Jose Bove ou le Grand Bond en arrière

Et lutte contre les pseudo-sciences et les obscurantismes

Message par com_71 » 15 Mai 2008, 22:51

(jeug @ jeudi 15 mai 2008 à 23:00 a écrit :
je me sens en phase avec cet article.

Moi pas.

Non que je fasse confiance à J. Bové, mais je pense que la discussion d'idées, la polémique, doit être menée avec une rigueur scrupuleuse. Toujours citer des extraits assez longs pour ne pas risquer de travestir par des coupures la pensée que l'on veut critiquer, citer ses sources, vérifier soigneusement les citations.

Prenons un passage de l'article du blog de Txi :

a écrit :Évidemment, si l’injonction à la décroissance, assortie des slogans « Merde au pouvoir d’achat » peut  être vue d’un bon œil par les représentants du MEDEF et les partisans de coupes sombres dans les budgets sociaux (« laissons tranquilles les pauvres, on dépense toujours trop pour eux ! »)


Les guillemets indiquent une citation, elle doit être exacte. Donc il est indiqué ici que "Merde au pouvoir d'achat" et «laissons tranquilles les pauvres, on dépense toujours trop pour eux !» sont deux formules qui ont été écrites ou prononcées telles quelles. C'est déjà peu vraisemblable. Ensuite à qui Txi les attribue-t-il ? A Bové, au Medef ou aux décroissants ? C'est dans le flou...

Bref, ce n'est pas de la meilleure polémique.
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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Message par Wapi » 15 Mai 2008, 22:56

(jeug @ jeudi 15 mai 2008 à 22:00 a écrit : Pour le coup, Wapi et Abounouwas, je ne comprends pas le sens de vos interventions.

Tu sais qui c'est Pol-Pot ?

Tu ne vois pas la différence avec José Bové ?

Je trouve que ça va bien deux minutes ce genre de qualificatifs sur Bové. C'est ridicule.
Wapi
 
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Message par canardos » 15 Mai 2008, 22:58

sur "merde au pouvoir d'achat" le titre de la une du journal "ladécroissance" il refletaittres bien le contenu de l'article et d'autres titres celebres de ce journal, comme "devenons pauvres", meme si c'était dans le contexte des débats sur la défense du pouvoir d'achat apres les attaques de sarkozy et du patronat

et je ne parle meme pas des dessins répugnants qui illustraient ces articles au titre racoleur.

pour Bové, je vois si je peux traiter son discours par OCR
canardos
 
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Message par jeug » 15 Mai 2008, 22:59

a écrit :Les guillemets indiquent une citation, elle doit être exacte.

Perso, je ne le ressens pas comme ça.
Je trouve justement l'article assez lisible (je veux dire non-ambigu).
Les guillemets n'expriment pas tjs une citation. Ici, il est évident que personne n'a dit ça, tu le dis toi-même. Donc ça ne trompe personne.
Bien sûr, il y a qq raccourcis, mais je les trouve lisibles, et puis ce n'est pas la règle mais l'exception.
Peut-être que je ne vois pas tout.
jeug
 
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Message par jeug » 15 Mai 2008, 23:04

(Wapi @ jeudi 15 mai 2008 à 23:56 a écrit : Tu sais qui c'est Pol-Pot ?

Je ne vais pas défendre le qualificatif Pol-Pot, si toute ta critique se borne à ça, on est d'accord.
Mais je commence aussi à savoir qui est José Bové.
Un vrai danger ces idées-là.
jeug
 
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Message par canardos » 15 Mai 2008, 23:05

wapi j'ai dit que ces gens étaient des petits polpot verts au moins en pensée parce qu'ils parlent bien de vider les villes et de revenir aux méthodes de cultures du 19ieme siecle ce qui signifierait la mort de milliards d'individus si c'était vraiment mis en oeuvre


mais je t'accorde qu'il ne s'agit que de reveries de polpot de salon....et j'espere bien que l'immense majorité serait moralement incapable de passer aux actes...heureusement pour eux...

ça n'en fait pas moins souvent de fieffés réactionnaires qui au nom de l'empreinte écologique defendent le maintien de la misere la plus noire dans les pays sous developpés avec la surmortalité qui va avec...

et excuse moi, Polpot était un athentique assassin, mais les assassins de salons m'indisposent aussi
canardos
 
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Message par abounouwas » 15 Mai 2008, 23:11

a écrit :franchement, wapi et abounouwas, txi argumente. il montre comment dans son texte "en finir avec l'idéologie du progres" Bové se revendique ouvertement de Ivan Illich, Serge Latouche, François Partant, et Jacques Ellul. les théoriciens de la décroissance, ceux qui s'opposent au developement des pays pauvres,


Je ne vais pas me faire l'avocat de la décroissance, certes non, en revanche ce que je remets en cause c'est la caricature qui en est faite. Car moi aussi je peux faire des "copier-coller" (je prends ce qui m'arrange, c'est plus simple, et je ne cite pas non plus) et cela donnerait ceci:

a écrit :Le développement comme la mondialisation sont des "machines" a affamer les peuples. Avant les années 70, en Afrique, les populations disposaient de peu de biens manufacturés, mais personne, en temps normal, ne mourait de faim. Après 50 années de développement, c'est chose faite. Mieux, en Argentine, pays traditionnel d'élevage bovin, avant l'offensive développementiste des années 80, on gaspillait inconsidérément la viande de boeuf, abandonnant les bas morceaux. Aujourd'hui, les gens pillent les supermarchés pour survivre et les fonds marins, exploités sans vergogne par les flottes étrangères entre 85 et 95 pour accroître des exportations sans grand profit pour la population, ne peuvent plus constituer un recours.
"Sous le masque de la croissance se dissimule, en fait, la création de la pénurie".

pour Serge Latouche. On est loin du "Barbie du Larzac"


a écrit :Quelle idéologie « antilibérale » Bové défend-il donc ? Il dénonce dans ce texte l’idéologie progressiste « qui a été l’idéologie dominante , construite à la fois par les libéraux et les marxistes, constituant la face et le revers d’une même médaille ». « Ce qui fait qu’une nouvelle pensée (sic) existe aujourd’hui c’est que l’on a compris que ces systèmes étaient rigoureusement identiques, basés sur le scientisme, sur la logique de la production et du marché et sur la glorification de l’état  ou de ses institutions ».


a écrit :c'est pas profondement réactionnaire ça?


si, mais un réactionnaire n'est pas un génocidaire.

a écrit :et wapi, quand des gens veulent refuser aux pauvres le droit à l'école au logement aux soins médicaux, à l'eau potable, c'est pas des petits pol pot verts au moins en pensée?


voilà tout le problème, tu supposes des pensées sans en justifier la mesure, ce n'est pas scientifique. Au mieux tu infères, au pire tu calomnies. Que Bové ait explicitement tenu ces propos - même en pensée (Canardos l'extralucide me contredira peut-être), j'en doute.

Je répète, il n'est pas question pour moi de prendre parti pour la décroissance, mais bien de regretter qu'une critique soit entachée par des considérations qui frisent la partialité (voir les multiples échantillons relevés).

Exemple: L'éloge de la pauvreté

a écrit :Sur la quatrième de couverture est résumé la philosophie profonde de la décroissance. On peut y lire notamment « Pourquoi ne pas laisser les pauvres tranquilles ? » . Que les pauvres restent pauvres…

n'y a-t-il rien d'autre d'écrit sur la 4è de couv'?

si, sur Amazon

a écrit :Quatrième de couverture
L'ère du développement fait suite à celle de la colonisation, tout comme l'ère de la mondialisation prend le relais de celle du développement. L'occidentalisation du monde et l'uniformisation planétaire se renforcent avec l'accumulation sans limite du capital sous la domination toujours accrue des firmes transnationales. La guerre économique et les inégalités ne se déploient plus seulement entre les peuples mais aussi au sein des espaces nationaux. La destruction de l'environnement est universelle.

Il n'y a d'avenir écologique, culturel et politique soutenable et souhaitable qu'au-delà d'une nécessaire décolonisation de l'imaginaire. Il faut sortir non seulement de la mondialisation, mais encore du développement, en secouant le joug de la dictature de l'économie.

Les questions soulevées dans ce livre sont nombreuses et essentielles : Quels sont les « habits neufs » du développement ? L'économie criminelle est-elle l'avenir ou la vérité du développement ? Ne sommes-nous pas dans un processus de développement suicidaire ? Pourquoi ne pas laisser les pauvres tranquilles ? Comment répondre à l'oppression politique du développement ? Comment survivre au développement ? Y a-t-il des alternatives au développement ?


Ce que veulent - très maladroitement - dire ces auteurs (je ne partage absolument pas leur analyse, encore moins leur romantisme fantaisiste sur l'imaginaire), c'est que sous couvert de faire du développement, on va asservir ces populations. On est loin de "l'éloge de la pauvreté". Il suffit de démonter leur raisonnement, pas de travestir leurs propos.

Sur les sources intellectuelles de JB, là encore c'est partiel et JB sur Wiki permet brièvement de voir le parcours du personnage:

a écrit :
Ses sources culturelles

Il a une culture libertaire qu'il revendique pour ses actions de désobéissance civile, en citant également l'article II de la déclaration des droits de l'homme de 1789, lequel garantit le droit de résistance à l'oppression. Il cite dans ses lectures Kropotkine, Voline, Nestor Makhno, Elisée Reclus, Bakounine, Thoreau et notamment sa Désobéissance civile qui inspira Gandhi et Martin Luther King, Jean Giono, aime à parler de sa rencontre avec Lanza del Vasto, qui connut Gandhi personnellement et apprécie Louis Lecoin et Jacques Ellul[12]. Il a fréquenté Ellul de 1971 à 1973 au sein d'un groupe anarchiste non violent[13].

Il a été candidat à l'élection présidentielle française de 2007. Sa candidature a été annoncée le 1er février 2007 à la Bourse du travail de Seine-Saint-Denis suite à l'appel de 40 000 personnes en sa faveur. Malgré la difficulté et le délai très court (45 jours), il parvient de justesse à réunir les parrainages autorisant sa candidature.

José Bové est membre d'un GAEC (exploitation agricole) d'élevage de brebis pour la fabrication, en transformation directe, de fromages de brebis et de yaourts, situé à Montredon (commune de La Roque-Sainte-Marguerite, dans le département de l'Aveyron) sur le plateau du Larzac, où il s'est fait construire une maison en matériaux écologiques[14].

Il est membre fondateur, et fut porte-parole, du syndicat agricole français Confédération paysanne, syndicat qui souhaite, également, une « autre politique agricole » (dans un sens plus favorable à la petite paysannerie locale, moins sensible aux échanges — à commencer par le grand commerce international, et plus indépendante à l'égard des industries qui fournissent les matières premières ou qui consomment les produits de l'agriculture).

Il est membre fondateur d'ATTAC, membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence.

Dans son analyse de la société et du combat à mener, José Bové s'inspire de Henry David Thoreau, Gandhi et Jacques Ellul, qui se sont prononcés pour la désobéissance civile, la non-violence et la critique du système technicien.


Sur...
a écrit :je vois bien de l'acide, mais pas dans les propos de Txi, mais plutôt dans les tiens Abounouwas....on dirait que le fait de dire des vérités sur Bové provoque un écoulement de suc gastrique chez toi!


On n'a pas lu le même article, alors. Pour les malvoyants,
je cite encore Txi:

a écrit :Le mystique qui croit à la sourcellerie adhère très logiquement au mythe du savant fou.

a écrit :L’esprit de la meute subjuguée par un gourou

a écrit :Aussi ignare en histoire des idées qu’en matière d’OGM

a écrit :La haine qu’a Bové de la science



J'arrête?
abounouwas
 
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Message par luc marchauciel » 15 Mai 2008, 23:13

a écrit :Les guillemets indiquent une citation, elle doit être exacte. Donc il est indiqué ici que "Merde au pouvoir d'achat" et «laissons tranquilles les pauvres, on dépense toujours trop pour eux !» sont deux formules qui ont été écrites ou prononcées telles quelles. C'est déjà peu vraisemblable. Ensuite à qui Txi les attribue-t-il ? A Bové, au Medef ou aux décroissants ? C'est dans le flou...


Désolé de te décevoir, mais tout cela est (plus ou moins, c'est vrai) authentique

1) "Merde au pouvoir d'achat" est la couverture du journa La Décroissance n° 48 du mois d'avril 2008 :

http://www.ladecroissance.net/?chemin=anciens_numeros

Jetez un oeil à celle du numéro 23, elle est sympa aussi....

2) "laissons tranquilles les pauvres, on dépense toujours trop pour eux !» n'est par contre pas une citation exacte, et, j'en suis d'accord, il aurait fallu une intro comme "c'est comme si ils disaient bla bla bla". En fait, c'est la première partie de la phrase qui est authentique, et qui est tirée de la présentation d'un livre (4e de couverture) qui vient de sortir, et intitulé "Défaire le développement" (sympa, non, comme titre ?). Txi a en fait (sans le dire, c'est vrai...) complété ce qui me semble quand même pas mal correspondre à l'esprit du propos : "pourquoi ne pas laisser les pauvres tranquilles" [c'est de eux]... "dans la pauvreté" [c'est de moi, mais je ne pense pas trop trahir leur pensée cf la fameuse couverture du n°23...]
Ci dessous, la présentation du livre (dont le texte de Bové est extrait), pour que toutle monde puisse se faire une idée....


Défaire le développement - Refaire le monde (Broché)
de Jean-Pierre Berland (Auteur), José Bové (Auteur), François Brune (Auteur), Ivan Illich (Auteur), Collectif (Auteur)
http://www.amazon.fr/D%C3%A9faire-d%C3%A9v...d/dp/2841900959

le quatrième de couverture :
L’ère du développement fait suite à celle de la colonisation, tout comme l’ère de la mondialisation prend le relais de celle du développement. L’occidentalisation du monde et l’uniformisation planétaire se renforcent avec l’accumulation sans limite du capital sous la domination toujours accrue des firmes transnationales. La guerre économique et les inégalités ne se déploient plus seulement entre les peuples mais aussi au sein des espaces nationaux. La destruction de l’environnement est universelle. Il n’y a d’avenir écologique, culturel et politique soutenable et souhaitable qu’au-delà d’une nécessaire décolonisation de l’imaginaire. Il faut sortir non seulement de la mondialisation, mais encore du développement, en secouant le joug de la dictature de l’économie. Les questions soulevées dans ce livre sont nombreuses et essentielles : Quels sont les « habits neufs » du développement ? L’économie criminelle est-elle l’avenir ou la vérité du développement ? Ne sommes-nous pas dans un processus de développement suicidaire ? Pourquoi ne pas laisser les pauvres tranquilles ? Comment répondre à l’oppression politique du développement ? Comment survivre au développement ? Y a-t-il des alternatives au développement ?…
http://www.editions-parangon.com/f/index.p...liv&livre_id=17

le sommaire :
1 ère partie : MIRAGES ET RUINES DU DEVELOPPEMENT

Le développement, ou la corruption de l'harmonie en valeur. I. ILLICH
Le développement n'est pas le remède à la mondialisation, c'est le problème! S. LATOUCHE
En finir avec l'idéologie du progrès. J. BOVE

Chapitre I : Les habits neufs du développement

Le «développement» : habits neufs ou tenue de camouflage? G. RIST
«Développement» : Les mots qui font croire. Fr. BRUNE
Avant le développement. E. GOLDSMITH

Chapitre II : A vos risques et périls : le développement suicidaire

Le formatage sociétal par les croix technoscientifiques : le cas de l'agriculture. J.-P. BERLAN
La société épidémique, au risque de l'effondrement général es limites. Fr. LEMARCHAND

Chapitre III : L'économie criminelle : avenir ou vérité du développement?

La mondialisation criminelle. J. de MAILLARD
Mafia, crime transnational et mondialisation. U. SANTINO
Mafia et violence en Colombie. C. OYALA

Chapitre IV : Laissez les pauvres tranquilles!

Déconstruire le développement. L. YAPA
Obstacles sur le chemin d'une conversation sur la pauvreté. M. RAHNEMA
Solidarité avec les oubliés. Les ONG du Nord vues par le Sud. RAJAGOPAL

2 ième partie : ALTERNATIVES AU DEVELOPPEMENT

Le «Post It» ou l'Après de l'Après. M. SINGLETON
Que faire sur les ruines du développement? B. HOURS

Chapitre I : Retrouver le sens de la mesure

De la démesure ordinaire à la démondialisation nécessaire. M.-D. PERROT
La tyrannie du management, ou qu'y a-t-il après le développement? S. SAJAY
Rêveries à des désirs démesurés. Fr. APFFEL-MARGLIN

Chapitre II : Répondre à l'oppression politique

Réagir contre l'oppression politique du développement. N. BHAI
En réponse au développement suicidaire : l'autonomie solidaire. J.-L. BATO
Défaire le développement, refaire les mondes... kazakhs. A.-M. VUILLEMENOT

Chapitre IV : Survivre au développement

La fin de l'occidentalisation du monde? De l'unique au multiple. H. ZAOUAL
Stratégies d'acteurs de l'économie populaire : le cas de la ville de Cochabamba en Bolivie. Cl. LLENA
L'«informel» à Dakar, ou comment vivre et survivre sur les ruines du développement. S. M'BAYE
De l'autosuffisance. Fr. de RAVIGNAN

Chapitre V : Se réapproprier l'argent

Se réapproprier l'argent. S. LATOUCHE
Le «veau d'or» et l'avenir de l'humanité. T. PERNA
L'illusion et la chance. Une philosophie pour les Systèmes d'échange locaux. P. COLUCCIA
Se réapproprier l'argent, l'échange, le financement. M. DECAILLOT
Les réseaux de troc en Argentine. H. PRIMAVERA

CONCLUSION

En guise de conclusion... Fr. de RAVIGNAN
L'arbre migrateur. Fr. BRUNE





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Message par luc marchauciel » 15 Mai 2008, 23:17

a écrit :
Le mystique qui croit à la sourcellerie adhère très logiquement au mythe du savant fou.


Pour le fait que Bové et ses amis les Décroissants soient omnubliés par ls savants fous, se reporter à la couverture du numéro 43 :

http://www.ladecroissance.net/?chemin=anciens_numeros

J'arrête ?
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Message par com_71 » 15 Mai 2008, 23:23

(jeug @ jeudi 15 mai 2008 à 23:59 a écrit :
Les guillemets n'expriment pas tjs une citation.

Dans un usage correct du français, si.

Ou alors les réserves doivent être explicites : "il a dit en substance...", "je cite de mémoire..."

(Jeug a écrit :Ici, il est évident que personne n'a dit ça, tu le dis toi-même. Donc ça ne trompe personne.


C'est loin d'être évident, et, quoi que tu en penses, le texte fait croire le contraire.

J'ai dit "c'est peu vraisemblable" à partir d'un certain recul par rapport au texte. Mais si tu lis sans ce recul, tu es bel et bien trompé...
L’intérêt ne pense pas, il calcule. Les motifs sont ses chiffres. K. Marx, « Débats sur la loi relative au vol de bois » 1842.
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