catch 22, ça a donné une expression utilisée couramment.
Livrevre culte des pacifistes opposés à la guerre du Vietnam, Catch 22 est une satire féroce de l'armée, de la hiérarchie et de la Seconde Guerre mondiale et raconte l'épopée burlesque du capitaine Yossarian, navigateur-bombardier de bombardier B-25, héros tragi-comique, qui tente à tout prix de sauver sa peau en simulant la folie dans un monde qui a perdu la raison.
Mais l'article 22 du règlement intérieur de la base prévoit que « Quiconque veut se faire dispenser d'aller au feu n'est pas réellement fou. ».
Catch 22 est un terme utilisé pour désigner une situation paradoxale!
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par Harpo » 07 Nov 2011, 23:18
:rtfm: ATTENTION ! ce qui suit est une PUBLICITE (mais je crois que les modérateurs dans leur grande sagesse :prosterne: ne la censureront pas.)
J'ai commencé à lire "Malaquais Rebelle" de Geneviève Nakach, que l'auteure m'a offert gracieusement et qui paraîtra officiellement vers le 10 ou 12 novembre aux éditions du "Cherche midi".
Si vous avez déjà lu "Les javanais", "Planète sans visa", "Coups de barre", "Le gaffeur"... Ce livre, résultat d'un travail de 15 années de Geneviève, secondée par son compagnon, sur Jean Malaquais vous passionnera à coup sûr.
Si vous n'avez encore rien lu de Jean Malaquais, vous courrez chez votre libraire pour vous procurer ses livres. Si votre budget est réduit, commencez par "Les javanais", encensé par Trotski à sa première parution, ce roman est la chronique de la vie des mineurs d'une dizaine de nationalités différentes travaillant, comme l'a fait Malaquais lui-même (parmi la quinzaine de boulots qu'il a exercés) dans une mine d'argent du Var dans les années 1920.
Les oeuvres de Jean Malaquais : romans, nouvelles, journaux, correspondances (avec Gide et avec Norman Mailer) sont en vente dans toutes les bonnes librairies. (Si vous tombez sur une mauvaise, commandez les).
J'ai commencé à lire "Malaquais Rebelle" de Geneviève Nakach, que l'auteure m'a offert gracieusement et qui paraîtra officiellement vers le 10 ou 12 novembre aux éditions du "Cherche midi".
Si vous avez déjà lu "Les javanais", "Planète sans visa", "Coups de barre", "Le gaffeur"... Ce livre, résultat d'un travail de 15 années de Geneviève, secondée par son compagnon, sur Jean Malaquais vous passionnera à coup sûr.
Si vous n'avez encore rien lu de Jean Malaquais, vous courrez chez votre libraire pour vous procurer ses livres. Si votre budget est réduit, commencez par "Les javanais", encensé par Trotski à sa première parution, ce roman est la chronique de la vie des mineurs d'une dizaine de nationalités différentes travaillant, comme l'a fait Malaquais lui-même (parmi la quinzaine de boulots qu'il a exercés) dans une mine d'argent du Var dans les années 1920.
Les oeuvres de Jean Malaquais : romans, nouvelles, journaux, correspondances (avec Gide et avec Norman Mailer) sont en vente dans toutes les bonnes librairies. (Si vous tombez sur une mauvaise, commandez les).
- Harpo
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- Inscription : 03 Jan 2004, 19:47
par Valiere » 13 Nov 2011, 10:01
« Trois amis »
roman de Mario Tobino
A l'occasion du 10 ème anniversaire de la mort du poète et écrivain italien, Mario Tobino, les éditions Plon sortent cette œuvre largement autobiographique, traduite par Patrick Vighetti.
Comme le titre l'indique, il s'agit de la rencontre et de la vie de trois amis.
Les trois se sont trouvés à la faculté de médecine au moment où Mussolini était au faîte de sa puissance.
Ils échangeront des regards, exprimeront par leur regard le refus de cette prison fasciste et ne se quitteront plus par la pensée.
Ils s'engageront dans la résistance, chacun à sa façon, l'un Campi, devenant leur héros et référence notamment après sa pendaison par les nazis avant la Libération.
C'est l'histoire d'une génération communiste, d'hommes de réflexion et d'action qui, serviteurs d'idéal connaîtront la clandestinité, le combat sous toutes ses formes et la désillusion au moment de
la fin si attendue du fascisme.
Ils avaient 20 ans sous Mussolini et une rage partagée de combattre ce régime honni, de participer au renouveau de l'Italie et de mettre fin à l'exploitation capitaliste.
Comme beaucoup de militants de la résistance, ils étaient communistes.
Le livre raconte avec force leur amitié, leur intégrité, la force de leur conviction commune et leurs échanges faites du silence d'une complicité intellectuelle et militante et de conversations sur le monde nouveau qu'il faut construire.
Mais après la Libération, au tout début des années 50, le stalinisme règne en maître absolu sur le parti communiste italien et gare aux contrevenants, à tous ceux qui critiquent la ligne officielle.
C'est un choix difficile pour Turri, héros de la résistance, député communiste que celui qu'il a choisi : rompre avec le parti communiste italien tout en restant fidèle au combat social et politique lié au mouvement ouvrier.
Toutes les portes se referment, ils deviennent des pestiférés et des « ennemis du peuple ».
Les deux amis, restés seuls après la mort de Campi partagent les mêmes doutes et les mêmes interrogations :
« Les mêmes masses qui naguère avaient acclamé le magnifique Duce, à présent chérissaient un marxisme léninisme trouble que nul ne saurait expliquer avec clarté, avec simplicité. »
Il y avait tant à faire, tant à construire à cette époque avec un mouvement de masse puissant, une situation politique favorable au changement....
Quel gâchi....
La force de ces hommes fut de ne pas « jeter le bébé avec l'eau sale du bain » donc de poursuivre sous une autre forme leur combat pour une humanité meilleure sans capituler devant le stalinisme ni passer de l'autre côté.
roman de Mario Tobino
A l'occasion du 10 ème anniversaire de la mort du poète et écrivain italien, Mario Tobino, les éditions Plon sortent cette œuvre largement autobiographique, traduite par Patrick Vighetti.
Comme le titre l'indique, il s'agit de la rencontre et de la vie de trois amis.
Les trois se sont trouvés à la faculté de médecine au moment où Mussolini était au faîte de sa puissance.
Ils échangeront des regards, exprimeront par leur regard le refus de cette prison fasciste et ne se quitteront plus par la pensée.
Ils s'engageront dans la résistance, chacun à sa façon, l'un Campi, devenant leur héros et référence notamment après sa pendaison par les nazis avant la Libération.
C'est l'histoire d'une génération communiste, d'hommes de réflexion et d'action qui, serviteurs d'idéal connaîtront la clandestinité, le combat sous toutes ses formes et la désillusion au moment de
la fin si attendue du fascisme.
Ils avaient 20 ans sous Mussolini et une rage partagée de combattre ce régime honni, de participer au renouveau de l'Italie et de mettre fin à l'exploitation capitaliste.
Comme beaucoup de militants de la résistance, ils étaient communistes.
Le livre raconte avec force leur amitié, leur intégrité, la force de leur conviction commune et leurs échanges faites du silence d'une complicité intellectuelle et militante et de conversations sur le monde nouveau qu'il faut construire.
Mais après la Libération, au tout début des années 50, le stalinisme règne en maître absolu sur le parti communiste italien et gare aux contrevenants, à tous ceux qui critiquent la ligne officielle.
C'est un choix difficile pour Turri, héros de la résistance, député communiste que celui qu'il a choisi : rompre avec le parti communiste italien tout en restant fidèle au combat social et politique lié au mouvement ouvrier.
Toutes les portes se referment, ils deviennent des pestiférés et des « ennemis du peuple ».
Les deux amis, restés seuls après la mort de Campi partagent les mêmes doutes et les mêmes interrogations :
« Les mêmes masses qui naguère avaient acclamé le magnifique Duce, à présent chérissaient un marxisme léninisme trouble que nul ne saurait expliquer avec clarté, avec simplicité. »
Il y avait tant à faire, tant à construire à cette époque avec un mouvement de masse puissant, une situation politique favorable au changement....
Quel gâchi....
La force de ces hommes fut de ne pas « jeter le bébé avec l'eau sale du bain » donc de poursuivre sous une autre forme leur combat pour une humanité meilleure sans capituler devant le stalinisme ni passer de l'autre côté.
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par bennie » 27 Nov 2011, 19:53
Je viens de terminer le court "Mains sur la nuque", du chilien Angel Parra.
On s'en doute, ça raconte le 11 septembre 1973. On se réveille avec le narrateur, le coup d'état a commencé, des types sont dans la chambre, nous insultent, nous frappent, nous emmènent au stade national...
On s'en doute, ça raconte le 11 septembre 1973. On se réveille avec le narrateur, le coup d'état a commencé, des types sont dans la chambre, nous insultent, nous frappent, nous emmènent au stade national...
- bennie
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par pedro » 07 Déc 2011, 18:21
J'ai lu le premier tome de fondation, d' Isaac Asimov, un grand classique de la science fiction et je dois avouer que je suis accro.
L'histoire, en gros : Au treizième millénaire, dans un vaste empire constitué de milliards de planètes, un savant, Hari Seldon, met au point une méthode, la psychohistoire, permettant de prévoir les grandes crises historiques. Ainsi, il prévoit que dans trois siècles, l'empire en question s'écroulera et qu'une ère de ténèbres s'installera, durant trente mille ans. Ils estime possible de réduire cette durée à mille ans, pour peu qu'on lui laisse mener à bien son projet : une fondation regroupant tout le savoir scientifique acquis durant des siècles.
Le cycle de Fondation est en cinq tomes, dont les trois premiers ont été écrits dans les années 50 et les deux derniers, dans les années 80.
Isaac Asimov n'était pas seulement écrivain mais un scientifique.
Ses livres, en tout cas la série Fondation, sont sûrement interdits de séjour dans les bibliothèques des écologistes, car, dans le monde qu'il décrit, tout marche à l'énergie atomique
L'histoire, en gros : Au treizième millénaire, dans un vaste empire constitué de milliards de planètes, un savant, Hari Seldon, met au point une méthode, la psychohistoire, permettant de prévoir les grandes crises historiques. Ainsi, il prévoit que dans trois siècles, l'empire en question s'écroulera et qu'une ère de ténèbres s'installera, durant trente mille ans. Ils estime possible de réduire cette durée à mille ans, pour peu qu'on lui laisse mener à bien son projet : une fondation regroupant tout le savoir scientifique acquis durant des siècles.
Le cycle de Fondation est en cinq tomes, dont les trois premiers ont été écrits dans les années 50 et les deux derniers, dans les années 80.
Isaac Asimov n'était pas seulement écrivain mais un scientifique.
Ses livres, en tout cas la série Fondation, sont sûrement interdits de séjour dans les bibliothèques des écologistes, car, dans le monde qu'il décrit, tout marche à l'énergie atomique
- pedro
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par eric17 » 08 Déc 2011, 00:13
je lis"Gardés à vue" de Matthieu Aron acheté 5 euros dans une brocante dimanche dernier,c'est fou toutes ces gardes à vue en france'900 000 gardes à vue par an,de la folie,les conditions,que faire dans ce genre de situations!! :lenine:
- eric17
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par jedi69 » 16 Déc 2011, 00:54
Wesh les amis !!!
Bien ou bien ?
Une traversée de l'inde à travers un jeune orphelin, l'exploitation, l'oppression des enfants n'est pas une vue de l'esprit ... c'est excellent ! Il y a tout le truc du jeux : "qui veut gagner des millions" qui est inintéressant ... en fin, ça prend pas trop de place ...
A+
Bien ou bien ?
Une traversée de l'inde à travers un jeune orphelin, l'exploitation, l'oppression des enfants n'est pas une vue de l'esprit ... c'est excellent ! Il y a tout le truc du jeux : "qui veut gagner des millions" qui est inintéressant ... en fin, ça prend pas trop de place ...
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- jedi69
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