'élément moteur.
Reste qu'il nous faut faire des bilans afin de tirer de cette vitalité les éléments nécessaires pour répondre aux besoins nouveaux du mouvement ouvrier, ce que l'on appelle aujourd'hui le mouvement social.
Chacune des trois tendances peut se revendiquer d'un bilan, aucune ne peut par ses seules forces prétendre être la réponse à la question du jour : comment aider au regroupement les forces d'opposition qui se situent dans le camp des travailleurs.
Pour dépasser la division, il ne suffit pas de se revendiquer de l'unité, de ce nécessaire regroupement. Ce serait là un raisonnement moral. Dépasser la division, ce n'est pas nécessairement unir les anciennes organisations, mais dépasser les causes politiques des divisions, c'est-à-dire des échecs passés, pour créer les conditions d'une éventuelle unification. Ou à défaut unir les forces qui peuvent l'être.
Il ne suffit pas non plus de dénoncer le sectarisme… de l'autre. Le sectarisme n'est pas un problème moral sans racines politiques. Si on ne s'attaque pas à ses racines politiques, l'anti-sectarisme devient une autre forme de sectarisme, autojustification complaisante dans l'accusation de l'autre. Voire, pour les moins engagés, une justification pour ne pas choisir ni se battre.
Combattre dans les faits le sectarisme, c'est ouvrir le débat avec l'autre, un débat sérieux respectueux même des mauvais arguments au sens où ces derniers recouvrent une réalité politique. C'est discuter des idées et des politiques de chacun dans ce qu'elles expriment de réalité politique, militante.
C'est à travers et par cette discussion que nous pourrons formuler une politique qui offre une perspective aux aspirations de tous ceux qui militent dans les différentes tendances afin d'aider à les regrouper, malgré leur direction si besoin. Indépendamment de ce que veulent les directions du PT ou de LO, la mise en œuvre d'une politique unitaire suppose d'avoir un projet qui englobe la diversité des différentes tendances susceptibles de se regrouper. Elle suppose aussi une politique ne craignant pas de dire les faits, la vérité. L'unité est à l'opposé des fausses diplomaties contraires aux intérêts généraux du mouvement.
Aucune solidarité ne peut faire taire la vérité, sauf de faire sienne la raison d'Etat ou de parti au nom de laquelle le stalinisme a étouffé le mouvement ouvrier.
Sa renaissance ne pourra se faire sans une totale liberté de pensée, sans une réévaluation critique de notre propre passé.
L'unité ne peut se faire par des accords d'appareils, elle ne peut pas plus se faire sous la pression d'un rapport de force surtout s'il est simplement électoral. Elle ne peut se réaliser que par la conjonction d'une politique visant à dépasser les limites des différents courants, donc les nôtres, pour tracer une perspective commune et de l'influence de forces nouvelles, dynamiques venues du mouvement ouvrier lui-même, de la jeunesse.
L'unité suppose une politique permettant de regrouper toutes les énergies, de confronter les expériences du point de vue des intérêts de l'ensemble du mouvement ouvrier. Donc aussi de savoir apprendre de toutes ces expériences.
Ce qui suppose de ne craindre aucune idée, aucune confrontation, c'est-à-dire de se situer du point de vue des intérêts révolutionnaires des exploités, n'avoir rien à perdre.
Unitaire, démocratique, révolutionnaire se conjuguent.
La campagne électorale remet le mouvement trotskyste au devant de la scène au moment où le stalinisme s'effondre. Mais il s'agit aussi de solder les comptes du gauchisme, c'est-à-dire des déformations de nos propres idées du fait de l'isolement, de la marginalisation du mouvement ouvrier par le stalinisme.
Le mouvement ouvrier s'ouvre à nous, mais il n'y aura aucun automatisme. Pour y plonger, nous avons à nous défaire des échecs du passé dont les divisions sont les témoignages, des témoignages encore à vif, blessures encore sensibles qui ne se guériront que par le baume de liens dynamiques avec le mouvement ouvrier.
Que gardons-nous, que rejetons-nous pour défendre au mieux les intérêts des opprimés, nous unir à eux dans un mouvement démocratique et révolutionnaire ? Telle est la question à laquelle toute l'extrême-gauche est confrontée.
Nous voudrions retenir de ce passé par delà la fidélité révolutionnaire qui appartient à la famille trotskyste dans sa diversité le sens de classe et la volonté de professionnalisme de LO, l'interventionnisme de la Ligue, son souci d'ouverture et de démocratie, la nécessité de regrouper au sein d'un même parti les différents courants issus de l'histoire du mouvement ouvrier dont le PT a fait une caricature.
Cet héritage nous le dépasserons en le plongeant dans la source de jouvence du mouvement ouvrier et populaire réel. Lui seul, libéré du carcan stalinien et social-démocrate, peut redonner force et vitalité à une politique révolutionnaire que le recul a par trop caricaturée.
Cela signifie retrouver la fraîcheur des idées de la révolution, une nouvelle révolution que la mondialisation fait mûrir.
Préparer l'unification des forces qui entendent y œuvrer, c'est formuler un plan de construction qui associe esprit de classe, ouverture et démocratie ; professionnalisme et esprit égalitaire ; interventionnisme, militantisme dans les syndicats et associations et lutte politique ; unité et respect des différentes traditions, des différentes conceptions. C'est formuler un plan de construction d'une force démocratique et révolutionnaire.
On reproche à l'extrême-gauche, principalement à Arlette Laguiller du fait de son score, de ne pas jouer le jeu de la démocratie parlementaire, en conséquence de quoi, le vote extrême-gauche serait stérile.
Il est vrai que nous ne jouons pas le jeu de la démocratie parlementaire. Il est vrai aussi que, dans l'histoire, tous les progrès démocratiques et sociaux ont toujours été le fruit de la mobilisation, de la pression populaire à laquelle les classes dominantes comme les gouvernements n'ont fait que céder pour préserver l'essentiel, leur domination sur la société.
Le vote pour l'extrême-gauche est utile parce qu'il prépare ces mobilisations, prémices d'un réel contrôle, moyens aussi de ce contrôle.
Cela ne veut nullement dire que nous nous dérobons à nos responsabilités, bien au contraire. Les révolutionnaires sont prêts à assumer toutes les responsabilités, y compris celle du pouvoir. Mais pour nous, le pouvoir ne peut être qu'un pouvoir de transformation, un instrument au service des masses, sous leur contrôle direct.
Nous serions prêts à assumer nos responsabilités au sein d'un gouvernement des travailleurs et de leurs organisations, un gouvernement responsable devant une assemblée élue à la proportionnelle, directement responsable devant cette assemblée, s'appuyant sur la mobilisation et l'organisation des classes populaires sur les lieux de travail, dans les quartiers, au niveau des villes et des régions. Et dès aujourd'hui nous entendons assumer nos responsabilités, aider à l'émergence d'un parti des luttes, instrument pour la conquête du pouvoir par le monde du travail, la grande majorité de la population.
Loin de se dérober, l'extrême-gauche se prépare à faire face à ses responsabilités. Cela passe par un large débat.
La candidature d'Olivier Besancenot est la plus à même d'initier ce débat, d'œuvrer au rassemblement, de donner aux idées révolutionnaires le visage de la jeunesse, de la démocratie, de la lutte.
Ces qualités lui ont permis de s'imposer et de gagner une crédibilité qui ne manquera pas de se manifester au moment du vote.
Il est important que le plus grand nombre de voix se porte sur son nom.
Yvan Lemaitre





La réalité et le mythe…

Lors de son meeting du 14 avril au Zénith, Arlette Laguiller a fixé la barre très haut pour définir le score qui, selon elle, deviendrait significatif et qui, " peut-être ", mettrait à l'ordre du jour la construction d'un " nouveau parti communiste ".
" Si j'atteins les scores que me prêtent certains sondages, et si j'atteins le double d'électeurs qu'en 95, soit de l'ordre de trois millions, oui, on pourra se dire que quelque chose a changé et que nombreux sont ceux qui ont pris conscience qu'il manque aux travailleurs un instrument pour se défendre, et que le parti communiste a fait la preuve qu'il n'est plus cet instrument. "
Fixer hors de toute analyse globale du mouvement ouvrier un chiffre définissant le score électoral à partir duquel il serait possible de juger de l'évolution des consciences relève de la métaphysique politique. Cela est d'autant plus ridicule que ce chiffre n'a de sens que par rapport aux discussions d'après les élections de 95. La direction de LO disait alors pour justifier son absence d'initiatives que seuls 10 % des voix lui en auraient donné les moyens.
A noter (au passage) que LO ne parle que de ses voix, pas de celles de l'ensemble de l'extrême-gauche.
Le raisonnement laisse entendre que le PC était encore, il y a peu, cet instrument. Il ne souligne pas les éléments de rupture avec la politique réformiste dans les évolutions de conscience.
Le PC n'est plus ce qu'il était, cela se voit, nous dit-on. Il s'agit mécaniquement de prendre cette place laissée libre par le PC, stratégie du mimétisme.
En réalité, c'est la radicalisation des travailleurs sous les effets de l'offensive de la bourgeoisie avec la complicité de la gauche plurielle qui affaiblit un PC qui, lui, va jusqu'au bout des conséquences de sa politique réformiste. Le PC n'a plus les moyens de dévoyer les énergies militantes au moment où une fraction de la classe ouvrière retrouve les chemins de la lutte.
Construire une nouvelle force du monde du travail, c'est amplifier ce mouvement de rupture en armant les travailleurs politiquement et organisationnellement, c'est-à-dire en unifiant les forces dispersées.
Et cela que le score soit de 2 ou de 3 millions de voix pour l'ensemble de l'extrême-gauche.
Ce n'est pas le score électoral qui met à l'ordre du jour et rend concrètement possible la construction par les travailleurs eux-mêmes d'un parti, mais le changement de période dans lequel nous sommes. Le score électoral n'est qu'une manifestation déformée, qu'il faudra analyser en son temps, de ces évolutions objectives et subjectives.
Inverser le raisonnement relève de ce que nos prédécesseurs appelaient le " crétinisme parlementaire ", prendre la projection parlementaire, électorale, des problèmes pour les problèmes eux-mêmes.
" On saura alors s'il est peut-être possible de construire un nouveau parti communiste… " poursuit Arlette Laguiller.
Non, c'est dès maintenant, dans le cours même de la campagne, qu'il faut dire ce que l'on veut faire. Le raisonnement de LO est prisonnier d'une compréhension mécanique des choses, parce qu'elle est prisonnière d'une méthode de construction par en haut.
C'est pourquoi au lieu d'appeler ceux qui viennent à ses meetings à prendre eux-mêmes en main la construction de leur propre organisation, LO prend les couleurs d'un nouveau parti communiste qui ressemblerait à l'ancien quand…
C'est cette logique de la construction par en haut qui explique la personnalisation outrancière de la campagne d'Arlette Laguiller. Tout est ramené à elle.
Parlant du parti, elle dit " je ne peux pas le créer, contrairement à ce que disent certains, d'un simple appel à la télévision ". Arlette Laguiller discute avec elle-même ! Qui pourrait sérieusement penser ça ?
Puis elle ajoute " Un tel parti, cela veut dire, je le répète, plusieurs milliers de personne qui y adhérent. Plus mon score sera élevé, plus il y aura de chance que, parmi ceux qui auront voté pour ma candidature il s'en trouve 30, 40, 50 000 qui adhérent à une telle idée et à un tel parti.
Ce n'est pas une prévision, c'est un espoir. "
A défaut de politique reste l'espoir… d'un miracle !
La direction de LO sème l'espoir, parce qu'elle sait bien que LO elle-même ne peut se construire que par les efforts des militants eux-mêmes, de leur travail. Elle leur donne l'espoir pour militer au lieu de formuler une politique qui les arme.
La direction de LO ne discute pas des initiatives qu'elle pourrait prendre, initiatives politiques, à partir d'une analyse des forces concrètes, des alliés potentiels au sein du mouvement révolutionnaire ou social mais agite le mythe du " grand parti des travailleurs ", formule incantatoire.
La réalité concrète finira bien par s'imposer d'autant que le débat est public, il se mène dans la confrontation des idées et des politiques, des paroles et des actes.
YL
emma-louise
 
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Message par emma-louise » 15 Jan 2003, 16:30

voilà ce que dit ce camarade... pour" l'afffaire" , ...ici on pourra RIEN clarifier :il aurait _ a (?) "bavé" sur LO dans une télé que j'ai pas vue A mon avis , continuons à nous polémiquer entre nous...mais :halalala: assez de rumeurs et autres bruits de :anim-toilet: la direction de LO a-t -elle (où et quand) demandé des explications ? Ont -elles été données_refusées :ptit-bob: :somme: :prosterne: J'en sais rien :prosterne: oui , ça m'emmmerd.. :prosterne: mais ,ICI on n'en saura pas plus (que ça m'plaise ou non)


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emma-louise
 
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