«Tout doit changer pour que rien ne change»

[Gayraud de Mazars]

Salut camarades,

«Tout doit changer pour que rien ne change » de la célèbre réplique du Guépard de Visconti d'un monde ancien et fini qui se survit malgré tout avec ses artifices ...

Elisabeth Borne a démissionné de son poste de 1er ministre, et le Président Macron en adoubant Gabriel Attal à ce poste pense faire passer les pilules anti-démocratiques et anti-ouvrières du gouvernement précédent. Mais qui a oublié la loi sur les retraites et les 64 ans, les dizaines de 49. 3 la loi Darmanin sur l’immigration, comme communistes nous savons qu’il n’existe qu’une seule classe ouvrière et que les ouvriers français et immigrés doivent être solidaires face au patronat.

De plus Macron et Attal ont-ils les moyens politiques et parlementaires de mener leur politique de rigueur anti-sociale sûrement pas. Gabriel Attal a passé six mois au Ministère de l’ Education Nationale où sa popularité serait très importante, mais en ce court passage de Gabriel Attal à l’Education, outre le fait qu’il s’en est servi de tremplin politique, demandez aux professeurs si leurs conditions de vie ont changé en si peu de temps.

Nous n’avons aucune illusion sur le gouvernement qui va se mettre en place, qui va mener une politique patronale contre les travailleurs, pensant à réussir leurs fameux Jeux Olympiques à Paris, ou espérant s’en tirer convenablement face au RN aux élections européennes. Nous avons comme communiste bien d’autres ambitions pour le pays et les travailleurs, à commencer l’amélioration notable de la vie des salariés et de la jeunesse, en espérant toujours la République Sociale et la Révolution !

Fraternellement,
GdM

[com_71]

Sauf que là, c'est plutôt ne - presque - rien changer...

De plus Macron et Attal ont-ils les moyens politiques et parlementaires de mener leur politique de rigueur anti-sociale sûrement pas...

Ah bon ?

Et pour dire le contraire quelques lignes plus loin :

...Nous n’avons aucune illusion sur le gouvernement qui va se mettre en place, qui va mener une politique patronale contre les travailleurs, pensant à réussir leurs fameux Jeux Olympiques à Paris