http://www.forumamislo.net

Les faits sont hélas assez banals. Ce qui l'est moins, c'est la prise de position du maire (LR, ancien policier, et apparemment en charge de questions de sécurité dans son parti), face à la requalification des faits par le parquet :
http://www.lemonde.fr/police-justice/ar ... 53578.html

Et à Drancy, allons nous connaître une nouvelle pratique policière?

http://www.revolutionpermanente.fr/L-anus-dechire-a-coups-de-matraque-Les-methodes-de-la-police-de-Drancy-93

Pour le coup, ça devrait un petit peu faire réfléchir les manifs de flics de l'automne qui demandaient (encore) plus d'impunité, et sur le soutien à ces manifs jusque dans une partie de l'extrême gauche...

Djizeusse, j'espère qu'ils vont prendre cher, ces flics.

Le soutien à ces manifs ? De qui, de quoi parles-tu ?

Je crois que c'est juste une question de lunettes pour Ian

A chaque fois, la fin de notre article sur la police, c'est-à-dire la phrase suivante :

"C’est pourquoi la solution n’est pas, comme le réclament à cor et à cris les politiciens du PS au FN, plus de répression, plus de droits pour les policiers. L’espoir, aussi lointain puisse-t-il paraître aujourd’hui, réside dans plus de conscience, plus d’organisation, plus de solidarité, plus dans confiance dans la classe ouvrière et le combat pour changer le monde."


... eh bien, il la LOUPE (sans jeu de mots) !!!

Le soutien à ces manifs ? De qui, de quoi parles-tu ?

Le débat avait eu lieu sur ce même forum il y a quelques mois...

Plus précisément ici (et ça a rebondit sur d'autres fils, une fois le premier bloqué).
Le plus caricatural comme soutien à la police étant le texte du groupe La Commune, posté en 3ème page.

Le commissaire de police d'Aulnay s/Bois a été condamné en 2008, à un an de prison avec sursis et une année d'interdiction d'exercer pour "non-empêchement d'un délit".
Le 19 février 2004 un gardien de la paix avait placé un enjoliveur de roue entre les fesses d'un chauffard interpellé par la BAC après une course poursuite.
Le commissaire d'Aulnay, chef adjoint de la BAC de nuit à l'époque, était resté passif devant ces agissements.

D'après L'Humanité du 13 février cité par Le Monde du 15 février.