
C'est l'éphéméride de ce jour, avec un bon extrait de Fascisme et grand capital de Daniel Guérin.
Il y a aussi quelques bons films là-dessus.
Par hasard j'ai eu l'occasion de voir il y a quelques jours en vidéo un film de Carlo Lizzari avec Marcello Mastroïanni, Chronique des pauvres amants d'après le roman de Vasco Pratolini, qui se passe dans une ruelle populaire de Florence en 1925 et évoque bien cette période.
Toujours à propos de film sur le fascisme italien, il ne faut pas loupé La marche sur Rome de Dino Rizzi avec Vittorio Gassman et Ugo Tognazzi. C'est hilarant de bout en bout cette histoire de deux anciens combattants copains du front, un ouvrier agricole simple et pratique, et un parasite lâche et hableur embringués dans une escouade fasciste...
Et puis un film que je n'ai pas pu revoir depuis sa sortie en 1962, Quelle joie de vivre! De René Clément avec Alain Delon. Un garçon naïf sorti de l'orphelinat pour entrée à la caserne puis dans la guerre, chômeur ensuite, embrigadé par les fascistes qui le chargent d'infiltrer une famille dont chaque membre représente une tendance de l'anarchisme. Le grand père naturiste enfermé au grenier est fantastique.
La première scène si drôle et si amère, des garçons en uniforme et en rang conduit par un gros curé de l'orphelinat à la caserne, le visage plein de joie et d'amour qui leur dit sur le seuil de la caserne, "mes enfants, vous êtes libres!".
Des films à (re)voir et à faire voir.
Il y a aussi quelques bons films là-dessus.
Par hasard j'ai eu l'occasion de voir il y a quelques jours en vidéo un film de Carlo Lizzari avec Marcello Mastroïanni, Chronique des pauvres amants d'après le roman de Vasco Pratolini, qui se passe dans une ruelle populaire de Florence en 1925 et évoque bien cette période.
Toujours à propos de film sur le fascisme italien, il ne faut pas loupé La marche sur Rome de Dino Rizzi avec Vittorio Gassman et Ugo Tognazzi. C'est hilarant de bout en bout cette histoire de deux anciens combattants copains du front, un ouvrier agricole simple et pratique, et un parasite lâche et hableur embringués dans une escouade fasciste...
Et puis un film que je n'ai pas pu revoir depuis sa sortie en 1962, Quelle joie de vivre! De René Clément avec Alain Delon. Un garçon naïf sorti de l'orphelinat pour entrée à la caserne puis dans la guerre, chômeur ensuite, embrigadé par les fascistes qui le chargent d'infiltrer une famille dont chaque membre représente une tendance de l'anarchisme. Le grand père naturiste enfermé au grenier est fantastique.
La première scène si drôle et si amère, des garçons en uniforme et en rang conduit par un gros curé de l'orphelinat à la caserne, le visage plein de joie et d'amour qui leur dit sur le seuil de la caserne, "mes enfants, vous êtes libres!".
Des films à (re)voir et à faire voir.