Effectivement qu'il y a actuelement des possibilités avec des militants qui se détachent du pc. Si on ne fait rien, la plupart se retrouverons dans la nature et une bonne partie au ps. Des fois, j'ai l'impression que c'est ce que vous voulez
La réponse que robert hue avec son ton inimitable se pose répond aux deux périls qu'ils sent poindre
la social démocratie aux apétits démesuré avalant tout sur son passage. Et c'est pas une lubie, y'a qu'a voir Voynet proposer "un pole unique de la gauche" controlé bien sur par le ps pour bien se persuader
Mais ce qui fait le plus peur a bob c'est
a écrit :
Ce "réformisme moderne" s'accommoderait fort bien de l'existence d'un "pôle de radicalité", contestataire dans les discours mais hostile à s'engager pour une solution alternative. Une telle radicalité, réduite au caquet, peut permettre de "bloquer" des voix parmi ceux qu'attire le populisme mais que révulse l'extrême droite. Et, surtout, en contestant sans vouloir construire, elle renforce le sentiment que rien n'est possible hors la "gestion sociale" du capitalisme mondialisé.
Bref, et on le sent bien depuis des mois, le "pole de radicalité" leur donne des boutons a bob et a Marie Georges.
Le probleme pour eux, c'est qu'il y a un véritable impact a la base. Bien sur y'a encore des vieux de la vieille qui ont des blocages des qu'on leur parle des "gauchistes" mais c'est pas la majorité. Au contraire, la plupart préfèrent travailler avec nous qu'avec le ps
Et ce qui fini de bloquer la direction du pcf, c'est le travail que nous avons mené en italie a l'interieur du prc. Ils savent que les tendances les plus a droites ont perdues et ont fini par déclancher la scission, qui s'est finie par leur déconfiture
Le probleme, c'est que personne d'autres a l'extreme gauche ne leur propose quelque chose qui les respecte et qui ait un minimum de dynamique : lo s'entete dans son splendide isolement, et cps essaye peut etre les lectures commentées du programme de transition, mais je doute que ca réponde a la question
sur ce, cher camarades, je vais manger