Tchen, dire que "c'est de la merde" ne nous avance pas vraiment... Généralement les marxistes révolutionnaires étaient mieux armés pour les débats théoriques. Bon, la confusion entre tous les nationalismes est bien facile, du fait du nom unique. De là à confondre les luttes de tant de peuple du Tiers-monde avec le pen ou hitler, qund même... Je nous croyais mieux formés, mieux armés...Mais après tout savoir s'ils sont de gauche ou pas, c'est intéressant certes, mais comme le disaient les "amis" au Zénith il y a plus de dix ans, "gauche" (voire extrême-gauche) ce n'est pas non plus une notion marxiste. Et quand bien même... modération : sujet fermé, après 42 pages de discussions. Il y a sans doute du n'importe quoi politique et théorique dans de nombreux mouvements nationalistes ou régionalistes récents, mais attention quand on cite des auteurs "républicains", nationalistes français, héritiers de Ferry,etc. La république qu'ils défendent c'est la république de la classe bourgeoise, c'est la tricolore meurtrière de Verdun ou de Madagascar. Le nationalisme des peuples opprimés, une limite, voire une impasse? Peut-être. Mais le nationalisme républicain des peuples oppresseurs, alors? Et, par exemple, pourquoi tant de peur face aux langues minoritaires? (Cf. les références ou liens cités dans les premiers post). En quoi vouloir parler sa langue est incompatible avec le marxisme? Ça fait "plus marxiste" d'imposer le français à tous? Et pourquoi pas l'anglais ou l'arabe d'ailleurs? Peut-on combattre les illusions nationalistes en citant d'autres auteurs rétrogardes, patriotes français ethnocides déguisés? En quoi être Jacobin en 2008 est encore révolutionnaire quand la bourgeoisie, l'avons-nous lu, ne l'est plus?
(A suivre...)