(AxelPersson @ samedi 17 novembre 2007 à 13:40 a écrit :
Sur les universités, la mobilisation s'est construite sur la seule initiative d'organisations révolutionnaires. En premier lieu des organisations comme les JCR et la LCR, mais sans sous-estimer la participation de par exemple les copains de la CNT.
L'UNEF ne peut qu'accompagner le mouvement. Contrairement à la CGT, elle ne dispose pas d'une assise et implantation suffisante pour démarrer et arrêter un mouvement.
En conséquence, qu'elle appelle ou pas à la grève générale a très peu de conséquences au final sur le terrain.
La direction de l'UNEF appellera à la grève générale au moment ou elle sera en marche. Tout comme aujourd'hui elle appelle à étendre une mobilisation qu'elle n'a eu cesse de freiner et ou elle brille par son absence.
a écrit :Sur les universités, la mobilisation s'est construite sur la seule initiative d'organisations révolutionnaires. En premier lieu des organisations comme les JCR et la LCR, mais sans sous-estimer la participation de par exemple les copains de la CNT.
La mobilisation s'est construite avec les JCR et les autres, y compris la FSE, que tu ne cite pas et qui prend une part très importante dans la dynamique ainsi que la minorité de l'UNEF et nombre de non syndiqués.
a écrit :La direction de l'UNEF appellera à la grève générale au moment ou elle sera en marche. Tout comme aujourd'hui elle appelle à étendre une mobilisation qu'elle n'a eu cesse de freiner et ou elle brille par son absence.n syndiqués.
La direction de l'UNEF, à mon sens, dont le poids est très symbolique dans les AG, n'appelle à l'extension du conflit que pour tenter de rallier les tièdes dont les votes seront précieux quand il s'agira d'empêcher la généralisation du conflit. De même la CFDT n'est-elle entrée dans le mouvement des cheminots que pour en sortir, espérant créer un appel d'air et arrêter le mouvement. En vain, on le voit.