Je suis tombé un peu par hasard sur cette longue interview : http://www.revue-ballast.fr/alain-gresh ... tionnaire/
A lire son parcours et la manière dont il en parle, on a une illustration d'école de la manière dont le stalinisme a privé ceux qu'ils formaient des repères communistes élémentaires, et a fait passer pour le dernier mot du radicalisme le fait de soutenir des forces étrangères au mouvement ouvrier révolutionnaire. Ce que Gresh retient de la révolution russe ? Le congrès de Bakou, et encore, parce qu'il parlait d'indépendances ! Aujourd'hui, Gresh a conservé le suivisme en se dépouillant de la défroque pseudo-communiste...