Etat des luttes en France

Tout ce qui touche de près ou de loin à l'actualité politique en France

Message par tristana » 09 Mai 2003, 20:09

Etat des luttes en France (hors IdF)
Mise à jour avec les informations recueillies ce 8 Mai.
Le vendredi 9 mai 2003.
Des infos pour de nouveaux départements, des compléments pour d'autres... Et quelques premiers chiffres sur les établissements qui étaient en grève reconductible ce 7 Mai. N'hésitez pas à compléter cette liste en cliquant sur "répondre à cet article" !
01-Ain : Grève reconductible votée par l'AG (100 personnes environ, 17 établissements représentés). 5 établissements en grève reconductible dès le 7, de nombreux autres qui vont se joindre au mouvement à partir du 13

03-Allier : L'AG appelle à la grève reconductible dès maintenant.

04-Alpes-de-Haute-Provence : Au moins 2 établissements en grève reconductible.

05-Hautes-Alpes : Grève reconductible dès le 7 votée par l'AG (au moins 2 établissements du secondaire en grève reconductible)

06-Alpes-Maritimes : Grève reconductible votée par l'AG pour le 7,9 et 10 mai (AG de 600 personnes) 23 établissements du secondaire en grève reconductible.

07-Ardèche : Grève reconductible votée par l'AG départementale, dès maintenant ou d'ici le 13.

09-Ariège : L'AG des grévistes (200 personnes) s'est prononcée à 61.65% pour la reconduction de la grève dès le 7 mai.

11-Aude : Grève reconductible à partir du 7, jusqu'au 13 votée par l'AG (450 pour, 10 contre) Au moins 3 établissements (du secondaire) de Narbonne en grève reconductible. Primaire touché.

12-Aveyron : A l'appel de l'AG, mot d'ordre de grève reconductible à partir du 13 mai.

13-Bouches-du-Rhône : Grève reconductible votée par l'AG Une vingtaine d'établissements en grève reconductible entre le 6 et le 13.

17-Charente-Maritime : 2 collèges en grève reconductible.

2A-Corse-du-Sud : ATOSS en grève depuis le 29 avril et qui poursuivent leur mouvement de 24 heures en 24 heures. La mobilisation se met en place plus lentement chez les enseignants.

2B-Haute-Corse : Les enseignants du premier degré ont voté à l'unanimité la reconduction illimitée du mouvement. Les personnels de la Cité technique de Montesoro ont décidé également la poursuite de la grève jusqu'au 13 mai inclus.

22-Côtes d'Armor : Grève reconductible votée par l'AG le 7 Mai. (70 personnes environ, une vingtaine d'établissements représentés). 4 établissements en grève à 100 %.

24-Dordogne : Grève reconductible votée par l'AG (350/400 présents, 3 contre, 15 abs.) Au moins un lycée en grève reconductible à partir du 12. Blocage prévu des épreuves expérimentales du bac en début de semaine.

25-Doubs : En attente du 13…

26-Drôme : Certains sont déjà en grève reconductible, le mouvement démarrera, s'il démarre, à partir du 13.

29-Finistère :
(Brest)Une quinzaine d'établissements du secondaire en grève reconductible dans la région de Brest. Le primaire semble attendre le 13.
(Quimperlé) 30 collègues dans le mouvement de grève reconductible. ATOSS largement impliqués.
(Quimper) : début de grève reconductible depuis le 06
(Morlaix, Landivisiau et Landerneau), les lycées et quelques collèges concernés par la grève reconductible.

30-Gard : 8 AG se sont déroulées dans le département réunissant 900 personnes. Grève reconduite pour le 9, voir jusqu'au 13 dans certains lieux à l'appel de toutes les fédé du département (FSU UNSA FO CFDT CGT SUD).

31-Haute-Garonne : Grève reconductible à partir du 6, jusqu'au 13 mai inclus, votée par l'AG de Toulouse (1000 personnes, 500 au moment des votes, 447 pour, 2 contre) Au moins une dizaine d'établissements de Toulouse, du secondaire, en grève reconductible.

33-Gironde : Grève reconductible à partir du 7 votée par l'AG jusqu'au 13 ( 148 pour, 2 contre, 78 abstentions, 16 refus de vote) ;

34-Hérault : (Montpellier)
Primaires : grève reconduite jusqu'au 13 mai inclus (vote à la majorité).
Secondaire : grève reconduite jusqu'à satisfaction des revendications.

(Béziers) Le vote qui a cloturé l'AG :
pour la grève reconduite jusqu'au vendredi 9 mai : 39 pour, 0 contre, 84 abstentions, 6 nspp.
pour la grève reconduite à partir du 13 mai (vote indicatif) : 122 pour, 12 abstentions, 0 contre. Dans les autres secteurs comme à Pézenas (15p, 24abs, 2c) et à Bédarieux, la reconduction de la grève est votée pour le 13 mai.

35-Ille-et-Vilaine : Grève reconductible dès à présent votée par la quasi unanimité de l'AG de 300 personnes.

37-Indre-et-Loire : 5 AG, qui ont toutes appelé à la grève reconductible dès le 7 ou le 9. Déjà qq établissements en grève reconductible (dans le primaire et dans le secondaire)

38-Isère : Les grévistes des différentes assemblées locales se sont en majorité prononcés pour la reconduction de la grève, dès mercredi 7 mai pour certains, ou le vendredi 9 mai, ou à partir du lundi 12, avant la grosse journée prévue le mardi 13 mai.

40-Landes : Grève reconductible votée (328 pour, 18 contre) Collège du pays d'Orthe en grève reconductible…

43-Haute-Loire : Grève reconductible votée par l'AG jusqu'au 13 mai. Souhait de la continuer au-delà.

44-Loire-Altlantique : 200 personnes et des poussières à l'AG de Nantes. Très peu d'établissements en grève reconductible effective. Vote indicatif sur les personnes en grève le lendemain (7/05) : une centaine. Reconduction de la grève adoptée. La reconduction semble toutefois plus significative à partir du 14.

46-Lot : (AG de la basse vallée du Lot) Une majorité des personnes présentes s'est déclarée favorable à une grève reconductible à partir du 13 mai.

47-Lot-et-Garonne : Grève reconductible jusqu'au 13 mai revotée par l'AG (136 pour, 50 abstentions et quelques NPPV).

49-Maine-et-Loire : Grève reconductible votée jusqu'au 13 par l'AG (400 personnes)

50-Manche : Grève reconductible à partir du 7 votée par l'AG (150 pour, 4 contre, 55 abs.) Etablissements de Cherbourg-nord Cotentin en grève reconductible depuis le 6 mai. Certains établissements très mobilisés, d'autres nettement moins.

56-Morbihan : Grève reconductible pour Mercredi, Vendredi, Samedi votée par l'AG (380 pour, 50 abs.) Au moins un LP en grève reconductible et un autre établissement.

59-Nord L'AG (200 personnes) appelle à… l'appel à la grève reconductible par les fédérations et confédérations syndicales au niveau national 20 établissements ont voté la grève reconductible.

60-Oise : L'AG appelle à la grève reconductible à partir du 13.

62-Pas de Calais : Les AG se multiplient et les appels à la grève reconductible aussi.

64-Pyrénées Atlantiques : (Pau) Grève reconductible dès que possible et au plus tard le lundi 12 votée par l'AG (350 personnes)

(Bayonne) Grève reconductible à partir du 7 votée par l'AG (450 présents, 32 abs, 1 contre) 1 lycée en grève reconductible, 3 écoles à partir du 9, ceux qui font le pont rejoindront le 12.

65-Hautes-Pyrénées : Grève reconductible votée à partir du 7 par l'AG (250 personnes mais 300 n'ont pas eu la place de rentrer dans la salle). Sur le terrain, il semble que de nombreux établissements ne démarreront une grève dure que le lundi 12. Le 07 mai : 3 établissements du secondaire en grève.

66-Pyrénées-Orientales : 1er degré : grève reconductible votée par l'AG jusqu'au 9 (212 pour, 8 contre) 2nd degré : qq établissements ont reconduit jusqu'au 13 mai. Appel à la grève générale dans l'Education à partir du 13. Au moins 9 établissements du secondaire en grève reconductible.

69-Rhône : L'AG (300 personnes) :
soutient les établissements en grève reconductible dès le 7
appelle à faire du 13 mai le point de départ de la reconduction. Une dizaine d'établissements du secondaire en grève reconductible.

72-Sarthe : Grève reconductible à partir du 12 votée par l'Ag de Le Mans (« très grande majorité » d'une AG de 300/400 personnes))

76-Seine-Maritime : Grève reconductible au moins jusqu'au 9.

81-Tarn : Grève reconductible votée à la quasi unanimité (amphi de 250 pers. plein) à partir du 6 mai partout où c'est possible et au plus tard le 13 mai. Dans le 1° le SNUipp appellera à la grève reconductible dès le 13 mai. De nombreux établissements démarreront à partir de mardi 13.05

82-Tarn-et-Garonne : La reconduction de la grève est largement engagée, nous la revoterons au jour le jour. Au moins 1 collège en grève reconductible.

83-Var : La plupart des AG des établissements du secondaire ont voté la grève reconductible à partir du 6. 34 établissements en grève reconductible. Soit : plus de 57 établissements du secondaire en grève reconductible dans l'académie de Nice.

84-Vaucluse : Grève reconductible votée par l'AG (700 personnes, 2 contre)

86-Vienne : En attente du 13 mai... 5-6 établissements se sont prononcés le 6 Mai pour la reconduction.

89-Yonne : Conscience de la nécessité d'une grève reconductible, plutôt à partir du 13…

Mayotte : préavis de grève reconductible à partir de leur rentrée (le 15)
tristana
 
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Message par tristana » 09 Mai 2003, 20:12

Manif à Paris :
Malgré la pluie et le pont, bonne manif. Selon un comptage précis réalisé par des collègues : 3500 personnes. Très dynamique, beaucoup de bruit tout au long du parcours. Pour l'histoire, la préfecture n'avait prévu qu'un demi boulevard pour le cortège, ils ont du revoir leur dispositif face au nombre.
"Raffarin,
on n'est pas essouflés,
ce sont tes projets qui nous gonflent !"
tristana
 
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Message par tristana » 09 Mai 2003, 20:13

9 MAI 2003
Le Snes appelle tous les personnels à s'engager sans attendre
EDUCATION, DÉCENTRALISATION, RETRAITES

Education, décentralisation, retraites.

Le Snes appelle tous les personnels à s'engager sans attendre

à rejoindre le mouvement de grèves reconductibles et à y entrer au plus tard le 13 mai
à agir dans l'unité avec les autres fonctionnaires
à tout mettre en ½uvre pour aller vers un élargissement interprofessionnel du mouvement

Le projet de loi sur les retraites, présenté à l'occasion du Conseil des ministres du 7 mai, est encore pire que prévu. Non seulement, les régressions sont toutes confirmées, mais la plupart des points, encore en suspens, ont été finalement arbitrées négativement.

Le gouvernement, cédant aux pressions de sa majorité parlementaire et du Medef, en a même rajouté en dernière minute. Un tel texte signe la fin de « la retraite à 60 ans » et donc de l'acquis social le plus important de ces vingt dernières années. Ce serait en même temps la baisse drastique de nos pensions, de 20 à 30% sous le double effet de l'allongement de la durée de cotisations et du mécanisme de la décote.

Et les salariés les plus modestes sont loin d'être épargnés ! Le smicard lui même verra sa pension passer de 84% de son salaire à 75%. La pension correspondant au minimum fonction publique, subira une amputation pouvant aller jusqu'à 20%.

L'incitation au développement de l'épargne salariale confirme la remise en cause de la retraite par répartition. Les avantages familiaux ne seront plus accordés que si le père ou la mère s'arrête un temps de travailler ! Quant à ceux qui ne totaliseraient pas les annuités requises, ils pourraient même travailler au-delà de l'âge limite fixé aujourd'hui à 65 ans.

Un tel projet de loi, s'il devait être adopté, marquerait donc des reculs extrêmement importants et brutaux pour l'ensemble des fonctionnaires et de nouvelles dégradations pour les salariés du privé.

Le gouvernement n'a pas lésiné pour essayer de « vendre » son projet à l'opinion en s'accaparant les moyens d'information : lettre du Premier ministre adressée aux Français, à grand frais et dans tous les grands journaux, émissions de télévision « pour convaincre » de F. Fillon et de JP. Raffarin.

Cette débauche de moyens, les rodomontades du Premier ministre au soir du 7 mai à la télévision, ses références répétées aux « ce n'est pas la rue qui gouverne », sa conception du dialogue social qui semble se réduire à la lecture des « pancartes des manifestants », sont autant de signes de l'inquiétude d'un gouvernement peu sûr de son fait et qui n'a plus d'autre choix que la fuite en avant.

De son côté, Luc Ferry a multiplié les déclarations à l'occasion de la journée de grève du 6 mai. Il s'est surtout employé à minimiser la mobilisation des personnels (« le mouvement s'essouffle »). Il a en même temps, en bon élève du premier ministre, envoyé des messages qui se voulaient de fermeté, au prix parfois de certains arrangements avec la vérité, comme sur la question de la décentralisation et des CO Psy, d'attaques contre les organisations syndicales et de procès en politisation des syndicats et des enseignants.

La « lettre » qu'il vient d'adresser à 800 000 exemplaires « à tous ceux qui aiment l'école », sensée lancer un débat qui n'aura pas lieu avant 2004, exaspère la profession : les propositions avancées apparaissent bien peu en phase avec les préoccupations du moment et largement « hors sujet » par rapport aux difficultés que rencontre aujourd'hui l'école.

L'exaspération est d'autant plus grande que s'accumulent les décisions dont la ligne directrice est la réduction des coûts par tous les moyens. Le projet de circulaire sur les assistants d'éducation confirme que leur statut qui n'a rien à voir avec celui des MiSe, sera aussi en net retrait par rapport à celui des aides-éducateurs.

Les premières informations sur le budget 2004 vont dans le sens d'une suppression de 2000 postes d'enseignants et d'une réduction de 9000 du nombre des adultes présents dans les établissements qui s'ajoutera à la régression de 16 000 programmée pour la rentrée 2003. L'objectif de transférer 110 000 personnels de l'Education nationale aux collectivités territoriales est réaffirmé envers et contre tout.

Chacun mesure bien aujourd'hui que ces transferts se traduiront par de nouvelles inégalités territoriales et par une remise en cause profonde des missions des personnels transférés. La dimension psychologique de l'intervention des CO Psy auprès des élèves sera ainsi gommée au profit de la seule mission d'information et d'orientation qui est la seule à intéresser aujourd'hui les régions.

Chacun mesure aussi aujourd'hui que la décentralisation brutale de plus de 10% des effectifs de personnels de l'Education nationale pourrait bien n'être que la première étape de démantèlements beaucoup plus vastes de notre système éducatif.

Ces évolutions sur des questions aussi essentielles pour l'avenir de notre société que notre système de retraites ou de notre système éducatif ne peuvent pas être analysées indépendamment de toutes les mesures déjà prises ou envisagées par ce gouvernement depuis son installation il y a un an : politique sécuritaire, politique de la jeunesse, baisse des impôts, remise en cause des acquis sociaux, sécu, réduction de la dépense publique, remise en cause de la fonction publique et des services publics, etc..

Elles vont toutes dans le sens d'une politique dont la cohérence est d'inspiration de plus en plus explicitement libérale. Elles conduisent à une régression sociale sans beaucoup de précédents et sont tout le contraire de cet « esprit de mai » que prétend incarner le premier ministre.

Tout doit être maintenant mis en ½uvre pour faire revenir le gouvernement sur ses choix les plus négatifs. Le ministre voudrait faire croire que nos motivations sont politiques, voire politiciennes. La question n'est bien évidemment pas celle de la couleur politique du gouvernement mais bien celle de ses choix en totale contradiction avec les orientations fondamentales et les revendications de notre syndicalisme

Il est clair qu'une partie décisive va se jouer en ce mois de mai. L'Education est bien placée pour marquer, avec les autres salariés, des points décisifs dans cette période .

C'est en effet un grand souffle qui parcourt notre secteur depuis le 18 mars. Tour à tour des académies comme Bordeaux, Poitiers, Rennes, Aix, Toulouse , Rouen, Montpellier et la Réunion sont entrés dans des mouvements de grèves de très haut niveau.

Ce mouvement a repris depuis la rentrée avec la Seine-St-Denis et la Région parisienne (220 établissements en grève reconductible à ce jour) mais aussi avec des centaines d'établissements en grève sur l'ensemble du territoire.

Les manifestations du 1er mai ont été marquées par une présence massive des personnels de l'Education et la journée du 6 mai a permis de rassembler près de 100 000 manifestants, un record depuis le début de l'année ! La journée du 13 mai s'annonce comme exceptionnellement puissante dans l'Education mais aussi dans toute la fonction publique et même dans le privé.

Le Snes appelle depuis son congrès à généraliser le mouvement de grèves et de manifestations. -Les conditions sont aujourd'hui réunies pour aller plus loin.
Le Snes appelle tous les personnels à s'engager dès maintenant dans la grève, à étendre le mouvement de grèves reconductibles et à y entrer au plus tard le 13 mai. D'autres syndicats de la FSU, comme le SNUIPP, le SNEP et le SNETAP lancent des appels dans le même sens.

Réussir suppose que, comme cela se fait déjà dans des centaines d'établissements, nous nous réunissions régulièrement en AG, que nous allions convaincre les collègues encore réticents et les établissements voisins, que nous menions par tous les moyens possibles campagne auprès des parents d'élèves et de l'opinion, que nous multiplions les interventions auprès des médias et les initiatives spectaculaires.

C'est ainsi que nous pourrons apporter notre propre contribution à cet élargissement du mouvement au niveau interprofessionel qui reste une des clefs décisives du succès.

Réussir suppose enfin que nous donnions, au delà du 13 mai, le maximum d'éclat à la journée de mobilisation éducation et retraites du 19 mai déjà décidée par les fédérations de l'Education et à la manifestation nationale géante pour les retraites décidée par la CGT, la FSU et l'UNSA pour le 25 mai.

Bernard Boisseau,Gisèle Jean,Jean Marie Maillard,Denis Paget,Frédérique Rolet

Secrétaires généraux du Snes
tristana
 
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Message par Andreas » 11 Mai 2003, 18:31

Vous pouvez aussi trouver des informations sur la lutte du personnel de l'éducation nationale ici
Andreas
 
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Message par Louis » 11 Mai 2003, 20:14

sans compter le fil 'info greve' de la ligue qui devrait etre remis a jour incessemment sous peu
Louis
 
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Message par Nestor Cerpa » 11 Mai 2003, 20:42

ce serait bien de faire attention mardi aus tracts diffé dans les manifs pour voir les positions au sein des sections et des entreprises vis à vis du mouvement de même je voudrais savoir le nombre et le nom des boites en luttes. perso je serais en province dans la famille donc je pourrai faire un rapport sur le mans
Nestor Cerpa
 
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