par artza » 16 Oct 2011, 09:24
(Doctor No @ dimanche 16 octobre 2011 à 10:14 a écrit :
Après tout elle en a marre de publier des bobards impossibles à faire avaler à un enfant (des hommes contraints de se battre pour du lait...)...sauf s'il s'agit des imbéciles finis.
par lavana » 16 Oct 2011, 10:08
(artza @ dimanche 16 octobre 2011 à 10:24 a écrit :(Doctor No @ dimanche 16 octobre 2011 à 10:14 a écrit :
Après tout elle en a marre de publier des bobards impossibles à faire avaler à un enfant (des hommes contraints de se battre pour du lait...)...sauf s'il s'agit des imbéciles finis.
par Doctor No » 16 Oct 2011, 11:39
(artza @ dimanche 16 octobre 2011 à 10:24 a écrit :(Doctor No @ dimanche 16 octobre 2011 à 10:14 a écrit :
Après tout elle en a marre de publier des bobards impossibles à faire avaler à un enfant (des hommes contraints de se battre pour du lait...)...sauf s'il s'agit des imbéciles finis.
C'est évident cher Dr dans les conflits armés il n'y a que des participants conscients et volontaires.
par Doctor No » 16 Oct 2011, 17:52
a écrit :Comment distinguer une invasion de l’OTAN d’un mouvement social.
de : Luis Britto Garcia
samedi 15 octobre 2011 - 17h26
> Guerres-Conflits > Proche & Moyen Orient
4 commentaires
Certains médias présentent l’invasion de l’OTAN et des Etats-Unis contre la Libye comme un mouvement social. Pour ceux qui ne savent pas faire la part des choses, suggérons quelques pistes :
Un mouvement social majoritaire triomphe seul et n’a pas besoin de l’invasion d’une coalition impérialiste de 42 pays pilleurs pendant plus de six mois pour s’imposer.
Un mouvement social est composé de gens faits de chair et de sang, et non de victimes imaginaires de soi-disant bombardements non confirmés par les journalistes de Telesur, ni par les satellites Russes ni par ceux du Pentagone.
Un mouvement social surgit spontanément du peuple et non des plans du Pentagone pour envahir la Libye dénoncés depuis 2001 par le général Wesley Clark.
Un mouvement social n’obtient pas la protection de cette mafia de puissances hégémoniques appelée l’ONU.
Un mouvement social n’est pas dirigé par des monarques, des terroristes intégristes, des mercenaires étrangers ni d’ex-ministres du gouvernement auquel il s’appose.
Un mouvement social n’est pas présenté par Barack Obama comme « un modèle pour les relations internationales » et ne reçoit pas l’appui de l’armée d’occupation européenne appelée l’OTAN.
Un mouvement social ne commence pas par assassiner son propre chef, comme l’a fait le CNT avec son premier président, Abdel Younis.
Un mouvement social ne dispose pas de porte-avions, de navires de guerre, de bombardiers, de missiles téléguidés, d’hélicoptères de combat et d’avions sans pilotes.
Un mouvement social n’applique pas à se compatriotes la stratégie de bombardements terroristes de la population civile inaugurée par la Luftwaffe nazi contre la ville de Guernica.
Un mouvement social ne répète pas ce massacre à 20.000 reprises lors de missions aériennes contre son propre pays.
Un mouvement social ne bombarde pas systématiquement les hôpitaux, les aqueducs, les écoles, les quartiers résidentiels et les moyens de communication.
Un mouvement social ne séquestre pas des journalistes indépendants ni ne les expulse pour les empêcher de témoigner sur ce qui se passe.
Un mouvement social ne se livre pas à l’assassinat ciblé des dirigeants de son pays et n’offre pas une récompense d’un million et demi d’euros pour leurs têtes.
Un mouvement social ne déploie pas des avocats, des lobbys et des influences pour que la Cour Pénale Internationale émette des mandats d’arrêt contre ses adversaires.
Un mouvement social ne provoque pas le massacre de 60.000 personnes parmi son propre peuple.
Un mouvement social n’a pas de complices financiers internationaux capables de confisquer 270 milliards de dollars de réserves de son propre pays.
Un mouvement social n’offre pas les ressources de son pays à une nuée de sociétés multinationales.
Un mouvement social n’est jamais appuyé inconditionnellement par les monopoles et multinationales de l’information.
Un mouvement social ne dispose pas de cameramen, de scénaristes, de maquilleurs, d’acteurs, de costumiers et de metteurs en scène pour filmer au Qatar de fausses scènes de victoire.
Un mouvement social ne détruit pas et ne saccage pas les sièges diplomatiques des pays amis.
Un mouvement social ne tue pas systématiquement des compatriotes parce qu’ils ont le peau noire, comme le font les forces du CNT
Un mouvement social n’est pas dirigé par Berlusconi, Sarkozy, Cameron, Merkel et Rassmussen.
Un mouvement social n’est pas reconnu prématurément comme gouvernement par les puissances impérialistes avant même d’avoir obtenu le contrôle de tout le territoire.
S’il est facile de distinguer une invasion de l’OTAN d’un mouvement social, il est encore plus facile de distinguer un imbécile d’une canaille. L’imbécile ignore les faits énumérés plus haut. La canaille les connaît mais persiste à dire que l’invasion de la Libye est un mouvement social.
Luis Britto Garcia
http://luisbrittogarcia.blogspot.co....
Traduction "ca m’étonnerait que ça traverse le blindage crânien de nos intellectualoïdes occidentaux" par VD pour le Grand Soir avec probablement un peu plus de fautes et de coquilles que d’habitude.
http://www.legrandsoir.info/comment...
par Doctor No » 17 Oct 2011, 22:10
a écrit :Les mains impérialistes hors de la Libye!
Face à l'agression impérialiste en cours par les pays de l'OTAN (dirigée par les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne) contre le peuple et le Gouvernement révolutionnaire de la Libye, notre parti déclare ce qui suit::
1 .- Nous condamnons fermement l'intervention militaire de l'impérialisme yankee, européennes et canadien en Libye, cachés derrière une prétendue «aide humanitaire» aux victimes civiles du conflit dans ce pays et pour soutenir la prétendue «révolte populaire» contre le régime libyen, qui en réalité n'est rien d'autre qu'une rébellion contre-révolutionnaire organisé, financé et soutenu (y compris militaire) par ces mêmes impérialistes dans le seul but de s'emparer du pétrole, du gaz naturel et d'énormes réserves d'eau douce que le peuple libyen détient en sous sol du désert du Sahara, comme cela a été dénoncé par des personnalités telles que Fidel Castro, le président vénézuélien Hugo Chavez, le président nicaraguayen Daniel Ortega, président de l'Equateur Rafael Correa, le chanteur cubain Silvio Rodriguez et ancien président de l'Assemblée générale Nations Unies, Miguel D'Escoto.
2 .- Les faits qui prouvent cela sont chaque jour plus nombreux et évidents:
Il y a par exemple le Centre de surveillance par satellite des forces armées russes dans les jours et les lieux dans lesquels les aéronefs "soi-disant« gouvernement libyen avaient mitraillé et bombardé une manifestation pacifique de civils, aucun vol d'avion n'a été enregistré par satellite.
La capture par les forces loyales au Kadhafy de 3 soldats néerlandais de pilotage d'un hélicoptère militaire plein d'armes dans la ville de Syrte (où ils étaient censés évacuer les citoyens néerlandais, bien que dans cette ville il n'y a pas de manifestations ou d'affrontements).
La capture par erreur par les forces contre révolutionnaires libyennes de 9 commandos des forces spéciales britanniques dans la ville de Benghazi, qui-selon eux, sont entrés illégalement sur le territoire libyen pour "contacter et fournir une assistance à des rebelles,"
Le rapport Les observateurs que l'Union européenne a envoyé à Tripoli qu'ils ne pouvaient trouver aucune trace de bombardements et massacres perpétrés par le régime Kadhafy, fait dénoncé plus tôt par le journal italien indépendant "Il Manifesto"
Les déclarations américaines depuis le début de la rébellion contre-révolutionnaire à Benghazi qu'ils étaient en contact avec leurs marionnettes du «Conseil National de Transition» et prêts à offrir toute l'aide dont ils ont besoin.
La découverte dans le port de Tripoli, dans plusieurs conteneurs avec plus de 37 millions comprimés stimulants cachés dans une cargaison de "sanitaires" (rendue publique par Telesur)
La reconnaissance diplomatique des contre-révolutionnaires par la France, les menaces ouvertes dès le départ par l'OTAN (maintenant malheureusement concrétisées) d'intervenir militairement si le gouvernement Libye ne cessait pas de combattre leurs marionnettes pro-impérialistes du «Conseil national de transition"
Le déploiement de navires de guerre yankee, canadiens, britanniques et français contre la côte libyenne.
La manœuvre tentative infâme de présenter en tant que «mercenaires» à la nomades Touareg du Mali et le Niger (pays riverains de la Libye au sud) qui comme combattants volontaires ont afflué pour défendre le régime libyen révolutionnaire en gratitude pour l'aide internationaliste fournie par Kadhafy pendant la lutte de libération nationale dans les années 80 et 90 contre les gouvernements vendant leurs nations à l'impérialisme
Les persécutions odieuses persécutions racistes déclenchées par les contre-racistes contre les travailleurs immigrés Noirs résidents en Libye avec l'excuse que beaucoup d'entre eux seraient des «mercenaires étrangers engagés par Kadhafy" (persécutions raciales qui ont déjà conduit à de nombreux cas de torture et de lynchage) et ainsi de suite.
3 .- De tout ce qui précède, il est clair que depuis le début des événements en cours en développement en Libye ont été l'objet d'une manipulation massive des médias par les médias contrôlés par l'impérialisme pour justifier tout d'abord son soutien aux rebelles soutenus contre-révolutionnaire soutenus par lui et, si elles étaient vaincus par le régime populaire de la Jamahiriya , son intervention militaire directe.
C'est pourquoi nous appelons tous ceux qui se disent «progressistes», «révolutionnaire» ou «gauche» de ne pas jouer dans la propagande de l'impérialisme et ne pas tomber dans la campagne de désinformation et de mensonges diffusés par eux, en essayant dans le même temps de chercher plusieurs sources d'information fiables et plus fiables que CNN, BBC, Fox Nouvelles, UPI, Reuters, ANSA, EFE, Associated Press, CBS, ABC, Al Jazeera, Al Arabiya, France-Presse, etc.
Nous ne devons pas oublier que ce sont ces mêmes médias qui parlaient des «armes de destruction massive que avait Saddam Hussein " pour justifier l'invasion impérialiste de l'Irak, puis il a dû admettre que cela n'a jamais existé. À cet égard, nous apprécions le rôle joué à cet égard par des moyens tels que Telesur, indépendant "Il Manifesto" journal italien, l'agence de nouvelles cubaine "Prensa Latina" le site "CubaDebate" et le blog "civilizacionsocialista.blogspot.com" , qui ont essayé de fournir une gestion des informations exactes et indépendantes des médias de l'impérialisme.
En ce sens, nous appelons l'attention sur l'énorme cynisme de l'impérialisme yankee qui cherche à justifier son agression militaire contre la Libye avec l'excuse de "protéger les civils» (en circonstances que depuis l'invasion de l'Irak en 2003, ses forces d'occupation ont tué il déjà plus de 1 million de civils irakiens et l'occupation de l'Afghanistan l'année dernière seulement a causé la mort de plus de 2 000 civils afghans) et de «défendre la liberté, la démocratie et les droits humains" au même moment qu'il est le principal bailleur de fonds du régime raciste et génocidaire sioniste d'Israël qui massacre et opprime tous les jours le peuple palestinien et qui appui toutes les tyrannies et les monarchies absolues dans le monde arabe (Arabie saoudite, Bahreïn, Qatar, Oman, Jordanie, Yémen, Emirats Arabes Unis Koweït, Maroc, Egypte et Tunisie), dont plusieurs d'entre elles répriment aujourd'hui même par le sang et le feu à leurs peuples sans que les Etats-Unis fassent rien pour les arrêter.
4 .- Parmi les causes de la campagne médiatique massive orchestrée par l'impérialisme pour discréditer le régime populaire et révolutionnaire libyen Mouammar dirigé par Kadhafy et de l'actuelle intervention militaire de l'OTAN visant à le renverser, devant l'échec de leurs marionnettes contre-révolutionnaires regroupés dans ce qu'on appelle le "Conseil national de transition" de Benghazi, elles ont joué (ces causes)un rôle de premier plan:
a) L'énorme solidarité internationale que Kadhafy a toujours donné à tous les peuples luttant pour leur libération nationale et sociale du joug impérialiste. Par exemple, la Libye a aidé avec le soutien diplomatique, l'argent, des armes et un entraînement militaire aux Palestiniens de l'OLP, l'ETA basque, les Irlandais de l'IRA, les "Black Panthers" aux Etats-Unis, le Front Polisario sahraoui, le Congrès national africain de Nelson Mandela, la guérilla anti-raciste Namibie et le Zimbabwe en Afrique, les Sandinistes au Nicaragua, la guérilla salvadorienne et guatémaltèque, le Front Moro de libération nationale des Philippines, y compris les soutenant activement le même temps les années 80 les gouvernements de Grenade, du Panama, du Suriname et du Nicaragua contre l'agression impérialiste yanki.
Il a également été le seul pays arabe qui a envoyé des troupes pour aider la Syrie et le Liban pour se défendre de l'invasion d'Israël en 1982 et le dernier mais non le moindre, il a même soutenu les grandes grèves des travailleurs et des luttes de libération nationale dans les pays impérialistes comme la grève des mineurs de charbon en Grande-Bretagne qui a duré plus d'1 an entre 1981 et 1982 et la lutte du peuple irlandais pour la liberté du colonialisme britannique, la lutte du peuple basque, catalan, gallego et des Iles Canaries pour la libération du colonialisme espagnol et, ni plus ni moins que la lutte du peuple noir, indien, portoricain et chicano pour se libérer de l'impérialisme yankee dans les Etats-Unis même, ce qui évidemment lui a valu la haine profonde de tous les impérialistes, pour avoir osé "créer des problèmes «chez eux.
Résultat de cela, la Libye a été bombardée en avril 1986 par les avions yankis et accusé de "soutenir le terrorisme international" (bombardement qui a causé plusieurs dizaines de victimes, essentiellement des civils, y compris une fille adoptive Kadhafy ). Cependant et jusqu'à ce jour il soutient le Combat des communistes dans l'ancienne Union soviétique pour refondre cela comme un Etat socialiste et (il aide) la cause palestinienne.
8) Il a fait la promotion de la nécessité d'Unité peuple arabe pour affronter Israël, soutenir la Palestine et renverser les tyrannies et les monarchies absolues vendues à l'impérialisme qui régissent la plupart du monde arabe ainsi comme l'importance Union des pays africains pour atteindre une véritable indépendance du colonialisme et sortir du sous-développement, demandant à leurs gouvernements la tâche urgente de la construction des Etats-Unis d'Afrique.
c) L'année 2008 Kadhafy a obtenu de sa ex-puissance coloniale, l'Italie, lui demande des excuses publiques à la Libye pour les années de colonialisme et obtenu une compensation financière de 5 milliards pour les dommages et les souffrances causées à son peuple, et en plus la annulation de toutes les dettes.
Qu'arriverait-il aux puissances impérialistes, si les autres peuples qui ont été colonisés à l'instar de la Libye commencions à exiger des excuses et une compensation pour avoir été colonisés, en refusant par exemple de payer la dette extérieure?
À cet égard existe l'amère précédent , systématiquement oxxulté par la presse impérialiste, que le président haïtien Jean-Bertrand Aristide, a été renversé le 29 Février 2004par l'action conjointe des Yankees, des Canadiens et des Français quand il s'apprêtait à soumettre à la Cour internationale de Justice à La Haye une demande de compensation financière aux puissances anciennement colonisatrices ou qui ont occupés Haïti (principalement la France et les Etats-Unis) pour tous les dommages, pertes, les abus et les crimes subis par son peuple, y compris le trafic des esclaves, qui, selon le droit international humanitaire est un crime contre l'humanité (et donc imprescriptible), ce qui aurait signifié que Yankees et français, les créanciers de la dette extérieure d'Haïti seraient devenu à leurs débiteurs.
d) Le Plan que Kadhafy présenta en Février 2009 au Congrès populaire libyen (l'organe législatif et l'exécutif du pays), est composé de 3 points:
A. - La nationalisation totale des hydrocarbures à travers de la fin dans les prochaines années des accords d'association avec les compagnies pétrolières étrangères avec la State Oil Libye.
B-Le démantèlement de la bureaucratie gouvernementale et la gestion directe de l'exécutif et de l'économie nationale (y compris le pétrole) par des organismes élus par les gens de la base et révocables.
Distribution directe et égalitaire des revenus pétroliers entre tous les citoyens.
Une partie de la bureaucratie gouvernementale s'est opposé à ce plan et a obtenu le vote au Congrès du Peuple Libyen pour un report de sa mise en œuvre, avec l'excuse que ces mesures entraînerait un chaos économique, mais en fait ce que ce secteur de la bureaucratie craignait était la perte de leurs privilèges et avantages par rapport au reste de la population - obtenu par la corruption et menacé directement par le Kadhafy plan
Elle s'est donc alliée à l'impérialisme - intéressés à ne pas perdre sa part dans la manne du pétrole libyen - pour renverser le secteur le plus systématiquement anti-impérialiste du régime libyen - dirigé par Kadhafy lui-même - qui insistait sur ses projets d'atteindre un état réellement administrée par le peuple.
Plan que de réussir cela signifierais une énorme avancée vers le socialisme et le communisme.
Bien sur les puissances impérialistes ne seraient jamais disposés à permettre que cela se produise du tout, vu que cela mettrait en question directement leur domination et montrerait aux peuples du monde peuvent encore émerger des réelles alternatives au capitaliste. Cela explique pourquoi les représentants du gouvernement libyen et les ministres, les sous-ministres, généraux, colonels et des Ambassadeurs sont passés du côté de la contre-révolution pro-impérialistes et font partie aujourd'hui du "Conseil national de transition» à Benghazi.
5 .- Sur l supposé caractère du "soulèvement populaire et pour la démocratie» qui aurait la rébellion contre le régime de Kadhafy, nous attirons l'attention sur le fait que le drapeau utilisé par le contre-révolutionnaires du "Conseil national de transition" de Benghazi c'est le drapeau de la monarchie qui a gouverné la Libye imposé par l'impérialisme entre 1951 et 1969, la monarchie absolue dirigée par le roi Idris I (un roitelet imposé par les impérialistes) où les élections n'y n'avaient pas ni de liberté pour aucun des partis politiques ou syndicats.
Donc, si les rebelles revendiquent de pass" avant Kadhafy ls affirment i clairement ne pas lutter pour la démocratie. Nous devons aussi dire que durant toute la monarchie la 'Libya Oil était dans les mains des transnationales anglaises, néerlandaises, françaises et Yankees, pratiquement sans payer d'impôt sur le pétrole libyen (à l'exception des pots de vin à la rigueur à la famille régnante royale ) et que c'était justement Mouammar Kadhafy, chef de la libération du Processus Anti-impérialiste et nationale appelée «Révolution du peuple libyen", qui a nationalisé le pétrole après avoir renversé le roi Idris I, le 1er Septembre 1969, et utilisé ces richesses pour donner la santé et l'éducation gratuite, des emplois stables et bien payés, le logement abordable, la sécurité sociale, droits et services de base comme l'approvisionnement en eau, assainissement, électricité, transports publics, de gaz et de carburant gratuit
Presque toute la population du pays, sans distinction (y compris bien sûr les femmes, ce qui n'est pas peu de chose en un pays musulman).
En impulsant la modernisation et l'industrialisation du pays et le développement de l'agriculture en Libye visant à faire de l'autosuffisance alimentaire (pour lequel ils ont été utilisé les énormes réserves souterraines d'eau douce que cette nation a en dessous du désert du Sahara), d'éliminer l'analphabétisme,augmenter l'espérance de vie à 74 ans (le plus élevé en Afrique) et élever le niveau de vie du peuple libyen dans la mesure que la Libye détient aujourd'hui la plus élevé taux visant le développement de l'homme de l'Afrique , selon le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Pour montrer qu'un seul fait: Il n'y a pas de chômage en Libye, en fait jusqu'au dernier Février avait 1 ½ million d'immigrants y travaillant parce que le pays manquait de main-d'œuvre. Tous les travailleurs en Libye ont reçu de l'Etat un deuxième salaire produit de la rente pétrolière. D'où il suit que si les rebelles sont pour la monarchie qui a donné son pétrole aux impérialistes il est clair alors que l'on n'est pas devant un mouvement anti-impérialiste, mais précisément le contraire.
Enfin, il convient de noter que la monarchie même revendiquée par les rebelles a permis l'installation de bases militaires yankis et anglaises sur le sol libyen, qui ont été définitivement expulsés en 1970 par Kadhafy.
En conséquence nous ne sommes pas devant des patriotes luttant pour la souveraineté et l'indépendance de la Libye mais devant un mouvement contre-révolutionnaire, monarchiste et pro-impérialiste qui a déjà enlevé le masque et est maintenant soutenu ouvertement et en bénéficiant de l'intervention militaire de leurs maîtres et patrons impérialistes. Les héritiers du défunt roi Idris jparlent hardiment pour le médias contrôlés par l'impérialisme du "Retour à la Libye pour restaurer la monarchie."
6 .- On peux être pour ou contre la position actuelle du régime de la Libye, de la Jamahiriya arabe populaire et socialiste (nom officiel de la Libye), mais une chose que nous ne pouvons jamais faire ni justifier ou rester indifférent devant l'agression impérialiste contre un Etat souverain et indépendant. Comme anti-impérialistes, sans hésitation, nous devons défendre le droit à l'autodétermination. C'est au peuple de Libye de résoudre ses affaires internes sans ingérence étrangère d'aucune sorte, moins encore des impérialistes, quand bien même ils se déguisent cyniquement "en défenseurs des droits de l'homme, de la liberté et de la démocratie."
En tant que membres des peuples vivant au Chili qui a personnellement souffert de la dictature fasciste de Pinochet, nous savons très bien ce que signifie l'intervention impérialiste et les conséquences qui en découlent pour notre peuple. Et juste au cas où quelqu'un avait un mauvaise mémoire au Chili, il y a des cas récents en Irak et en Afghanistan, qui n'ont jamais obtenu la liberté et la démocratie et des droits humains aux mains des envahisseurs impérialistes, mais seulement du colonialisme déguisé, la répression la plus sauvage contre leur peuple et le pillage de ses ressources naturelles. C'est pour cela que nous saluons donc de la proposition du pays de l'ALBA pour une solution pacifique et sans interventions étrangères dans le conflit actuel.
7 .- Enfin, nous ne pouvons manquer d'affirmer un pair de valeurs qui aujourd'hui, dans le Chili cyniquement individualiste dans lequel nous vivons, ne sont pas très à la mode, mais si dans notre condition des militants sociaux et révolutionnaires anti-impérialistes et des gens bien élevés( décents, de principes justes ..;difficile à traduire) , nous ne devons jamais oublier: Ils sont la solidarité et la gratitude.
Et je dis cela parce que le peuple et le Gouvernement révolutionnaire de la Libye, dirigé par Mouammar Kadhafy ont été invariablement grandement solidaires avec la lutte des peuples vivant au Chili contre la dictature fasciste de Pinochet. La Libye a a soutenu activement dans tous les forums internationaux, avec de l'argent, des armes (et même une formation militaire) à presque tous les partis de la "gauche" chilienne.
Depuis le Parti «Radicale» jusqu'au Mapu Lautaro, an passant par le parti «socialiste» , le Mapu, le Mapu ouvrier et paysan, la «gauche» chrétienne, le parti "communiste" du Chili, le Frente "patriotique" Manuel Rodriguez (tant celui relié au PC que l'Autonome) et le MIR, ils ont tous reçu le généreux soutien de la Libye internationaliste de Kadhafy. Pour cela, il est inévitable si nous sommes vraiment des gens honnêtes (bien , décents, etc.) anti-impérialiste et reconnaissant de façon désintéressée il nous a aidés dans les pires moments de notre histoire, notre coup de main au peuple et le gouvernement révolutionnaire de la Libye, maintenant ils ont besoin de notre solidarité contre l'agression des impérialistes et leurs laquais.
C'est pourquoi nous condamnons la trahison et l'opportunisme de la majorité des Parties de la "Gauche" chilienne (Partis "socialiste", Parti "communiste" du Chili, Mapu, "Gauche chrétienne" de Mapu ouvrier et paysan, du Parti " Radical ", du MIR [sauf celui dirigé par Monica Quilodrán], du Mapu-Lautaro, du Mouvement" patriotique "Manuel Rodriguez et du Front patriotique "Manuel Rodriguez), qui aujourd'hui nientr leur appui au peuple et au gouvernement libyen révolutionnaires ou gardent un silence complice avec la contre-révolution organisée par l'impérialisme et avec l'agression de l'OTAN, bien que pendant la dictature fasciste de Pinochet ils ont bénéficié de l'aide internationaliste et de la généreuse contribution financière, diplomatique et militaire du régime anti-impérialiste de Kadahfi !
Sont des preuves de cela http://papeldigital.info/ltrep/2011/03/06/01/paginas/018.pdf
Ou dans
http://diario.latercera.com/2011/03/06/01/...a-chilena.shtml
Bas les pattes impérialistes de la Libye!
PRML
Parti marxiste-léniniste révolutionnaire du Chili
par lavana » 18 Oct 2011, 10:50
(Doctor No @ lundi 17 octobre 2011 à 23:10 a écrit :
Complices des rats et des impérialistes voila le titre marqué au fer rouge que certains porteront sur le front tous les jours de leur honte.
( LDC a écrit :Il instaura alors une dictature militaire, mais qui, en utilisant les richesses du pétrole, assura un certain développement du pays. À l’extérieur, il mena une politique identique à celle des autres nationalistes, disputant le contrôle de territoires avec ses voisins, soutenant certains mouvements nationalistes, s’autoproclamant du côté des Palestiniens en lutte.
Du fait de son nationalisme, Kadhafi devint peu à peu la bête noire des États-Unis. Les souvenirs des ravages du pillage colonial d’abord, puis l’hostilité des grandes puissances à ces furtives tentatives d’indépendance, permirent à Kadhafi d’apparaître comme un opposant à l’impérialisme, et lui permirent finalement de conserver un certain crédit auprès d’une partie de la population.
par Doctor No » 18 Oct 2011, 12:38
a écrit :Cela dit, on peut tout à fait critiquer la faiblesse de l'opposition (en France pour ce qui nous concerne directement) à cette guerre.
Ce n'est pas la même chose que d'être complice de l'impérialisme.
Tu t'égares quand même un peu.
par Doctor No » 18 Oct 2011, 13:10
a écrit :La médina de Syrte abandonnée aux pillards
Mots clés : Libye, Guerre, Kadhafi, SYRTE
Par Tanguy Berthemet Publié le 17/10/2011 à 08:00 Réactions (7)
Un rebelle avance dans le centre de Syrte, en ruine, samedi dernier.
Un rebelle avance dans le centre de Syrte, en ruine, samedi dernier. Crédits photo : AHMAD AL-RUBAYE/AFP
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REPORTAGE - L'indiscipline de nombreux combattants rebelles retarde la victoire finale sur le dernier carré des pro-Kadhafi.
Envoyé spécial à Syrte
Les rues de Syrte sont curieusement désertes. Les longues perspectives ne laissent voir que des trottoirs vides bouchés par des tas de gravats, des fenêtres éclatées et des portes béantes. Mais personne. La ville natale de Mouammar Kadhafi apparaît oubliée, comme si elle était aux mains des hommes du Conseil national de transition (CNT) depuis des jours. Seul, au-dessus des toits, le grondement des mortiers et des canons antiaériens rappelle qu'à l'ouest de la cité, un carré de fidèles du Guide poursuit sa vaine résistance.
«Nous avons changé de plan. Nous ne laissons plus que quelques centaines d'hommes se battre. Cela ne sert à rien de laisser des milliers de soldats sur un aussi petit périmètre. On doit aussi tenter d'épargner les quelques civils qui restent dans Syrte», explique le commandant Salah el-Jabu. La tactique pourrait retarder la prise totale de la ville. Mais, il s'agit d'éviter les tirs fratricides qui, ces derniers jours, ont causé au moins trois morts parmi les rebelles. Les révolutionnaires entendent aussi réduire le nombre de cibles pour les snipers ennemis, aujourd'hui responsables de 85 % des blessés selon le docteur Ali, médecin dans un hôpital de campagne.
Ce revirement tactique cache aussi les difficultés qu'ont les thuwars à s'organiser. Malgré plus de huit mois de guerre, ces hommes restent pour beaucoup des soldats improvisés, des civils venus prêter main-forte à la révolution, souvent rétifs à la discipline. Les ordres peinent à être appliqués. Abdallah el-Drouich, commandant de la katiba el-Wadi, l'une des plus importantes de Misrata, reconnaît à demi-mot que la mise en œuvre d'une stratégie est parfois délicate. Pour lui, la faute en revient aux «volontaires».
Dimanche, on pouvait ainsi rencontrer Mohammed Fahine, venu avec deux frères pour la journée, la kalachnikov sous le bras, assister à la bataille. Ou encore Bassad. Cet homme d'affaires de Tripoli avait fait le voyage avec des médicaments pour aider sans trop savoir comment. D'autres combattants de la dernière heure avaient des idées très précises. Dans les rues inondées de la médina, ils erraient par groupes de trois ou quatre, entrant dans les maisons, fouillant soigneusement. Tous, comme Jahine, s'avouaient en charge du «nettoyage» derrière les lignes. Dans les faits, ils s'intéressaient plus aux télévisions et aux bijoux qu'aux loyalistes cachés. Dans le fond d'un garage, loin des tirs, un gamin disant se prénommer Ahmad s'échinait, de l'eau à mi-mollet, sur l'antivol d'un gros tout-terrain. «On ne prend que dans les maisons des proches de Kadhafi, pas dans les autres», affirmait Ahmad. Comment reconnaître le domicile d'un kadhafiste de celui d'un simple citoyen ? Mystère.
La destruction de la cité
Quelques heures plus tard, le Toyota partait, comme des dizaines d'autres, tracté par un camion. «Il a eu un pillage systématique de la ville, s'agace un combattant qui tient à rester anonyme. Si on ne s'était pas arrêté de se battre pour piller, la ville serait déjà prise.» La frénésie n'a épargné personne. Jahid, l'un des rares thuwars issu de Syrte, ne décolère pas. Sa propre maison et celle de son père ont, elles aussi, été vidées. «C'est une punition collective. Tous les gens de Syrte sont traités en complices.» Cette mise à sac est le grand tabou de cette bataille. Pour les responsables du CNT, les mercenaires de Kadhafi portent la responsabilité de la destruction de la cité. (bobard pour les imbéciles qui peuvent croire ce gros mensonge. m.c.)
Amar, qui préfère taire son nom, ne contredira pas les nouveaux maîtres du pays. Son appartenance à la tribu des Kadhafa, celle de l'ancien dictateur, l'incite à la prudence. Lui aussi a vu sa maison pillée. «Ce qu'il faut maintenant c'est la sécurité, le reste on verra plus tard.»
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