(yannalan @ samedi 15 septembre 2007 à 06:47 a écrit : (abounouwas @ samedi 15 septembre 2007 à 01:15 a écrit : Il ne s'agissait que de Brassens...
il n'existe en effet pas de nation occitane.
En passant juste, Brassens était touours très content de revenir retrouver ses copains à Sète et de s'y faire enterrer... Il savait qu"il était né "quelque part" quoiqu'il en dise....
Et il chantait pas en occitan ??! Sus au traitre ! :rocketwhore:
Non, sérieux, c'est pas bientôt fini ces fadaises ? La "nation occitane" est un délire pur, ça n'a jamais existé, et c'est sûrement pas en passe de naître. Il suffit de connaître un peu d'histoire et/ou de linguistique pour voir que c'est du vent. Non seulement il n'y a jamais eu d'intérêts communs au delà des classes au sein de la supposée "nation occitane" (mais ça on peut le dire de toutes les nations), mais il n'y a même jamais eu dans l'histoire un intérêt commun géographique entre, disons, la Provence et l'Aquitaine, qui puisse les opposer à l'"oppression" française/jacobine/oïlitane (cochez la case que vous voulez, je m'en fous).
Tu peux aimer la langue occitane et vouloir la défendre, je comprends. Mais épargnes-nous par pitié tes justifications chauvines et délirantes, on a assez de nationalos à supporter ou à combattre pour avoir à supporter ça.
Tiens, autre chose sur le sujet, qu'un ami argentin qui avait vécu trois ans au Pays Basque espagnol me faisait remarquer récemment : Au Pays Basque espagnol, il y a 20% de la population qui parle basque (ou au moins qui connaît la langue), et 80% qui ne le parle pas. Près de 100% de la population parle espagnol, en tout cas tous ceux qui parlent basque parlent aussi espagnol. Néanmoins pour avoir un emploi dans la fonction publique au Pays Basque, il faut maintenant savoir parler basque ! De sorte qu'on est vraiment en droit de se demander qui est l'opprimé, et qui est l'oppresseur. C'est ça que tu veux pour ton "occitanie" ? Si c'est le cas c'est un projet qu'il faut combattre, un point c'est tout.