Des luttes sociétales déchirent maintes familles de petite bourgeoisie urbaine et instruite.
Foin des débats historiques désormais heureusement dépassés sur l'historicité de Noël. la réalité historique du petit Jésus mentionné par le Coran et approuvé par Mordillat c'est dire si l'affaire est sérieuse.
Oublié aussi ces interrogations sur le sapin illuminé symbole des barbares germains affolés par les longues nuits froides d'hiver quand germaient dans leurs têtes de brutes des forêts des idées exaltées plus tard par des cuivres wagnériens. Les conséquences au XXième siécle furent des plus funestes.
Quand au Père Noël ignorons que c'est l'apport à la culture universelle d'une grande multi-nationale de l'eau sucrée, pétillante à la couleur caramel brûlé.
Que manger alors, en famille ou entre amis à ces prochaines occasions?
Bannir le chapon, châtré dans son jeune âge et le foie malade d'une oie gavée c'est l'évidence.
De même pour la biche, le chevreuil, l'autruche et le marcassin!
Passe le homard à condition de l'estourbir par surprise avant de l'ébouillanter.
L'escargot ne peut guère convenir à une tablée accueillant londoniens, rhénans ou autres peu probables suédois.
Perso j'ai un faible pour le boeuf ficelle, c'est pas trop réveillon mais ça peut permettre un large front unique majoritaire des carnivores.
Comme disent d'autres il s'agit de la "possibilité-nécéssité historique de l'hégémonie culturelle-alimentaire d'un bloc progressiste-populaire" (grazie mile Antonio).