Municipales 2020

[Plestin]

Article sur la nouvelle liste à Flers (Orne, Normandie) dans Ouest France :

https://www.ouest-france.fr/normandie/f ... al-6747188

Municipales 2020. À Flers, une liste Lutte Ouvrière pour peser sur le conseil municipal

Le parti trotskiste a présenté sa liste, ce jeudi 20 février, salle du Pont-Féron. Sans réel projet pour la ville, leur objectif est d’intégrer le conseil municipal afin de défendre les travailleurs flériens.

Contre toute attente et dans la discrétion, Lutte Ouvrière est entrée dans la course aux municipales flériennes. Le parti trotskiste a présenté sa liste, lors d’une réunion publique, jeudi soir à la salle du Pont-Féron, à laquelle ont assisté 25 personnes dont 8 membres de la liste. Sa tête de liste, Pascal Catherine, souhaite "représenter le parti à l’échelle nationale ». "Alors qu’il ne connaissait pas grand monde en ville, Pascal Catherine est allé à la rencontre de ses concitoyens pour recruter 33 personnes. "J’ai fait du porte à porte, et je vous assure que je me suis rarement fait fermer la porte au nez. Les gens ont été très à l’écoute. Bien sûr, tous n’ont pas signé, mais, trente-trois personnes, c’est déjà significatif d’une demande des habitants non ?".

Incité par ses camarades

Pascal Catherine est un ancien postier, âgé de 62 ans, qui a travaillé toute sa vie en banlieue parisienne. Originaire de Carentan (Manche). Il retourne dans sa Normandie natale pour la retraite, et pose valise à Flers. "Je suis membre de lutte ouvrière depuis 30 ans, quand je me suis installé à Flers, ce sont des camarades du parti qui m’ont incité à me présenter pour être actif dans la lutte" raconte-t-il.

Membre du parti trotskiste, il applique à Flers une stratégie d’ordre national. Pour les municipales, le parti frappe fort et s’immisce dans certaines villes pour défendre une voie anticapitaliste. C’est le cas à Angers, au Mans, ou encore à Lanester.

Défendre les travailleurs

Ce que le parti lutte ouvrière veut, c’est défendre les travailleurs. À Flers, Pascal Catherine confie ne pas connaître les projets en cours ou les acteurs locaux. Mais la tête de liste fait tout de même une promesse : "il faut changer les choses. Trouver des médecins à Flers et améliorer les conditions de travail des professionnels de santé. Le suicide à l’hôpital, c’est trop grave pour ne pas être entendu". Arnaud Gautier, un membre de lutte ouvrière qui s’était présenté aux élections législatives dans la troisième circonscription de l’Orne (Flers-Argentan) en 2017, ajoute : "Si nous ne sommes pas élus, mais que nous arrivons à obtenir quelques sièges au conseil nous pourrons agir directement et concrètement pour améliorer les conditions de travail des Flériens". Pour rappel, Arnaud Gautier n’est pas sur la liste à Flers. "Je n’habite pas à Flers, mais je suis tout de même là pour soutenir les camarades dans leur action".

Les 33 colistiers de Lutte Ouvrière Flers

Dans l’ordre de la liste : 1. Pascal Catherine (tête de liste) 62 ans, employé en centre de tri postal à la retraite ; 2. Marie-France Marchand, aide soignante ; 3. Frantz Balinski, informaticien ; 4. Azélia Robin, mère au foyer ; 5. Kali Foudil, ouvrier maraîcher ; 6. Monique Marguerin, mère au foyer ; 7. Cyrille Lebeurrier, responsable de projets informatiques ; 8. Evelyne Foudil, secrétaire sans emploi ; 9. Nicolas Chauffray, ouvrier du bâtiment ; 10. Josiane Dissler, employée de maison au chômage ; 11. Eric Mesdon, agent de propreté ; 12. Jeannine Baillet, femme de ménage retraitée ; 13. Khaïs Ouerghami, en recherche emploi dans l’hôtellerie ; 14. Josiane Aytan, ouvrière retraitée ; 15. Léo Martel, étudiant ; 16. Nadine Richard, femme de chambre ; 17. Claude Porquet, ouvrier ; 18. Huguette Briere, ouvrière sur presse ; 19. Donovan Soye, ouvrier ; 20. Janine Lebon, employée retraitée de maison de retraite ; 21. Quentin Victor, technicien qualité ; 22. Patricia Desdoit, femme de ménage au chômage ; 23. Marc Lebert, ouvrier ; 24. Martine Chancerel, manutentionnaire retraitée ; 25. Thierry Bruyant, agent manutentionnaire ; 26. Gisèle Fouret, ouvrière retraitée ; 27. Philippe Guérin, soudeur ; 28. Angélique Challeil, serveuse ; 29. Charles Baillet, employé de commerce retraité ; 30. Marguerite Lepetit, ouvrière retraitée ; 31. Christian Cuvigny, mécanicien poids lourd en invalidité ; 32. Marie-Rose Soubien, professeure retraitée ; 33. Christhian Lavergne, ouvrier conducteur de presse.

[Plestin]

Par ailleurs, dans le Val-d'Oise, c'est bien 8 listes LO (et non 9 comme annoncé il y a longtemps) qu'il y aura : toutes les listes de 2014, à savoir Argenteuil, Bezons, Cergy, Jouy-le-Moutier, Ermont, Herblay, Louvres, et la nouvelle liste à Eaubonne.

[Plestin]

Un article sur la liste LO à Dieppe (Seine-Maritime, Normandie) (une précision : Neuville-lès-Dieppe est une ancienne commune indépendante fusionnée depuis longtemps avec Dieppe, et aujourd'hui considérée quasiment comme un quartier de Dieppe) :

https://actu.fr/normandie/dieppe_76217/ ... 01894.html

Municipales 2020 : Eric Moisan, invité de dernière minute à Dieppe

Lutte Ouvrière présentera une liste à Dieppe conduite, comme en 2014, par Eric Moisan, habitant de Neuville-lès-Dieppe. Son objectif : faire entendre les intérêts des travailleurs.

Publié le 19 Fév 20 à 17:23

C’est par un simple communiqué de presse envoyé le 19 février aux rédactions locales qu’Eric Moisan a annoncé sa candidature aux élections municipales de Dieppe sous la bannière Lutte Ouvrière (LO).

Le professeur d’histoire-géographie âgé de 47 ans, habitant de Neuville-lès-Dieppe, est le cinquième et dernier candidat à se présenter à Dieppe après Dominique Garçonnet, Nicolas Langlois, Louis-Armand de Béjarry et André Gautier.

Déjà candidat aux élections municipales de 2014, où il avait recueilli 1.85% des suffrages au 1er tour, Eric Moisan et ses colistiers considèrent le scrutin local comme :

"une occasion de faire entendre les intérêts des travailleurs de Nestlé, Auchan et les autres ».

Communiste oui, mais révolutionnaire

« Les hôpitaux sont asphyxiés, les Ehpad sous-dotés, les retraités plongés dans la pauvreté. Tout cela, pour que les dividendes des actionnaires augmentent coûte que coûte, argumente le candidat d’extrême gauche. Depuis le 5 décembre, des centaines de milliers de travailleurs ont engagé le combat. Les élections municipales permettent d’affirmer, d’une autre façon, que les travailleurs n’ont d’autres choix que de se battre et qu’ils refusent de se résigner ».

Ne craint-il pas de faire de l’ombre à Nicolas Langlois, maire communiste sortant ?

« Je suis communiste, mais communiste révolutionnaire, dans le sens où je veux changer la société, répond l’enseignant. En votant pour la liste Lutte Ouvrière, les électeurs pourront dire leur colère contre le gouvernement Macron sans mêler leurs voix à des partis qui, s’ils viennent ou reviennent au pouvoir, poursuivront la même politique, ni donner leurs voix à l’extrême-droite de Le Pen, qui cherche à diviser les travailleurs entre eux ».

Pour Eric Moisan, une municipalité Lutte Ouvrière serait :

" un point d’appui pour les luttes des travailleurs contre toutes les injustices et les oppressions : niveaux de salaire, licenciements, conditions de travail, accès au logement… Nous organiserions la solidarité de toute la population ».

« Lutte ouvrière pour faire entendre le camp des travailleurs » – c’est le nom de la liste – invite les Dieppois à une réunion publique qui se tiendra le mercredi 11 mars dans un lieu à déterminer.

Par : Pierre Chemel

[Plestin]

Une nouvelle liste LO a été déposée à Alès (Gard, Occitanie) ! Elle est conduite par Jérôme GARCIA, aide-soignant.

Voici l'article dans Objectif Gard du 21 février 2020 :

https://www.objectifgard.com/2020/02/21 ... re-a-ales/

MUNICIPALES Jérôme Garcia présente une liste « Lutte Ouvrière » à Alès

Tony Duret 21 février 2020

C’est une petite surprise… Alors que tous les candidats aux élections municipales d’Alès semblaient déjà connus, Jérôme Garcia, un aide-soignant de 49 ans, a déposé sa liste en sous-préfecture ce vendredi.

Ils seront donc sept candidats aux municipales d’Alès en mars 2020. Le dernier arrivé - mais pas pour autant le dernier à déposer sa liste - représentera le parti Lutte Ouvrière. « C’est la première fois qu’on présente une liste à Alès. Et ce sera la seule sur l’ensemble du département », explique celui qui en sera le leader, Jérôme Garcia. Ce quadragénaire, bientôt quinqua, est né à Alès et travaille à l’hôpital comme aide-soignant. Il a commencé sa campagne il y a deux mois. « On a surtout été présents dans la rue. On a fait du porte-à-porte pour rencontrer les travailleurs, les chômeurs et les retraités. On monte un programme de lutte contre le chômage, la précarité et les bas salaires. C’est ça le vrai problème des Alésiens », détaille la tête de liste « Lutte Ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs ».

Ce vendredi après-midi, au sortir de la sous-préfecture, Jérôme Garcia concède avoir eu quelques craintes quant à la possibilité de boucler sa liste de 43 noms : « Mais on a un noyau de militants qui ne sont pas résignés. Etre présents aux élections, c’est aussi une manière de faire entendre notre programme. Si on entre au conseil municipal, on sera les yeux et les oreilles des travailleurs », promet-il. En attendant, le « militant ouvrier », comme il se définit, continue sa campagne de terrain dans les rues d’Alès.

Tony Duret

[Gayraud de Mazars]

Salut Plestin !

Une nouvelle liste LO a été déposée à Alès (Gard, Occitanie) ! Elle est conduite par Jérôme GARCIA, aide-soignant.

Mais je connais très bien Jérôme Garcia, qui fut un militant dévoué au PCF et La Riposte à Alès puis il est revenu vers Lutte Ouvrière... Je l'ai reçu chez moi à Dijon et je suis allé chez lui dans le Gard... C'est un camarade épatant et remarquable de gentillesse et un combattant véritable de la Classe ouvrière !

Fraternellement,
GdM

[Plestin]

Merci GdM pour ces précisions !

Quelques articles sur des listes LO :

Saint-Priest (Métropole de Lyon) :

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41473.html

Grenoble (Isère) :

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41475.html

Annonay (Ardèche) :

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41440.html

Strasbourg (Bas-Rhin) :

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41451.html

[Plestin]

Article dans La Montagne sur la liste LO de Montluçon (Allier) :

https://www.lamontagne.fr/montlucon-031 ... _13749651/

Huitième liste constituée, Lutte ouvrière se lance dans la bataille des municipales à Montluçon

Publié le 22/02/2020 à 10h00

Lutte ouvrière a bouclé sa liste. Il s’agit de la huitième en lice pour les municipales, à Montluçon. Portée par Jean-François Reul, elle s’intitule « Faire entendre le camp des travailleurs ».

Lutte ouvrière ne manque jamais une élection quelle qu’elle soit, quand elle peut y participer. Pour les municipales, c’est Jean-François Reul qui portera la voix des travailleurs. Ce Montluçonnais, retraité de la SNCF et âgé de 65 ans, reprend le flambeau après le départ pour Paris de l’ancienne tête de liste, Véronique Dreyfus.

Il n’est pas un novice puisqu’il se présente pour la troisième fois, aux côtés de Bernadette Jouanny, deuxième sur sa liste. « Il est important pour nous qu’il y ait une liste Lutte ouvrière, débute l’intéressé. Une municipalité LO peut être un point d’appui pour les luttes », en particulier en plein mouvement social comme celui que connaît le pays depuis un an.

Des colistiers âgés de 20 à 85 ans, dont d'anciens membres du PC

Bouclée, la liste de Lutte ouvrière est baptisée « Faire entendre le camp des travailleurs », comme en 2014, où le parti avait été crédité de 2,5 %. Elle a déjà été déposée en préfecture. Elle regroupe des colistiers âgés de 20 à 85 ans, d’anciens membres du Parti communiste et « beaucoup de gens issus des communautés portugaise, turque et des Comores. Elle est internationaliste », précise Jean-François Reul.

Surtout, elle réunit des ouvriers et des techniciens dont elle veut faire entendre la voix. « La classe ouvrière est celle qui fait tout fonctionner », il faut que « les luttes s’amplifient », en particulier afin d’avoir enfin des « services publics dignes de ce nom ».

Aucune alliance avec une autre liste possible

Huitième liste à se lancer, Lutte ouvrière aurait-elle pu s’allier à d’autres à Montluçon?? « Impossible », tranche Jean-François Reul, qui parle de « désaccords profonds avec le Parti communiste. On revendique que nous sommes les seuls communistes de Montluçon ».

"On peut difficilement avoir un programme municipal pour Montluçon si on n’a pas un changement radical de la société. Nous déjà, on aurait fait beaucoup moins de béton et beaucoup plus de social."

« Les personnes sont laissées dans la misère, reprend Jean-François Reul. On est quand même la ville des 20 % : 20 % de chômeurs, 20 % de pauvres, 20 % de logements vacants. On a vu l’extrême misère dans les quartiers. »

Un foncier local trop élevé

L’une des choses qui nuit à l’activité de Montluçon, selon la tête de liste, c’est également « le montant du foncier. On a des exemples de personnes qui voulaient s’installer ici et qui ont fui », assure Jean-François Reul, qui n’oublie pas qu’entre la baisse de la taxe d’habitation et la baisse des dotations de l’État, « les villes sont étranglées et obligées de faire des choix ».Côté santé, « on aurait pu payer des hôpitaux avec l’argent du crédit d’impôt donné aux entreprises. D’ailleurs, on ne devrait même pas avoir de notion de déficit pour les hôpitaux », renchérit Jean-François Reul.

Pour la gratuité des transports et une relance du train

Il y a pourtant des choses à faire tout de suite pour Montluçon, comme « la mise en route des transports publics gratuits comme à Châteauroux, pense la tête de liste. Cela engendre une augmentation de la fréquentation, une baisse de la pollution et des économies sur la billetterie. Les transports gratuits sont quelque chose qu’on peut faire sans que ça coûte énormément d’argent ».

Autres points qui tiennent à cœur à Lutte ouvrière : la gratuité des locaux pour l’édifice communal ou encore la relance du rail.

Réunion. Lutte ouvrière organise une réunion publique jeudi 5 mars à 18 heures, à la salle Salicis (rue Lavoisier, à Montluçon).

Gaëlle Chazal

[Plestin]

Quelques articles sur des listes ou candidats LO :

Lens (Pas-de-Calais)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41480.html

Valentigney (Doubs)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41506.html

Besançon (Doubs)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41498.html

Un article d'Ouest France sur la liste du Mans (Sarthe)

https://www.ouest-france.fr/elections/m ... 23206659a8

Municipales 2020. Le Mans : Lutte ouvrière dévoile sa liste de candidats

Déjà candidat en 2008 et 2014, Yves Cheère conduira une liste « Lutte ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs » lors des élections municipales des 15 et 22 mars 2020.

Lutte ouvrière a dévoilé ce mercredi soir 19 février 2020 la liste "Lutte ouvrière – Faire entendre le camp des travailleurs" qui sera portée aux suffrages des électeurs lors des élections municipales des 15 et 22 mars 2020 au Mans.

Conduite par l’ancien ouvrier chez Renault Yves Cheère (63 ans), la liste se compose de 27 femmes et 28 hommes. Des ouvriers, des techniciens, des employés de bureau, de banque, de service public, plusieurs infirmiers mais surtout des employés de l’éducation nationale. L’âge moyen est de 51 ans.

"C’est la quatrième fois que nous sommes présents aux élections municipales au Mans pour faire entendre notre courant qui défend les intérêts politiques du monde du travail", a rappelé en préambule Karine Fouquet (53 ans), attachée territoriale en deuxième position sur la liste.

Une candidature renouvelée pour faire entendre un son de cloche différent des autres listes comme le soulignait Yves Cheère, tête de liste pour la troisième fois. Raillant ses concurrents qui "multiplient les engagements à faire plus de social, plus de démocratie, plus d’écologie, plus de sécurité à l’échelle de la ville", il a expliqué que la liste Lutte ouvrière affirmera "que les travailleurs n’ont d’autre choix que de se battre pour faire cesser les attaques gouvernementales et patronales".

Contre le grand patronat

Pour le candidat trotskiste, "il y a le camp des travailleurs qui aspirent à une vie et une retraite digne et le camp du grand patronat". Deux mondes qui s’opposent. "Le camp des travailleurs, conscient de ses intérêts, doit donc se faire entendre sur le plan politique, ne serait-ce qu’avec un bulletin de vote. Mais il peut aussi, et il doit même, envoyer des femmes et des hommes de son camp dans les conseils municipaux".

« Les yeux et les oreilles des classes populaires »

Même s’il doute des capacités de sa liste à arriver au pouvoir (Lutte ouvrière a obtenu 2,41 % des voix en 2014), Yves Cheère, ancien conseiller régional, fait savoir qu’une "commune dirigée par des révolutionnaires pourrait être un point d’appui pour organiser, avec les travailleurs, leurs combats". Tout au moins, des "élus de Lutte ouvrière pourraient être les yeux et les oreilles des classes populaires".

Sa liste ne propose par conséquent aucun programme particulier. L’unique projet est celui de défendre le camp des travailleurs et les services publics. "Par exemple, au lieu de se résigner à la casse du système de santé, nous lutterions contre cette casse en associant le personnel et en organisant la lutte contre l’agence régionale de santé". Au pouvoir, Lutte ouvrière refuserait également les subventions aux entreprises privées. "L’argent public ne doit servir qu’à l’intérêt public et non les intérêts privés".

La liste Lutte ouvrière-Faire entendre le camp des travailleurs

1. Yves Cheère (63 ans), ouvrier de l’automobile retraité
2. Karine Fouquet (53 ans), attachée territoriale
3. Thierry Nouchy (55 ans), enseignant pour adultes
4. Sylvie Maillet (54 ans), formatrice
5. Thomas Hubert (51 ans), enseignant en lycée professionnel
6. Guylaine Goujon (62 ans), infirmière
7. John Maignan (47 ans), ouvrier cariste
8. Mathilde Chevalier (18 ans), étudiante
9. Matthieu Thénaisie (42 ans), infirmier
10. Armelle Breton (43 ans), enseignante
11. Patrick Raoult (68 ans), préparateur de commandes à la retraite
12. Claudie Pouget (70 ans), employée retraitée
13. Jacky Patoyt (68 ans), retraité de la métallurgie
14. Corinne Vieuille (48 ans), employée d’assurance
15. Arnaud Rabette (45 ans), enseignant en lycée professionnel
16. Caroline Derec (45 ans), enseignante chercheuse
17. Pascal Louvel (54 ans), ouvrier de l’agro-alimentaire
18. Annick Quartier (65 ans), aide-soignante à la retraite
19. Arnaud Gautier (45 ans), enseignant
20. Arlette Delaroche (74 ans) ouvrière retraitée
21. Yvan Dragon (55 ans), infirmier
22. Frédérique Drouaux (47 ans), infirmière
23. Christophe Jeanne (56 ans), documentaliste
24. Muriel Nouchy (53 ans), orthophoniste salariée
25. François Garcia (66 ans), retraité aide-laboratoire
26. Viviane Pommier (73 ans), employée de banque retraitée
27. Olivier Lacave (45 ans), enseignant
28. Hélène Delmotte (53 ans), enseignante
29. Thomas Lelong (36 ans), agent hospitalier
30. Carine Clinchamp (47 ans), préparatrice en pharmacie
31. Gilles Nicolas (53 ans), infirmier en hôpital Public
32. Antoinette Savary (70 ans), assistante maternelle retraitée
33. Loïc Bourel (53 ans), conseiller principal d’éducation
34. Agnès Deyzieu (54 ans), professeure
35. Yann-David Esmans (38 ans), luthier
36. Guilène Gautier (39 ans), artiste clown
37. Joachim Carlier (40 ans), demandeur d’emploi
38. Valérie Hamard (44 ans), enseignante
39. Patrick Locret (58 ans), agent SNCF
40. Magaly Fortin (60 ans), technicienne
41. Karim Touahria (52 ans), informaticien
42. Sarah Normand (41 ans), enseignante
43. Gilles Champion (69 ans), retraité
44. Dorianne Aubry (58 ans), assistante commerciale
45. Michel Passe (61 ans), employé de bureau
46. Caroline Regnier (34 ans), professeure des écoles
47. Florin Bouttier (20 ans), étudiant salarié
48. Emmanuelle Tiennot (30 ans), laborantine
49. Simon Jeanne (26 ans), étudiant chercheur
50. Marie-Elisabeth Novello (82 ans), secrétaire administrative retraitée
51. Simon Adriansen (41 ans), enseignant
52. Huguette Dabet (73 ans), assistante maternelle retraitée
53. Manuel Lechat (19 ans), photographe
54. Hélène Aït Azi (44 ans), sans emploi
55. Christophe Le Breton (55 ans), directeur d’école

[Plestin]

Présentation inhabituelle de LO dans un article de La Voix du Nord sur la liste de Roubaix (Nord) :

À Roubaix, comme dans plus de 200 villes en France, le parti Lutte ouvrière (LO), fondé en 1939, sera lui aussi dans les starting-blocks pour la course aux municipales.

Cela sent la lecture un peu rapide de Wikipédia. En voilà en tout cas qui ne contestent pas la filiation avec le groupe Barta

[Plestin]

Les listes LO à Louvres (Val-d'Oise) et aux Ulis (Essonne) sont apparues dans le tableau LO mis à jour (où il y a encore de nombreux "manques" sur des listes déjà annoncées).

Il y a pratiquement toutes les listes de 2014 sauf Paris 6ème et Ferrière-la-Grande (petite ville du Nord).

Concernant la liste de Maubeuge (Nord) en commun avec le PCF, conduite par Myriam BAZIZ (PCF) et Laurent LERHAUPT (LO) :

Un article dans Liberté Hebdo du 21 février 2020 :

https://libertehebdo.fr/politique-et-ci ... Q.facebook

Maubeuge
La fierté ouvrière
par FRANCK JAKUBEK
Publié le 21 février 2020 à 16:12

Myriam Baziz, pour le PCF, et Laurent Lehrhaupt, de Lutte ouvrière conduisent la liste « Maubeuge, Une ville pour tous, Belle - Rebelle - Fraternelle », un rassemblement de citoyen(ne)s de toutes origines et des sympathisants écologistes, des militants syndicaux ou responsables associatifs. Jeunes ou anciens, plein d’expérience dans la gestion de la commune et de l’agglomération, la liste compte aussi un certain nombre de citoyens pas encore engagés dans un parti mais pourtant investis dans les luttes sociales et la citoyenneté. Bien représentative des salariés de tous les secteurs, mais aussi des privés d’emploi, son orientation est dans la défense des intérêts du monde de travail. « La municipalité doit être au service de tous les Maubeugeois et quartiers, sans favoritisme ni discrimination » indiquent les candidats.

Tract et présentation de la liste sur le facebook du PCF :

https://www.facebook.com/Maubeugeunevil ... =3&theater

https://www.facebook.com/Maubeugeunevil ... =3&theater

La liste de 35 noms comprend 12 noms se réclamant du PCF, 8 noms se réclamant de LO, 1 nom se réclamant du PCRF (scission du PCF tendance Cukiermann) et 2 noms se disant écologistes (sans nom de parti ou d'organisation), les 12 autres ne déclarant aucune affiliation.

Par ailleurs à Fourmies (Nord), que la presse a présenté comme une liste d'union, la liste compte sans doute d'autres militants et tendances mais est bel et bien estampillée LO et les têtes de liste sont Marie-Claude RONDEAUX et Jean-Charles COURNUT, tous deux de LO.

Enfin, quelques articles sur des listes ou têtes de liste LO :

Echirolles (Isère)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41521.html

Rives (Isère), liste nouvelle

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41524.html

Saint-Fons (Métropole de Lyon)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41507.html

Saint-Jacques-de-la-Lande (Ille-et-Vilaine)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41573.html

Epernay (Marne), liste nouvelle

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41546.html

Charleville-Mézières (Ardennes)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41539.html

Frouard (Meurthe-et-Moselle)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41569.html

Sarreguemines (Moselle), liste nouvelle

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41519.html

Clermont (Oise)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41465.html

Laon (Aisne)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41468.html

Falaise (Calvados)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41536.html

Evreux (Eure)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41528.html

Les Ponts-de-Cé (Maine-et-Loire)

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 41537.html

Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), liste nouvelle

https://www.mediabask.eus/fr/info_mbsk/ ... -la-course