Désolé si je ne comprends pas tout, j'ai eu du mal à bien comprendre le passage du MDPC sur la famille.
a écrit :Abolir la famille . de quelle famille veux tu parler ? de la famille bourgeoise : pas besoin de l 'abolir , elle s'abolira toute seule quand la société bourgeoise aura disparu . Quand aura disparu l 'esprit borné de famille , le '"clan" , les intêrêts sordides ( héritage par exemple qui voient s'affronter comme des chiffonniers des frères . Regarde l 'exemple des Bettencourt !.) Mais que des liens puissent se resserrer entre parents et enfants , que la relation soit basée sur une affection réciproque , et non sur la domination , cela sera possible au moment où les hommes et les femmes de cette société ne seront pas pris par le "struggle for life" , par la lutte de tous contre tous . Alors de nouveaux rapports s'établiront , plus fraternels et infiniment plus riches que ce que ous connaissons , y compris dans la "famille" .
Oui je suis d'accord, sauf sur la notion d'héritage (mais bon je m'y attendais, c'est explicitement écritdans les dix points du MDPC) est peut-être assez arbitraire mais si c'ets la volonté du défunt... Je parle de quand la société sera vraiment égalitaire, il est normal que les communistes veulent exproprier la bourgeoisie aux débuts du socialisme mais après...
com_71 > Je n'ai aps lu le MDPC en entier, mais je ne vois aps bien en quoi il montre que le communisme abolira le patriarcat. Bien qu'il semble servir au capitalisme et aux société de classes en général, je ne vois pas bien comment le communisme s'en débarasserait comme ça, sans qu'on mène une lutte parallèle contre la domiantion des femmes.
Zelda > Pourquoi pas, je suis globalement d'accord ud point de vue de l'enfant ou de la femme par rapport à son couple, mais renier complètement els liens du sang je trouve trop excessif. Pour la mère, encore plus que pour son père (même si c'est surement vlable pour lui aussi), son enfant c'est ce qu'elle a fait, elle lui a donné la vie, et je crois qu'il y a des liens (du sang en fait) inséparables
cleo>
"Cela s'explique par le fait que la société bourgeoise considèrent encore aujourd'hui que dans la famille la femme ne travaille que pour apporter un revenu d'appoint au ménage. Ce discours risque malheureusement de se renforcer avec la crise (voir les conneries du genre "ce sont les femmes qui prennent le travail des chômeurs")."
>Ah oui d'accord, je vois alors pourquoi Marx estimait une amélioration de l'égalite hommes/femmes automatique par l'avènement du socialisme. Mais je demande toujorus si le dogme de la légitimité du patriarcat disparaîtrait par celui-ci.
"Sinon on peut ajouter que l'on a d'autres exemples de systèmes éducatifs qui ne soient pas lier directement aux parents mais gérer par l'ensemble de la société (socialisé). Cela a notamment été les cas dans les Kibboutz, à leur origine. Les enfants dormaient dans des maisons différentes de celles de leurs parents et cela pour que les femmes puissent elles aussi participer à la vie de la société.
> Ce passage me fait sérieusement penser à l'abolition de la famille pour une éducation géré par la société tout entière, cependnat je pense que l'enfant a besoin d'une certaine affection (sans rester corps et âme attaché à sa mère bien sur).
Bref, la mise en commun de l'éducation des enfants, je suis contre, je pense que c'ets important pour celui-ci d'avoir des attaches. Un enfant est généralement plus heureux dans une famille (quelque soit sa forme bien sur) que dans un orphelinat...
Bref où je diverge avec vous par contre(tu en parles cleo), c'est que je ne crois à l'abolition du patriarcat par la révolution communiste. Le capitalisme s'en sert (et pas que), l'amplifie même (et surtout la xénophoie) mais ce sont des préjugés et des habitudes sociales qui nécessitent une déconstruction de sa propre éducation genrée (pas si simple)