
Je voulais apporter quelques précisions:
1 Hadji ne veux pas dire "saint" mais pélererin et partir en "hadj" veux dire partir en pélerinage. En Afrique du nord, ce qui se rapproche le mieux de la dénomination "saint" c'est plutôt "sidi" qui ne veux pas dire "saint" d'ailleurs mais "seigneur" ou "monsieur". D'où le nom du cid qui est dérivé de l'arabe sidi.
2 Abd-El-Kader nétait pas bédoin mais bérbere, avant d'être sultan, il était aguellid (élu par toutes les tribus qu'il représentait); ceci dit, les bédoins sont les tribus originaires de la péninsule arabique, souvent nomades ou semi-sédentaires vivants dans les pays du proche-orient.
3 Le terme kabyle, vient de kbayle, veut dire "tribu" (en arabe) et cette dénomination est plutôt récente car se sont les français qui appeleront ainsi les tribus de langue bérbere vivant dans le constantinois, que la légende, tissée par les colons, voudra faire croire à une animosité profonde envers les bérberes de langue arabe.
4 Abd-El-Kader n'était pas le seul chef bérbere à s'opposer aux armées françaises, je voudrai citer l'exemple d'une femme d'une telle bravoure qu'elle fut élue pas les kabyles à la magistrature suprême: Nana Soummer (nana est un qualificatif que l'on donne par respect à une femme d'un grand charisme) qui a combattut les troupes françaises dès 1831 (erreur elle est née en 1830 et a commencé le combat en 1850 Koceila).
1 Hadji ne veux pas dire "saint" mais pélererin et partir en "hadj" veux dire partir en pélerinage. En Afrique du nord, ce qui se rapproche le mieux de la dénomination "saint" c'est plutôt "sidi" qui ne veux pas dire "saint" d'ailleurs mais "seigneur" ou "monsieur". D'où le nom du cid qui est dérivé de l'arabe sidi.
2 Abd-El-Kader nétait pas bédoin mais bérbere, avant d'être sultan, il était aguellid (élu par toutes les tribus qu'il représentait); ceci dit, les bédoins sont les tribus originaires de la péninsule arabique, souvent nomades ou semi-sédentaires vivants dans les pays du proche-orient.
3 Le terme kabyle, vient de kbayle, veut dire "tribu" (en arabe) et cette dénomination est plutôt récente car se sont les français qui appeleront ainsi les tribus de langue bérbere vivant dans le constantinois, que la légende, tissée par les colons, voudra faire croire à une animosité profonde envers les bérberes de langue arabe.
4 Abd-El-Kader n'était pas le seul chef bérbere à s'opposer aux armées françaises, je voudrai citer l'exemple d'une femme d'une telle bravoure qu'elle fut élue pas les kabyles à la magistrature suprême: Nana Soummer (nana est un qualificatif que l'on donne par respect à une femme d'un grand charisme) qui a combattut les troupes françaises dès 1831 (erreur elle est née en 1830 et a commencé le combat en 1850 Koceila).