Meeting Paris

[Mariategui]

On fait des jaloux. PCF

[Barikad]

Olivier est un peu plus rock' n' roll qu'Arlette et il y va de ses traits d'humour et de ses jeux d'estrade, comme un orateur centriste chevronné.

:247: :247: :247:

En plus de deux heures de discours, les mots PC, PCF ou Parti communiste ne sont pas une fois prononcés.

Il est dommage que la LCR ait choisi un accord strictement politicien, qui risque de mettre certaines de ces énergies hors-jeu.

Ou comment draguer Piquet....

Olivier Mayer

Ou quand la mediocrité dispute la mauvaise foi....
:headonwall:
Alors Marie georges, on est inquite? ...
Dire que ces gens là continue de se reclammer du Communisme

[alex]

20MINUTES
L’extrême gauche cherche son peuple
Lundi 09 février 2004

Dans le dernier sondage publié sur les élections régionales en Ile-de-France (dans ParisObs), Arlette Laguiller, leader de l’alliance LCR-LO, et Marie-George Buffet, chef de file du PCF, rivalisent en bas de tableau. Cinq points pour Arlette, six pour l’ex-ministre des Sports. Loin derrière Huchon (PS), Copé (UMP) et Santini (UDF). Loin aussi de Marine Le Pen (FN). La lutte pour la survie s’annonce âpre et douloureuse.Constructions de logements sociaux, gratuité des transports en commun pour les plus modestes… Les deux programmes se retrouvent sur bon nombre de points. Le premier grand meeting de campagne de LCR-LO, vendredi à la Mutualité, a également confirmé la proximité des discours. Devant une salle comble et face à des esprits surchauffés, Olivier Besancenot et Arlette Laguiller se partagent la tâche. Le premier appelle à « une grève générale » et se revendique de la « vraie voix sociale ». La seconde fustige les « patrons voyous » et parle d’un gouvernement en « guerre contre les travailleurs ».Le lendemain, c’est Marie-Georges Buffet qui lance la campagne nationale pour l’emploi du PCF. Elle relève « les mauvais coups du patronat », « la précarisation massive des salariés » et se présente comme « l’antithèse du gouvernement Raffarin ».Seul point de rupture : les consignes de vote au second tour. Olivier Besancenot rejette un soutien au PS. « Ne confondons pas gauche unitaire et parti unique », argumente le porte-parole de la LCR. Position jugée « irresponsable » au PC.Analysé par ParisObs, le vote ouvrier accorde aujourd’hui 12 % de ses voix à Laguiller et 13 % à Buffet. Mais les deux femmes doivent partager le thème de « l’insécurité sociale » avec Marine Le Pen, dont l’enquête d’opinion affirme qu’elle séduit aujourd’hui 22 % de l’électorat francilien de Robert Hue. G. M.