Ca suit le vent, nauséabond, dominant...
On pourrait citer Romain Goupil, réalisateur de
Mourir à 30 ans montrant toute sa hargne de classe contre un représentant Gilet jaune.
L'article Le Monde, 2018, le chapeau :
Romain Goupil : « Cette collusion jaune-rouge-brun menace la démocratie »
Dans une tribune au « Monde », le cinéaste, qui a soutenu Emmanuel Macron lors de la campagne présidentielle, explique que l’ultra-droite et l’ultra-gauche unissent leur détestation de l’Etat au sein d’une dangereuse « lutte des casses ».
Ou
Ouest France :
« D’où tu sors ? Qui t’a élu ? » : le cinéaste Romain Goupil attaque le Gilet jaune Eric Drouet
Illégitimes, les représentants des Gilets jaunes ? C’est ce qu’a défendu avec véhémence le cinéaste Romain Goupil dans La Grande Explication sur LCI. Attaquant vivement Eric Drouet, l’un des représentants du mouvement reçu par François de Rugy au ministère en début de semaine, Romain Goupil l’a sommé de s’expliquer tout en l’empêchant de répondre.
Faut que les travailleurs restent à leur place selon ce monsieur.
Ce qui me rappelle une scène dans
Mourir à 30 ans dans laquelle un jeune ouvrier passe une espèce d'examen devant deux étudiants de la Ligue Communiste qui lui disent sur un ton suffisant ce qu'il faut lire.
Enki Bilal, grand auteur de BD,
Les phalanges de l'ordre noir,
Partie de chasse,
La croisière des oubliés, la trilogie Nikopol,
Le sommeil du monstre, se disait yougoslave après l'éclatement du pays.
Voilà qu'il a viré «effondrement de l'occident, islamisation», etc.