EDF-GDF

Message par Cimarron » 10 Juin 2004, 12:32

Qu'ils sont méchants les travailleurs d'EDF...

Si quelqu'un veut rire un peu, aller lire le premier article en première page de "Les Echos" de hier... La première phrase est du style, "500'000 travailleurs maltraités par les coupures de courant". Après les formules "prise d'otage", "abus des grévistes", "harcèlement", la bourgeoisie a trouvé une autre!

A part ca, il y en a vraiment mare de la CGT. Pendant que le Thibault nous balance ses discours à la noix de "journée d'actions" pour la protection de la Sécu, la CGT ne veut pas unir le mecontetement des employés d'EDF avec la défense de la Sécu. Au lieu de développé un pole de contre-attaque autour d'EDF les syndicats continuent avec leur barratins.

Il est grand temps que les travailleurs arretent de suivre ces rouages de l'Etat Francais. Selon Les Echos, les coupures d'électricité pourraient etre faites par des ouvriers que ont dépassé les limites de la CGT et que celle-ci peut pas les arreter donc révendique les actions... (si c'est vrai, un exemple a suivre).
Cimarron
 
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Message par emman » 10 Juin 2004, 12:44

(Cimarron @ jeudi 10 juin 2004 à 14:32 a écrit : Qu'ils sont méchants les travailleurs d'EDF...

Si quelqu'un veut rire un peu, aller lire le premier article en première page de "Les Echos" de hier... La première phrase est du style, "500'000 travailleurs maltraités par les coupures de courant". Après les formules "prise d'otage", "abus des grévistes", "harcèlement", la bourgeoisie a trouvé une autre!

A part ca, il y en a vraiment mare de la CGT. Pendant que le Thibault nous balance ses discours à la noix de "journée d'actions" pour la protection de la Sécu, la CGT ne veut pas unir le mecontetement des employés d'EDF avec la défense de la Sécu. Au lieu de développé un pole de contre-attaque autour d'EDF les syndicats continuent avec leur barratins.

Il est grand temps que les travailleurs arretent de suivre ces rouages de l'Etat Francais. Selon Les Echos, les coupures d'électricité pourraient etre faites par des ouvriers que ont dépassé les limites de la CGT et que celle-ci peut pas les arreter donc révendique les actions... (si c'est vrai, un exemple a suivre).

Le tract de la CGT, a l'appel trés mou, pour le 15 juin, fait malgré tout la liaison entre EDF-GDF et la sécu (je ne l'ai plus sous la main, désolé...).

Mais l'appel était tellement peu motivant, que alors que l'on avait plus ou moins decidé de faire une journée de grève dans ma boite ce jour là, finalement à la lecture du texte le doute s'est grandement installé dans le tête de mes camarades de section... On se dit quand même que l'on se mettra peut-être en grève pour être avec EDF-GDF dans la rue.
emman
 
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Message par boispikeur » 10 Juin 2004, 13:10


Ce tract?

a écrit :Le 15 juin 2004,
amplifions l’action pour la Sécurité sociale


Le 5 juin 2004, les salariés et les assurés sociaux ont manifesté leur volonté de voir préserver et renforcer leur système solidaire de Sécurité sociale.
Ils ont exprimé leur refus de toute étatisation ou privatisation du système. Ils ont aussi, à cette occasion, rejeté la logique financière du projet de loi du ministre de la Santé.
L’objectif de ce projet est de réaliser une économie de 16 milliards d’euros.

Pour l’essentiel, l’effort financier est demandé aux assurés sociaux. Le régime de Sécurité sociale, les principes fondamentaux de solidarité, d’égalité de droits d’accès aux soins, sont remis en cause par :
· des contributions et des contrôles renforcés pour les assurés sociaux :
1. une contribution obligatoire à chaque consultation ou acte (1 euro) ;
2. l’obligation, à partir de 16 ans, de déclarer un médecin traitant à l’assurance maladie. En l’absence de déclaration, les consultations subiraient une majoration à charge de l’assuré. Il en serait de même pour une consultation directe chez le spécialiste ;
3. des protocoles de soins pour les affections de longue durée (prise en charge à 100 %) avec possibilité de prise en charge partielle de l’assurance en cas de non-respect ;
4. les arrêts de travail seraient plus contrôlés sur la base de moyennes effectuées par le médecin traitant avec récupération des sommes indûment perçues par les assurés dans certaines conditions ;
5. l’augmentation du forfait hospitalier de 1 euro par an jusqu’en 2007 ;
· un financement qui alourdit les charges pour les salariés et sanctionnent les retraités :
1. l’élargissement de l’assiette de la Csg pour les actifs, se traduisant par une augmentation de leur contribution ;
2. une augmentation de 0,4 %  de la Csg pour les retraités.
Ces mesures de financement sont profondément injustes. Elles auront des conséquences négatives sur les niveaux de prise en charge et pénaliseront les populations les plus malades et les plus démunies.
Dans ces conditions, l’aide à la complémentaire proposée par le gouvernement, ne règle en rien les effets négatifs du projet.
Le ministre propose en effet de mettre en place une aide modulable suivant les ressources. Une moyenne de 150 euros par an pour les personnes ayant un revenu qui dépasse de 15 % le minimum requis pour la Couverture maladie universelle (Cmu). Le ministre ne précise pas qui finance cette aide. De plus, c’est en partie un effet d’annonce dès lors qu’il existe déjà une aide de 115 euros environ pour les revenus qui dépassent de 10 % le minimum requis pour la Cmu. Enfin, sachant qu’une couverture complémentaire coûte en moyenne 45 euros par mois, cette aide n’aurait un caractère efficace en terme d’accès aux soins, qu’en complément d’une revalorisation de la couverture du régime général.
Pour une assurance maladie solidaire, progressiste et financée par les salariés et les entreprises, la réforme doit se fixer comme un objectif d’organiser le système de soins pour les décennies à venir, notamment pour :
· le relèvement de la prise en charge du régime général, notamment en dentaire, optique, appareillage. Le maintien de la prise en charge à 100 % pour les affections de longue durée ;
· une véritable politique de santé publique et l’amélioration de l’hôpital public ;
· un financement juste, solidaire favorable à l’emploi ;
· la gestion du régime général par les représentants des salariés par l’élection des administrateurs.

Dans ces circonstances, la Cgt appelle ses organisations et les salariés à amplifier leur mobilisation afin de créer les conditions de rassemblements plus larges.
Le 15 juin 2004, veille du Conseil des ministres, la Cgt propose de construire, dans l’unité la plus large, une nouvelle journée d’actions avec débats, arrêts de travail et manifestations, décidée avec les salariés.
boispikeur
 
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Message par Clash » 11 Juin 2004, 10:46

diverses infos sur EDF :

Des syndicalistes de la CGT, SUD, FO, CFDT, CFTC et UNSA ont lancé un appel à la "grève nationale reconductible jusqu’au retrait du projet de loi" sur le changement de statut d’EDF-GDF, signé à ce jour par plus de 1.500 agents de toutes catégories, ont indiqué mercredi ses initiateurs. L’appel lancé il y a une dizaine de jours sur internet (http://appelgreve.edfgdf.site.voila.fr) affirme que "seule la grève unitaire, totale et prolongée des établissements permettra d’imposer le retrait définitif du projet de loi et l’arrêt du processus de libéralisation" de l’Energie. Pour les responsables de cet appel, "la privatisation annoncée est une absurdité technique, économique et sociale" dont les conséquences sont notamment : "perte de contrôle politique sur les choix énergétiques, affaiblissement des missions de service public, sous-investissements sur le parc nucléaire et les réseaux, hausse et volatilité des prix, mise en place d’oligopoles privés". AFP du 10 juin


reponse du l'UFICT CGT (syndicat des cadres CGT) aux attaques sur les coupures de lundi :

Le syndicat UFICT (ingénieurs, cadres, techniciens) des services centraux d’EDF a répondu mardi à la condamnation par EDF des coupures d’électricité sur le réseau SNCF, affirmant qu’"Electricité de France, ce sont avant tout ses agents", mobilisés pour le "service public".Nous dénions le droit aux quelques membres de la direction de se présenter comme EDF et de s’exprimer au nom de l’établissement public, eux qui participent activement aux projets de spoliation de la Nation, en transformant l’EPIC en société anonyme, créant ainsi les conditions objectives d’une privatisation à terme", a ajouté l’UFICT. Quant au "sens des responsabilités des agents", ce syndicat "invite les usagers du service public à interroger ces quelques membres de la direction sur les milliards d’euros du service public dépensés en vain à l’international au détriment du service public". AFP du 9 juin

Des sites EDF pour trouver des infos sur les luttes actuelles :
http://objectifegf.free.fr/acceuil1.html

http://www.energiepublique.org/
http://www.globenet.org/aitec/reg/
http://hyp.lescourses.info/index.php?op=edito

Clash
 
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Message par alex » 16 Juin 2004, 14:32

ENERGIE
Bulletin des militant-e-s et des sympathisant-e-s de la Ligue Communiste Révolutionnaire d’EDF-GDF et des ENN
N°21 – 14 juin 2004 Supplément à Rouge n°2068
LA PRIVATISATION
NE PASSERA PAS !
La semaine est décisive. En engageant, mardi 15 juin, le débat parlementaire sur la loi
de privatisation d’EDF et de GDF, le gouvernement a décidé d’affronter le mouvement
social. C’est le choix politique de la brutalité et du mépris. Les urnes l’ont pourtant
définitivement privé de toute légitimité. Chaque jour, le mouvement de grève ne cesse de
s’élargir et de se durcir. L’épreuve de force est engagée.
Le 7 juin, la coupure d’alimentation électrique
sur les gares parisiennes a fait l’effet d’un
détonateur. Elle a inauguré un nouvel élan
dans la lutte. Depuis, chaque jour est rythmé par la
multiplication des actions de plus en plus
déterminées. Un véritable tournant pour les formes
de la mobilisation. Le changement de ton du
gouvernement atteste aussi de l’évolution. Il sent
maintenant la menace. Après la stratégie du
mensonge où le gouvernement tentait de rassurer
et d’embobiner son monde avec des sourires, voilà
maintenant le temps des menaces et des insultes,
réflexes de la bonne vieille droite. Subitement, les
agents du service public, cibles hier de la
pédagogie du ministre Sarkozy, sont devenus
« une minorité de casseurs » et de « braillards ».
Le mouvement, lassé d’attendre une
impulsion d’en haut qui tardait à venir, a pris
ses affaires en main.
La lutte partout !
L’exigence du retrait du projet de loi se décline
maintenant sous toutes les formes d’interventions
possibles et imaginables. Les coupures se sont
généralisées. Ciblées, suffisamment efficaces, mais
aussi maîtrisées et pédagogiques pour ne pas
alimenter le camp d’en face et desservir la grève.
La liste est trop longue pour tout citer, de
Powernext, la bourse de l’électricité à Paris, à
l’aéroport de Tarbes, l’usine UPSA près d’Agen, la
cité administrative et le palais des congrès de
Bordeaux, l’alimentation SNCF en Normandie, le
quartier de la Part Dieu à Lyon, péages
d’autoroutes, dans plusieurs départements,
éclairage public, préfectures, mairies…
Les passages des tarifs particuliers en heures
creuses sont aussi très prisés. En interne, la cote
de popularité revient aux opérations
« dératisation » (emprunt des billes de souris
d’ordinateurs), au blocage de véhicules dans les
centres EDF ou sur la place publique avec
dégonflage des pneus, emprunt des clefs et parfois
des batteries. Ailleurs les véhicules bleus sont
utilisés pour manifester et faire des opérations
escargots. Le convoi de l’airbus A380 bloqué dans
le Gers. Parfois, un député UMP pro-privatisation,
recevant une petite leçon pédagogique, est
« débranché ». Pour montrer à Jack Lang que leurs
coupures n’étaient ni « dangereuses » ni
« inutiles », les grévistes ont coupé sa permanence
de député. Le gaz est aussi concerné avec le
blocage des centres de stockage comme le plus
important à Chemery (Loir et Cher) ou le terminal
de Montoire.
Ce sont aussi, fierté des grévistes, plusieurs
centaines d’usagers coupés pour cause de
pauvreté qui ont été rétablis à travers le pays.
Dès lundi 14 juin au matin, l’action de coupure
du poste de transport sur la centrale de Saint-Alban
a donné le signe d’une nouvelle montée en
puissance.
Et ce ne sont pas les dispositifs policiers
déployés partout qui empêcheront la détermination
des grévistes.
L
Avis de coupures !
500 000 usagers de la SNCF « pris en otages ». « Sévice public » fulmine Le Parisien, à la une sur
toute la largeur. La coupure de St Lazare du 7 juin, a déclenché une véritable campagne anti-grève. Les
ministres invectivent et menacent les auteurs de ces « actes illégaux ». La SNCF et EDF (RTE) ont
déposé plainte. Jack Lang apporte sa voix à ce concert réactionnaire et répressif.
Une fois de plus, tous ces champions en privatisation ne sont sensibles au sort des usagers que
lorsque la grève conteste leur politique. Le seul droit qu’ils tolèrent est celui de la grève minimum ; perte
du salaire sans pouvoir produire le moindre effet et surtout pas celui de les gêner. Toute grève bouscule
l’ordre des choses. Celle du service public est d’autant plus perturbante qu’elle affecte toujours
directement une activité, par nature, essentielle à la vie quotidienne. Nécessairement politique, elle
interpelle toute la société sur l’utilité sociale du service public et sur son devenir.
On comprend évidemment pourquoi ces protecteurs occasionnels des usagers-victimes sont
beaucoup moins sensibles aux milliers de foyers, 1500 pour la seule région parisienne, qui chaque jour
sont délibérément coupés pour cause de pauvreté. Coupures permanentes, celles-ci, et à domicile qui
pour les familles rendent insupportables les difficultés à accomplir les gestes les plus simples de la vie
quotidienne. Insensibles aux coupures du libéralisme où, comme en Espagne, les patrons privés
n’hésitent pas une seconde à couper des quartiers entiers pour exporter l’électricité quand les prix
explosent à la bourse.
Ils choisissent leurs coupures, celles de leur classe. Sont légales celles qui servent les profits,
illégales celles de la grève pour la défense de l’intérêt général et des droits sociaux.
Ce bouillonnement sur le terrain et le tous
ensemble du mardi 15 juin, jour de l’ouverture du
débat parlementaire, doit conduire au dépassement
d’un nouveau palier dans le rapport de force.
Grève reconductible !
Les décisions d’organiser la grève
reconductible se multiplient. C’est par exemple le
cas chez les chercheurs d’EDF. Autre signe
révélateur de l’état d’esprit, un appel unitaire « pour
la grève nationale reconductible jusqu’au retrait du
projet de loi », lancé par des syndicalistes de toutes
appartenances, a recueilli en quelques jours plus
de 1600 signatures à travers le pays.
De fait, le mouvement doit maintenant imposer
son propre rythme, préserver l’unité dans la lutte et
s’ancrer dans la grève reconductible et les
occupations d’installations.
On sait qu’au sommet, la CFDT n’a pas hésité
à condamner la coupure sur la SNCF à Paris. Les
manoeuvres de toutes sortes sont ainsi possibles
pour essayer de torpiller le mouvement. Il ne faut
pas non plus oublier la vigilance nécessaire et la
solidarité sans faille qui s’organise face aux
éventuelles volontés répressives du gouvernement.
Les agents d’EDF et de GDF sont en
train de construire l’un des plus puissants
mouvements de leur histoire.
Cet engagement décisif et historique
pourra être gagnant si toutes les forces
disponibles bloquent partout l’activité et
coupent définitivement Sarkozy dans son
élan.
La privatisation d’EDF-GDF
ne passera pas !
Tous ensemble,
Gagner, c’est possible !
Je souhaite prendre contact avec la LCR
NOM …………………………..…. . PRENOM …………………………………………………..
ADRESSE ………………………………………………………………………………………
Téléphone :…………………………… Email ………………………………………….….
Pour nous contacter : LCR EDF-GDF 2, rue Richard Lenoir 93100 Montreuil
E-mail : lcr.edfgdf@laposte.net, site internet : http//www.lcr-rouge.org (imprimerie spéciale)

alex
 
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Message par boispikeur » 17 Juin 2004, 19:34

Une dépêche

a écrit :PARIS (AP) - Les gaziers et les électriciens ont poursuivi mercredi
leurs actions coup de poing, provoquant notamment une coupure de courant spectaculaire dans une partie de Paris en milieu d'après-midi, une action qui a touché l'Elysée, la Tour Eiffel, et plusieurs ministères.
La Fédération nationale des mines et de l'énergie-CGT (FNME-CGT) a revendiqué cette coupure dans la capitale, qui s'inscrit «dans les coupures ciblées et de courte durée» menées par les agents pour obtenir le retrait du projet de changement de statut d'EDF et de GDF, actuellement discuté à l'Assemblée nationale.
La coupure, d'une quinzaine de minutes, a touché au même moment plusieurs secteurs des 7e, 8e et 16e arrondissements (ouest) de Paris, affectant notamment le palais de l'Elysée et l'avenue des Champs-Elysées, au moins partiellement. Plusieurs magasins de l'avenue, notamment la FNAC, ont été obligés d'évacuer leurs clients.
La Tour Eiffel a également été touchée, sans aucune conséquence pour les touristes présents selon la direction du monument, le groupe électrogène de sécurité ayant pris immédiatement le relais.
Selon la direction d'EDF, qui parle bien de «coupure sauvage» et non d'un problème technique, ce sont trois postes de distribution des 7e, 8e, et 16e arrondissements qui ont été visés par cette action intervenue peu après 15h. Selon EDF, 52.000 clients ont été touchés par cette coupure.

Outre la Tour Eiffel, le palais de l'Elysée et l'avenue des Champs-Elysées, ce sont aussi le siège de l'UMP, le ministère de l'Intérieur, celui de l'Agriculture, de l'Emploi et de la Solidarité, ainsi que de nombreux immeubles de bureaux -dont ceux de l'Associated Press- et des particuliers qui ont été brièvement privés de courant.
A l'Hôtel Matignon, bien que situé à proximité des ministères de l'Agriculture et de l'Emploi, on affirmait en revanche, mercredi en fin d'après-midi, ne pas avoir été touché.
Cette action n'a provoqué aucune perturbation dans le métro, ni à la SNCF selon les directions des deux entreprises.
A la RATP, on soulignait d'ailleurs que si les agents d'EDF peuvent  «techniquement» couper le courant dans le métro, la régie est en mesure
d'assurer par la mise en route de «moyens d'urgence», notamment des groupes électrogènes, «la sécurité optimale des voyageurs et le service».
Par ailleurs, mercredi en fin d'après-midi, plusieurs dizaines de
gaziers et d'électriciens occupaient toujours un poste d'alimentation électrique situé à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) desservant une partie du nord de Paris et de sa proche banlieue.
Les manifestants sont sur les lieux depuis mardi en fin d'après-midi, une occupation toutefois sans rapport avec la coupure intervenue dans
la capitale.
D'autres actions «coup de poing» ont eu lieu en France, avec notamment des coupures de courant à Biarritz, et dans une zone industrielle près de Montbéliard. Des électriciens ont aussi privé de courant, mercredi matin, une partie du centre ville de Saint-Etienne où est située une radio locale au micro de laquelle leur directeur de centre EDF devait s'exprimer. AP

=D> :hinhin:
J'attends avec impatience une action de ce type sur la Défense!
boispikeur
 
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Message par Barikad » 18 Juin 2004, 00:05

La Defense, le port de Genevilliers, les zones industrielles, Orly.... s'attaquer aux centres de productions et d'echange, voilà ce qu'il faudrait faire. Sans cesser les actyions symboliques, notemment contre les politicards de droites et de gauches (allez ... Jack Lang à la bougie, ce serait sympa)
Barikad
 
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