a écrit :Je ne souhaite pas me positionner uniquement contre les règles libérales jugées ultra ( et celles qui ne sont pas "ultra" on les garde ?).
Cesse de voir la social-traitraise à chaque ponctuation...
Les qualifier ainsi, c'est non seulement être plus rigoureux/précis que de simplement les dire "capitalistes", c'est aussi un moyen d'appuyer à quel point l'Union Européenne est, aujourd'hui, un instrument menant la lutte de classe du côté bourgeois.
C'est incroyable ça, c'est limite si on doit pas s'excuser d'employer un vocable un peu plus récent que le XIXème siècle, parcequ'on y voit d'emblée le réformisme traitre...
a écrit :-rendre plus compréhensible un intérêt commun à tous les travailleurs de cette zone géographique en donnant un objectif accessible pour transformer le réel.
Merde, v'la qu'il ressort le langage de jeunesse du camarade Marx.
a écrit :Si on peut rompre il faudra le faire et donc s'opposer à cet embryon d'internationalisme qui n'est pas le mien.
L'internationalisme bourgeois et son émanation étatique, c'est la personnification de l'ennemi capitaliste (dont l'action dépasse de plus en plus le cadre national) qu'il faut renverser. Tu préfères revenir à la république unie, indivisible et esseulée, comme théatre d'action ? C'est non seulement passéiste, c'est surtout une position stratégique qui mène droit dans le mur.
Moi à choisir, je place mon discours dans le cadre le plus vaste possible, parceque renverser le règne de l'exploitation, ca ne se fera pas à travers les reliques locales de l'histoire, mais seulement internationalement.