Publié : 05 Jan 2003, 20:53:marx: La Seyne : la droite à l’œuvre.
La droite, qui a gagné les élections municipales de la Seyne grâce à la gestion autoritaire et antidémocratique de l’ancienne équipe de la « gauche » plurielle, n’a pas attendu bien longtemps pour dévoiler son véritable visage : attaques contre les services publics, contre le droit à la santé et contre les classes populaires (par une augmentation sans précédent des impôts locaux).
Elle a annoncé son désir d’en finir avec le centre médico-social, de privatiser les cantines scolaires, et la réaction massive de la population (des centaines de pétitions signées en un temps record sur le marché ou devant le centre médico-social) a permis de faire reculer Paecht .
Cela prouve que la mobilisation populaire peut faire échouer les plans anti-sociaux de la droite.
Pour la privatisation des cantines scolaires, devant la réaction des syndicats, des enseignants et des parents d’élèves, la municipalité n’a pas encore pris de position définitive, mais la mobilisation doit s’amplifier pour éviter que Paecht et son équipe ne s’attaquent au service public.
Mais la palme de politique anti-sociale menée par la droite seynoise demeure sans conteste l’incroyable augmentation de la fiscalité locale.
Les locataires de notre ville ont eu comme cadeau de Noël la joie de recevoir une nouvelle taxe d’ordures ménagères (TOM). Cette taxe, qui était auparavant intégrée dans la taxe foncière, représente pour les locataires seynois une augmentation de près de 30% de leurs impots locaux.
(impots locaux + TOM).
Et malgré cette hausse sans précédent, le journal de la municipalité a le culot de présenter la ville de la Seyne comme celle qui a le plus baissé ses impots locaux !
Un comble !
Dans cette ville sinistrée, (même le marché aux puces a été supprimé !), la droite applique à la lettre le programme libéral : faire payer les pauvres pour aider davantage les riches.
La LCR appelle les travailleurs et la population seynoise à se mobiliser pour faire échec à ces attaques intolérables.
Vive le communisme!
Le prolétariat n'a pas de patrie: internationalisme, révolution!
Nous vaincrons!
La droite, qui a gagné les élections municipales de la Seyne grâce à la gestion autoritaire et antidémocratique de l’ancienne équipe de la « gauche » plurielle, n’a pas attendu bien longtemps pour dévoiler son véritable visage : attaques contre les services publics, contre le droit à la santé et contre les classes populaires (par une augmentation sans précédent des impôts locaux).
Elle a annoncé son désir d’en finir avec le centre médico-social, de privatiser les cantines scolaires, et la réaction massive de la population (des centaines de pétitions signées en un temps record sur le marché ou devant le centre médico-social) a permis de faire reculer Paecht .
Cela prouve que la mobilisation populaire peut faire échouer les plans anti-sociaux de la droite.
Pour la privatisation des cantines scolaires, devant la réaction des syndicats, des enseignants et des parents d’élèves, la municipalité n’a pas encore pris de position définitive, mais la mobilisation doit s’amplifier pour éviter que Paecht et son équipe ne s’attaquent au service public.
Mais la palme de politique anti-sociale menée par la droite seynoise demeure sans conteste l’incroyable augmentation de la fiscalité locale.
Les locataires de notre ville ont eu comme cadeau de Noël la joie de recevoir une nouvelle taxe d’ordures ménagères (TOM). Cette taxe, qui était auparavant intégrée dans la taxe foncière, représente pour les locataires seynois une augmentation de près de 30% de leurs impots locaux.
(impots locaux + TOM).
Et malgré cette hausse sans précédent, le journal de la municipalité a le culot de présenter la ville de la Seyne comme celle qui a le plus baissé ses impots locaux !
Un comble !
Dans cette ville sinistrée, (même le marché aux puces a été supprimé !), la droite applique à la lettre le programme libéral : faire payer les pauvres pour aider davantage les riches.
La LCR appelle les travailleurs et la population seynoise à se mobiliser pour faire échec à ces attaques intolérables.
Vive le communisme!
Le prolétariat n'a pas de patrie: internationalisme, révolution!
Nous vaincrons!
