Certaines filles (ou même des hommes) sont contraints de subir des rapports avilissants et dégradants avec des animaux pour gagner de l'argent, ou en échange d'un peu de drogue..........
Un trés bon article parut sur le site suivant parle de jeunes africaines à qui l'on avait fait miroiter la promesse d'un beau mariage en Europe se font piéger et se retrouvent à tourner des films X avec des chiens ou d'autres animaux pour partenaires!!!
Au delà de la morale, ce genre de relations est dangereuse pour la victime: transmission de maladies, déterioration d'organes génitaux ou autre et traumatismes pouvant conduire au suicide..........
a écrit :Société - Pan Afrique
Les nouvelles formes de pornographie africaine
Les pratiques extrêmes
Les filières de la pornographie africaine gagnent ses tristes lettres de noblesse en France et en Europe. Spécialisées de plus en plus dans les pratiques extrêmes, zoophilie, scatologie, urologie, elles semblent ne plus avoir de limite. Plongée au cœur du phénomène.
Piégées par des annonces juteuses de mariage sur des sites Internet, dans des tchats, ou par les pages « Correspondances » de certains magazines, de nombreuses jeunes filles africaines se retrouvent dans des réseaux de pornographie en Occident. Mais souvent, le corps de ces jeunes femmes crédules, impuissantes, devient un jouet obligé d’accepter les pires scènes immondes donnant libre cours à la perversion de l’homme. Des scènes, avec des animaux, des excréments, des pointes acérées et autre cire de bougie qui reviennent à 4 500 euros l’heure (3 millions de FCFA). Jetées innocentes dans ce monde, certaines ne veulent plus en sortir. Par appât du gain. Ces K7 dont elles sont les « héroïnes », ont leurs clientèles, leurs lieux de distribution et un marché qui prospère en douce.
"Chiennes de Blacks"
Eté 2001. Il est un peu plus de 23 h, le RER A s’arrête à son terminus : Marne-la-Vallée. Une banlieue au Sud-Est de la capitale française. Les voyageurs, fatigués par trente, soixante voire quatre-vingt-dix minutes de trajet en sortent, s’éparpillent. Dans le lot, un groupe de quatre femmes, dans lequel se trouve une assistante sociale venue incognito et dont nous tairons l’identité. Elles avancent de quelques mètres, atteignent l’extérieur de la gare. Un coup de fil dans une cabine d’à côté et voilà qu’en moins de dix minutes, deux Mercedes arrivent. Après dix minutes de route, elles stationnent devant une grande maison isolée de toute habitation. Un Blanc sexagénaire attend les filles, en compagnie de sa femme, blanche elle aussi mais un peu moins âgée. Au fond, les bords d’un cours de tennis se dévoilent. Dans le jardin bordant une large piscine quiète, neuf autres filles, toutes africaines, discutent joyeusement avec six Africains bien musclés. Tout le monde est introduit par le couple, dans une très grande salle au sous-sol, aux murs couverts d’un tissu épais de couleur bordeaux. A droite, un bar américain, sur lequel traînent à volonté des bouteilles de champagne, de Whiskies, de scotch et autre Clan Campbell, qui côtoient des petits fours au saumon. Le sol de la salle est couvert à moitié d’un épais matelas de la même couleur. Un caméraman et ses deux techniciens pénètrent à leur tour dans la pièce, font leurs branchements, vérifient les éclairages, le son, et un dresseur, après un prompt claquement de mains du propriétaire des locaux, apparaît. En compagnie de six bergers allemands. Ainsi commence le tournage d’un film de zoophilie tourné avec des Africains. Film qui a été vendu dans les magasins spécialisés français et européens sous le titre de Chiennes de Blacks, sorti en été 2001, et depuis en rupture de stock.
Zoophilie
L’homme se gargarise la bouche avec de l’alcool, le projette dans les yeux de ses chiens : cette technique aurait pour but de rendre nerveux et agressifs les bestiaux lors des rapports sexuels. Pendant ce temps, les douze filles et six hommes se déshabillent et commencent les préliminaires. Le dresseur excite les chiens, et lorsque leur membre devient tendu, les filles leur font des fellations, eux leur font des cunnilingus. Puis, l’acte sexuel avec les chiens commence. Parfois, un malabar africain est appelé par le maître de céans, pour s’introduire dans un autre orifice sexuel de la fille, pendant que le chien se sert d’un autre. Ces coïts avec des animaux rapporteraient à l’heure, 4 500 euros (3 millions de FCFA) aux expertes et cette même somme pour la journée aux novices.
De temps en temps, le caméraman zoome, filme les séquences importantes, demande aux acteurs de reprendre certaines scènes clés qu’il n’aurait pas bien captées. Pour bien exploiter les quatre heures pour lesquelles les filles devront tourner, la maîtresse de maison les remaquille de temps en temps, leur change de tenue, de perruques, de lentilles de couleur et elles reviennent devant les objectifs, puis se remettent au travail. Le but de ces changements d’aspects (de look) est de chercher à faire croire aux spectateurs, que ce sont de nouvelles actrices car, pour les 4 h de rush, au moins dix K7 seront obtenues et commercialisées, rappelle un tenant de sexe shop à Paris. A certains moments, les membres sexuels des chiens se gonflent, et il est impossible pour eux de se retirer. C’est une scène qui serait prisée dans le milieu, surtout quand on essaie de tirer sur les deux corps pour les séparer, ce qui fait encore plus mal à l’actrice. Pendant ces prises, le coordonnateur de tout ça, le sexagénaire, qui en fait son fonds de commerce, lance aux filles, des paroles avilissantes et obscènes : « Salope, suce lui les loques », « Pétasse, fais-toi bien cogner par mon berger allemand », ... Vers la fin du tournage, sa femme apporte quelques chiots qu’elle oblige à sucer les seins d’une des filles. La douleur ressentie par celle-ci à chaque succion, est pour l’autre, une source de plaisir sadique.