L'extrait cité est la critique de Jean Brissonnet du livre "mensonges freudiens" écrit par Jacques Bénesteau. Jean Brissonnet n'est pas coauteur du "livre noir".
Cependant Jacques VAN RILLAER fait parti du Comité de parrainage du site sur lequel cette critique a été publiée, il en est donc responsable, de même qu'il est responsable de sa propre apologie de ce livre, de son appartenance de 2003 à 2005 à l'INFC, organisation d'extrême droite, de ses conseils réitérés de lire ce livre, et de beaucoup d'autres choses encore.
évidemment, ça peut-être difficile à suivre vu le nombre de sources.
J'ai effectué cette enquête sur certains auteurs du "livre noir" pour démontrer que la critique la psychanalyse n'était nullement un serein débat dans la neutralité de la science, mais au contraire était l'expression d'une lutte politique pour la direction de la psychiatrie en France et dans le monde, par la presse, la littérature, les instances de régulation gouvernementales, les universités, la recherche, etc.
Tout cela n'est certes pas à la décharge des psychanalystes, mais à la charge des TCC.
Je voulais souligner que la psychanalyse et le comportementalisme étaient des courants fortement marqués politiquement, et qu'il n'était pas question de discuter de leur caractère scientifique sans s'intéresser à leur histoire et à ceux qui les soutiennent.
à présent, il reste encore un long travail d'enquête à faire, et bien sûr la synthèse. Mais ceux qui n'ont que "le livre noir" sous le bras, et à la limite, ceux qui n'ont fait que lire des livres de Freud, n'ont pas encore les moyens de tirer un bilan.
Du moins est-il nécessaire de ne pas faire abstraction des éléments que j'ai apportés sur l'appartenance politique des TCC.