a écrit :
Jean-Luc Mélenchon, a estimé dimanche, au sujet de la guerre de 14, que "quand on combine une grande crise du capitalisme et l'arrogance d'un gouvernement allemand, ça finit mal",
a écrit :Jean-Luc Mélenchon se dit prêt à être Premier ministre
Ce matin à 11h14
PARIS (Reuters) - Jean-Luc Mélenchon se dit prêt à devenir Premier ministre, estimant qu'une coalition entre socialistes, écologistes et élus du Front de Gauche est possible si le gouvernement rompt avec la logique "productiviste".
Les élus du Front de gauche, qui ont refusé de participer au gouvernement de Jean-Marc Ayrault, ont engagé un bras de fer avec la majorité socialiste, s'abstenant encore mercredi soir au Sénat sur le projet de budget 2013.
"Nous sommes conquérants. On ne va pas attendre 2017 en disant aux gens : 'Entre-temps, vous pouvez crever'. Donc il faut se battre tous les jours pour ouvrir le chemin à une alternative", dit le coprésident du Parti de gauche dans un entretien publié sur le site internet Rue89.
"Il y a une majorité de gauche à l'Assemblée : je propose qu'elle change de centre de gravité. Je suis prêt à être Premier ministre, mais je peux aussi imaginer de ne pas l'être", ajoute-t-il, tout en affirmant poursuivre une stratégie d'autonomie par rapport à la majorité socialiste.
"Qu'une coalition se fasse avec des socialistes, des écologistes et des élus du Front de Gauche, sur une ligne de rupture évidemment avec la logique capitaliste et productiviste. C'est possible. A nous de faire la démonstration que nous sommes des partenaires fiables, idéologiquement stables, non dogmatiques."
Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, souvent cité comme potentiel successeur de Jean-Marc Ayrault à Matignon, a tourné en dérision jeudi les propos de Jean-Luc Mélenchon. "On peut toujours rêver, c'est bientôt Noël", a-t-il dit sur i>Télé.
(redsamourai @ jeudi 29 novembre 2012 à 20:23 a écrit :Et Poutou va tenir meeting à Toulouse prochainement, si j'ai bien compris, unité de la "gauche radicale" oblige...
a écrit :Par contre, Mélenchon a été particulièrement long et mauvais. Mis à part jouer le prof à coup de chiffres, mis à part ses nombreuses sorties patriotiques, il n'a pas donné un seul élément de programme. La seule perspective qu'il a avancé était la possibilité d'une "nouvelle majorité gouvernementale sans attendre 2017" (sans préciser pour quoi faire).
Retour vers Politique française
Utilisateur(s) parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 74 invité(s)