Hyarl,
(Sans s'énerver). Regardes ce que tu es amené à écrire :
a écrit :Lorsque je parle de république une et indivisible, je parle de celle dans laquelle nous vivons et qui est remise en cause.
J'espère que tu me diras que ta plume a glissé. Parce que pour le coup, si ça ce n'est pas se situer en défense de la V° République ! Et en plus je ne suis pas d'accord : la décentralisation est une attaque très dangereuse. Elle ne remet pas en cause la république bourgeoise. Elle remet en cause les acquis ouvriers.
Ce n'est pas la même chose.
a écrit :Dans la casse aux statuts (mais il n'y a pas que les statuts) à laquelle se livre le gouvernement, il bute sur le cadre qui constitue le support sur lequel se sont cousus les dit statuts.
Que la casse implique des réaménageents du dispositif de domination de la bourgeoisie est certain - c'est le but de la fameuse loi consitutionelle.
Que cela implique de refuser ces plans est certain. Je crois t'avoir montré que nous sommes les premiers à le faire.
Mais cela n'implique pas de prendre en charge la défense des principes de la bourgeoisie - la fameurs république indivisible.
Etre CONTRE un plan ne signifie pas être POUR un autre. Il n'y a aucun automatisme.
C'est un choix politique.
Quant au mot d'ordre de "
République une et indivisible". Une revendication transitoire est une revendication remettant en cause la domination de la bourgeoisie. Par définition ton mot d'ordre ne la remet pas en cause (sinon, on parlerait de république ouvrirère). Ce n'est donc pas une revendication transitoire.
Je ne connais donc comme autre catégorie que les revendications démocratiques bourgeoises. (Je ne me lance pas dans le fond de la discussion).