ça y est il a eu lieu le combat du siècle.
Hier soir deux pointures de la politique nationale se sont affrontés pour le pire ou le meilleur de notre avenir.
Le combat de l'aigle et du lion était annoncé on eut la parade comme à la foire du coq, celui qui chante les pieds dans la merde et du dindon qui finit à la broche pour le délice de son maître.
Qu'il faille sortir du nucléaire ou virer tout étranger qui au fil des années s'acharne à demeurer crépu et incapable de se signer dans le bon sens, c'est clair. Quand au reste ?
Pour l'ouvrier le silence assourdissant sur son avenir et celui de son exploiteur et maître le Capital ne peut qu'éveiller sa méfiance.
Les actionnaires repus ont pu aller au lit tranquille c'est pas ces deux lutteurs de foire qui vont leur provoquer des cauchemars.