Tournées d'été, journées d'action etc.

Réunions publiques, fêtes et autre...

Re: Tournées d'été, journées d'action etc.

Message par Plestin » 10 Fév 2022, 06:20

Toujours dans la série des villes "inhabituelles", une réunion publique est annoncée pour le 28 février à Hérouville-Saint-Clair (Calvados), dans la banlieue de Caen : à 19h00, Salle Polyvalente du Val, sous l'école du Val (école Simone Veil), entrée 3.03 Le Val.

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 03977.html

Il ne s'agit pas de la réunion caennaise qui se serait déportée ici pour une question de salle, puisqu'une autre réunion publique a lieu à Caen le lendemain 1er mars.

Hérouville-Saint-Clair est la seconde ville du Calvados par la population (22.500 habitants environ) après Caen et devant Lisieux qu'elle a dépassé. C'est une ancienne "ville nouvelle" des années 1960, une ville-champignon. Une ville comportant de grandes cités populaires et accueillant de nombreuses usines de taille moyenne ou petite, dont les principales sont dans le secteur de la pharmacie (Farmaclair, Cenexi, Laboratoires Gilbert), du matériel médical (Lisi Medical Orthopaedics, un fabricant de prothèses de hanche et de genou) et de la transformation du papier (Papeteries Hamelin). Et une réserve de travailleurs pour les gros employeurs de l'agglomération caennaise comme le CHU Côte de Nacre, Renault Trucks ou Stellantis (PSA).
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Message par Plestin » 11 Fév 2022, 18:38

Autre ville inhabituelle : une réunion publique est prévue à Bain-de-Bretagne (Ille-et-Vilaine) le samedi 19 février à 15h00, Salle Rameau, Le Clos Loizel, rue Hippolyte Filloux, animée par Sandra CHIRAZI.

Bain-de-Bretagne est une ville d'un peu plus de 7.000 habitants située dans le sud du département, à près de 40 km au sud de Rennes, le long de l'autoroute vers Nantes. Malgré son relatif éloignement de Rennes, elle fait partie de sa "grande banlieue" et se situe parmi ces petites villes disséminées dans la campagne se situant dans la zone d'attraction de l'usine Stellantis (ex-PSA, ex-Citroën) de Rennes-La Janais et de ses nombreux sous-traitants (mais il s'agit d'une vraie petite ville historique et commerçante avec un centre, pas d'une simple ville-dortoir comme Saint-Jacques-de-la-Lande).
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Message par Plestin » 17 Fév 2022, 11:42

Il y a également un événement à Vitré (Ille-et-Vilaine), ville faite de temps en temps dans le cadre de journées d'action, mais qui est inhabituelle en ce qui concerne les réunions publiques : il y aura une réunion publique le jeudi 10 mars à 19h, à la Maison de Quartier de Maison Rouge, allée du Mail, avec la présence de Christelle JARNY.

Je présume que ces réunions publiques à Bain-de-Bretagne et Vitré seront animées par les futures candidates LO aux législatives qui suivront la présidentielle...

Vitré est une commune de 18.500 habitants qui est fortement industrialisée, avec notamment une grande usine alimentaire - la SVA Jean Rozé - qui compte 1.500 personnes et est un fournisseur majeur de viande pour Intermarché, et plusieurs usines de taille moyenne dans l'agroalimentaire, les cosmétiques, la maroquinerie, l'électronique, le caoutchouc pour l'automobile...
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Message par Gayraud de Mazars » 18 Fév 2022, 10:02

Salut camarades,

Dans la Nièvre en Bourgogne...

Ils font campagne
Lutte ouvrière, un militantisme inoxydable depuis 1974 dans la Nièvre
Article publié dans le Journal du Centre
Le jeudi 17/02/2022
Par Alain Gavriloff

https://www.lejdc.fr/nevers-58000/actua ... _14086838/

Image
Combattre le capitalisme : un discours plutôt bien accueilli à la porte des usines. © Frédéric Lonjon

Quand d’autres galèrent, Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière, a déjà gagné ses 500 parrainages, sans difficulté. Un résultat suffisant pour se faire entendre, et donc un succès, qui doit beaucoup à des militants dévoués, comme dans la Nièvre.

Cet article est en accès libre car pour nous, être bien informé est essentiel pour un vote raisonné. Pour nous soutenir, abonnez-vous à partir de 4,5 € par mois, sans engagement.

C’est un petit parti, communiste et révolutionnaire, présent à chaque élection : municipales, régionales, européennes, présidentielle. D’Arlette Laguiller à Nathalie Arthaud, Lutte ouvrière a toujours été qualifié au premier tour de la présidentielle, en obtenant à chaque fois les 500 parrainages d’élus que tant d’autres peinent à trouver. Arlette Laguiller a même dépassé 5 % des voix en 1995 et 2002…

« Des maires de petites communes ressentent les mêmes difficultés que nous »

À Nevers, le « camp des travailleurs » compte de fidèles militants. Geneviève Lemoine et Dominique Dupuis, qui se partagent à tour de rôle la tête de liste du parti aux élections locales, font campagne pour la présidentielle depuis… 1974.
Depuis bientôt deux mois, ils collent des affiches et tractent devant les usines, à Nevers, Imphy ou comme ce jour-là devant le technicentre SNCF.

Ils démarchent aussi plusieurs centaines de maires nivernais pour contribuer aux 500 parrainages de Nathalie Arthaud. Trois maires en 2012, deux en 2017 ont été convaincus, pas forcément communistes révolutionnaires mais « au nom de la pluralité », témoigne Geneviève Lemoine. « Des maires de petites communes ressentent les mêmes difficultés que nous », constate Dominique Dupuis. Ciblant de préférence des maires de gauche, les militants LO sont « rarement mal accueillis », comme si l’idée de mettre un coup de pied dans le système capitaliste les rendait sympathiques.

« Les gens en ont tellement marre »

Auprès des ouvriers, les militants discutent : « On parle de ce qu’ils vivent, la hausse des prix, les hôpitaux, les salaires… Ce qui est insupportable, c’est qu’on nous annonce des milliards de profits et qu’au moment des négociations salariales, il n’y a pas d’argent », s’indigne Dominique Dupuis.

Le discours est plutôt bien accueilli à la porte des usines. Devant les excès du capitalisme, leur positionnement ne fait pas forcément peur : « Les gens en ont tellement marre. Si on reste dans ce système, on sera toujours dans la merde. Depuis 1981, on les a tous eu : gauche, droite, gauche et droite ensemble, donc il faudrait en tirer les conclusions » ajoute Dominique Dupuis.

« On n’y croit pas aux élections, mais c’est un moment où les gens s’intéressent plus à la politique »

Ces conclusions, ce sont pourtant plutôt les candidats d’extrême-droite qui en profitent ces dernières années, y compris dans le milieu ouvrier. « C’est plus facile… Plus facile de se dire que c’est la faute des immigrés que de changer le système. Et puis la gauche a beaucoup déçu », analyse Philippe Simon, autre militant retraité.

La présidentielle, comme les autres élections, Lutte ouvrière y va « pour se faire entendre ». « On n’y croit pas aux élections, mais c’est un moment où les gens s’intéressent plus à la politique », justifie Geneviève Lemoine. Aucune stratégie politicienne ne les motive, pas même pour tenter d’atteindre le seuil des 5 % qui permet le remboursement des frais de campagne. Philippe Poutou ? « Ce n’est pas un ennemi », mais le but étant d’obtenir du temps de parole médiatique, leur présence à tous les deux permet d’offrir deux fois plus de temps d’antenne à l’extrême-gauche.

Cette impossibilité de gagner, Geneviève Lemoine n’en est pas frustrée : « Si on y croit, on y va… On rencontre des gens, c’est plutôt sympa ». Et elle ne compte pas ses heures, « presque tous les jours » sur le terrain… Y compris avec des tracts payés de leur poche. Car le parti n’a pas de grand donateur. Sa campagne, c’est « l’argent des cotisations » qui la finance.


Fraternellement,
GdM
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Message par Gayraud de Mazars » 19 Fév 2022, 17:28

Salut camarades,

Présidentielle 2022 : Pour les militants de Nathalie Arthaud, « l'important, c'est la lutte », pas les urnes
REPORTAGE « 20 Minutes » a rencontré des militants de Lutte ouvrière, avant le meeting de sa candidate, jeudi soir, dans la capitale héraultaise
Par Nicolas Bonzom
Publié le 18/02/22

https://www.20minutes.fr/elections/3237 ... utte-urnes

Nathalie Arthaud, la candidate de Lutte ouvrière, était en meeting, jeudi, à Montpellier.

« 20 Minutes » a interrogé des militants, pour tenter de comprendre le sens de leur engagement, alors que leur candidate est en dessous de 1 % dans les sondages.

« Ce n'est pas dans les urnes que les travailleurs sont forts, assure Guy, un militant de la première heure de Lutte ouvrière. C'est dans les luttes sociales. »

Daniel plante le drapeau de Lutte ouvrière, entre deux tréteaux, devant la salle Pelloutier, à Montpellier (Hérault). Ce retraité de l’hôtellerie est venu d'Arles (Bouches-du-Rhône), jeudi soir, pour aider ses camarades héraultais, dans la préparation du meeting de Nathalie Arthaud (LO). « Je suis une petite main ! », sourit ce sexagénaire, qui s’est engagé, il y a quelques années, dans les troupes de ce mouvement révolutionnaire. « J’ai longtemps voté socialiste, j’en suis revenu, soupire-t-il. Ils nous ont trahis. Les lois les plus antisociales qu’on a eues, c’est avec [François] Mitterrand ou [François] Hollande. Ils ont fait des choses que la droite n’osait pas faire. »

Mais le grand soir, c’est pas pour tout de suite, reconnaît Daniel. « Moi, je ne risque pas de le connaître, j’ai 66 ans ! Quand on voit comment les gens sont passifs aujourd’hui, on ne risque pas la révolution… Mais il faut entretenir ce feu qui couve. » D’ailleurs, ce qui plaît à cet Arlésien, chez Nathalie Arthaud, c’est qu’elle n’a pas l’ambition d’être élue présidente de la République, mais « de faire entendre le camp des travailleurs ».

« Des zozos dans l’espace quand il y a des gens qui crèvent la dalle ? »

Dans la salle, habillée aux couleurs de Lutte ouvrière, on attend la candidate d’une minute à l’autre. Guy, ces soirées-là, il les connaît par cœur. Voilà presque 50 ans qu’il milite pour Lutte ouvrière. Il a connu les « bagarres au chantier naval de la Ciotat, puis à la réparation navale à Marseille ». « Cette société est en fin de course, s’indigne ce retraité de la métallurgie. A quoi ça sert d’envoyer des zozos dans l’espace quand il y a des gens qui crèvent la dalle ? La plupart des candidats qui se disent du côté des travailleurs ne visent que 1.400 euros de SMIC. Moi, s’ils veulent, je leur donne 1.400 euros pour vivre, dans la situation actuelle. On verra, s’ils y arrivent ! »

Sa candidate, Nathalie Arthaud, ne veut, elle qu’aucun salaire ne soit en dessous de 2.000 euros. Mais dans les sondages, elle est en dessous de 1 %. « Ce n’est pas dans les urnes que les travailleurs sont forts, balaie Guy. C’est dans les luttes sociales. »

« Le PC, ça fait des années et des années qu’il soutient Mitterrand et Hollande »

A l’extérieur de la salle, Juliette et Lucie, 21 et 25 ans, le journal du mouvement sous le bras, discutent avec des passants, intrigués par ces drapeaux rouges qui flottent sur la place Zeus. Si Juliette, étudiante en biologie, est aux côtés de Nathalie Arthaud, c’est parce qu’elle adhère à son positionnement. « Un candidat qui dit "Votez pour moi, je changerai les choses à votre place", je n’y crois pas une seule seconde, confie-t-elle. Ce sera le monde du travail, en révolte, qui réussira à arracher des choses pour lui. Il n’y a que Nathalie Arthaud qui dit ça. » Fabien Roussel (PC) ? Lucie, à ses côtés, ne veut pas en entendre parler. « Le PC, ça fait des années et des années qu’il soutient [François] Mitterrand, [François] Hollande… », peste cette étudiante en lettres.

Philippe Poutou (NPA) a plus de grâce à ses yeux, parce qu’il parle « de choses qui nous concernent ». « Les partis qui n’ont qu’une seule idée en tête, comment gérer au mieux la société pour servir les intérêts des capitalistes, il y en a plein, confie Lucie. Alors, pourquoi ne pourrait-il pas y avoir plein de partis, avec des nuances, mais qui défendent que ce qui compte, c’est le monde du travail et ses luttes ? »

Les 500 parrainages ? « Cela n’étonne que ceux qui ne nous connaissent pas »

Dans le public, ce soir, il y a des jeunes, qui voteront, le 10 avril, pour la première fois. C’est le cas de Lucas, 18 ans. Il n’est pas encore sûr de voter pour Nathalie Arthaud, peut-être que ce sera pour un autre candidat d’extrême gauche. Mais de toute façon, assure cet étudiant en économie, les idées communistes qu’il a chevillées au corps, « il y a d’autres façons de les porter qu’avec la présidentielle. L’important, c’est la lutte. »

La candidate de Lutte ouvrière est arrivée, dans la salle Pelloutier. Elle débarque avec une bonne nouvelle : elle a passé la barre des 500 parrainages. Elle en a 529. Etonnant, tandis que d’autres, mieux placés dans les sondages, galèrent. « Cela n’étonne que ceux qui ne nous connaissent pas, sourit Nathalie Arthaud. Et qui pensent que l’on surgit, comme ça, tous les cinq ans, de nulle part. Tels des extraterrestres arrivés du fin fond de l’univers. » Ceux qui offrent leur signature à Lutte ouvrière, ce sont « des maires de petites communes, des employés, des techniciens, des ingénieurs, des ouvriers, des professeurs, des agriculteurs… Des femmes et des hommes du monde du travail, confie-t-elle. Ils sentent que l’on porte un camp légitime à pouvoir s’exprimer. »

Nathalie Arthaud en convient, elle ne gagnera pas. « Je sais très bien que je suis hors course, confie la candidate, dont c’est la troisième campagne présidentielle. Mais ce que je mets en avant, ça ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd. Ça touche énormément de femmes et d’hommes. La réussite d’une campagne ne se résume pas, seulement, au nombre de votants. » Il est l’heure de monter au perchoir, pour Nathalie Arthaud. Et de scander le célèbre « Travailleuses, travailleurs ! », indissociable du mouvement.


Fraternellement,
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Message par Plestin » 19 Fév 2022, 21:28

A propos d'Hérouville-Saint-Clair, il y aura une journée d'action le jeudi 24 février avant la réunion publique du lundi 28 février.

Sinon, 2 réunions publiques (inhabituelles) sont prévues dans des villes faisant régulièrement l'objet de journées d'action, ou a proximité :

- Montélimar (Drôme) le samedi 26 février à 15h00, Maison des Services Publics, salle 404, 1 avenue Saint-Martin, avec Guy RAT et Alain TERNO.

- Bourg-de-Péage (Drôme) le vendredi 4 mars à 18h30, Maison des Associations François Mitterrand, 2 avenue Ville de Mindelheim, avec Monique BERNARD et Maurice HUGUES.

Montélimar est une ville en croissance dont la population approche les 40.000 habitants. Ce n'est pas "que" la capitale du nougat et une étape sur la route des vacances, c'est aussi une grosse ville commerçante, avec quelques industries significatives notamment Autajon qui est un grand fabricant d'étuis pliants, coffrets, présentoirs en carton et étiquettes pour l'industrie alimentaire, pharmaceutique et de la parfumerie-cosmétique (environ 800 personnes sur plusieurs sites à Montélimar). Montélimar accueille aussi des travailleurs du nucléaire, que ce soit ceux de la centrale de Cruas-Meysse en Ardèche (un peu plus au nord) ou ceux des complexes de Pierrelatte-Tricastin plus au sud. Et de nombreux travailleurs du secteur de la logistique, incluant depuis quelques années Amazon.

Pour Bourg-de-Péage (près de 10.000 habitants), il s'agit de fait de la réunion publique de l'agglomération de Romans-sur-Isère (environ 50.000 habitants en tout dont 33.000 à Romans), Romans faisant régulièrement l'objet de journées d'action. Bourg-de-Péage et Romans sont chacune sur une berge de l'Isère et les deux centre-ville sont face à face, reliés par un pont. Cette agglomération accueille de nombreuses PME et quelques industries significatives. L'industrie de la chaussure (dont Romans était autrefois "la capitale") a presque complètement disparu avec la faillite ou la délocalisation de la production chez tous les grands acteurs historiques, Charles Jourdan, Stéphane Kélian, Robert Clergerie... Il reste surtout quelques "magasins d'usine" pour des usines qui sont ailleurs. L'agroalimentaire est bien représenté (boulangerie industrielle Délifrance, volailles Royal Bernard, œufs...) de même que la sous-traitance automobile (Akwel) et surtout l'industrie nucléaire qui compte un site industriel important et stratégique (Framatome, plus de 800 personnes) participant à l'assemblage du combustible des centrales.
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Re: Tournées d'été, journées d'action etc.

Message par Plestin » 07 Mars 2022, 10:33

Deux réunions publiques dans des communes inhabituelles dans le cadre de l'élection présidentielle :

- Le Grand-Lucé (Sarthe), jeudi 10 mars à 18h00, Salle Polyte Gautier, rue Saint-Facile (près du Collège).

Le Grand-Lucé est un village de près de 2.000 habitants situé à quelques km au sud-est du Mans ; c'est l'une des rares communes rurales où il y a eu (pour la première fois) une liste LO aux municipales de 2020.

- Crépy-en-Valois (Oise), samedi 12 mars à 14h30, à la salle des Fêtes, 25 rue Nationale, avec Anne ZANDITENAS, porte-parole pour la région Hauts de France.
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Message par Plestin » 08 Mars 2022, 05:49

Une réunion publique est prévue à Châlette-sur-Loing (Loiret), le samedi 26 mars à 16h00, Maison des Associations, 32 rue Claude Debussy, avec Dominique CLERGUE.

Châlette-sur-Loing est une commune de 12.700 habitants qui fait partie de l'agglomération de Montargis et qui abrite la grande usine Hutchinson (filiale de Total) qui fabrique du caoutchouc industriel (joints, tuyaux, pièces diverses...) C'est d'ailleurs là que travaille la camarade Dominique CLERGUE, ouvrière (et tête de liste LO aux municipales de Montargis).
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Re: Tournées d'été, journées d'action etc.

Message par Plestin » 09 Mars 2022, 07:44

Un moment, en voyant le communiqué je me suis dit : quoi, on fait une réunion publique de soutien à la candidature de Nathalie Arthaud à Mons, en Belgique ?

Puis, j'ai lu attentivement l'adresse et j'ai pigé : il s'agit de Mons-en-Baroeul (Nord), une banlieue ouvrière de Lille qui compte 21.000 habitants.

Réunion publique, donc, à Mons-en-Baroeul le samedi 12 mars à 10h30, Parc du Baroeul, 9 rue du Baroeul. Juste derrière l'usine Heineken.

https://www.lutte-ouvriere.org/en-regio ... 30287.html
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Re: Tournées d'été, journées d'action etc.

Message par Plestin » 12 Mars 2022, 19:58

Voici encore une ville où il y a régulièrement des activités publiques de LO mais où une réunion publique est inhabituelle : Soissons (Aisne), le samedi 19 mars à 15h00, salle de la Halte Fluviale, rue Ernest Ringuier.

Soissons est une ville d'environ 29.000 habitants à environ 100 km au nord-est de Paris, qui a perdu beaucoup d'activités industrielles dans le caoutchouc, la métallurgie, le carton... Il reste quelques usines à Soissons ou dans les communes limitrophes (Cuffies, Villeneuve-Saint-Germain, Bucy-le-Long, Vénizel...), dans la verrerie, la papeterie-cartonnerie, l'agroalimentaire, des sites de logistique ou de distribution et des activités tertiaires.
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