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A Lyon comme ailleurs, lors des manifestations s'opposant à l'accession de Nicolas Sarkozy à la présidence de la république, des centaines d'arrestations arbitraires ont été perpétrées par la police. Il s'agit, bien souvent, de lycéens mineurs, qui manifestaient parfois pour la première fois.

Devant l'inquiétude légitime d'une large fraction de la jeunesse et de la base militante de toutes les organisations progressistes, syndicales et associatives, le pouvoir a répondu par la main de fer de la violence policière, par l'occupation des centres villes par des centaines d'escadrons des forces de l'ordre.

Nous faisons appel à l'ensemble des organisations démocratiques, syndicales, politiques et associatives pour qu'une réaction importante de leur part aboutisse à faire cesser cette chape de plomb répressive. Il faut que les emprisonnés soient libérés et les charges retirés. L'expression du sentiment de rejet à l'égard du pouvoir UMP et de son agenda anti-social et liberticide, majoritaire dans les classes populaires, doit pouvoir se manifester librement.


Votée à la fin de la manifestation du 8 mai à Lyon (400 présents selon la presse).

Allez camarades révolutionnaires.

Une partie de la jeunesse vous appelle à la rescousse.

Tous ceux qui ne prendront pas position dans ce moment difficile seront définitivement passés dans le camp de l'ordre.

Bravo aux quelques syndicats de base SUD, FSU, etc., qui commencent à réagir.

Honte à ceux qui ne vont pas le faire.

Honte à ceux qui se joignent aux bourgeois et aux partis de gauche pour fustiger les jeunes et les laisser seuls face à l'appereil d'état mobilisé tout entier.

heu..........
non rien il commence à se faire tard.

a écrit :
Honte à ceux qui ne vont pas le faire.

Honte à ceux qui se joignent aux bourgeois et aux partis de gauche pour fustiger les jeunes et les laisser seuls face à l'appereil d'état mobilisé tout entier.

Arghhh, nous sommes démasqués ! Aaarglhh !

Vas te coucher si tu as sommeil.

Je parlais pas de vous spécialement.

Il vous reste quelques jours pour réagir.

Mais sinon vous ne pouvez pas faire comme si votre absence de réaction n'aurait pas de signification politique.

Il faudra s'en expliquer.

Pff...

C'est lamentable comme méthode pour esquiver la discussion.


Bon c'est pas grave.

Dans un mois Arlette signera une pétition lancée par des intellectuels de gauche.

Les apparences seront sauves.

Au fait, si vous voulez pas être parfois critiqués, rien ne vous empêche de dire que vous n'aspirez plus à construire le parti qui fera la révolution en france.