(alex @ mardi 13 janvier 2004 à 17:33 a écrit :Non Vilenne je ne suis pas à la LCR.
Ni Mael ni moi n'avont demandés la liste des militants mais simplement leur nombre puisqu'au dernier congrès le nombre des adhérents a, lui, été communiqué !
Parler de protection de l'orga au sujet de cette question ...alors qu'à ma grande surprise LO a diffusé il y a quelques années les NOMS DE SES DIRIGEANTS.
Si je reconnais bien volontier que les règles de LO ne regardent qu'elle, je constate que l'on peut la rejoindre QUE sur ces bases là et que pour cela il faut d'abord les connaitrent comme l'avait exprimé Arlette à la TV.
Pour ma part j'ai toujours été très méfiant vu l'expérience désastreuse qu'on connu
des dizaines de milliers de militants du PCF qui y ont consacré leur vie et qui ont été trompés; ce qui me freine c'est que je ne veux pas vivre la même mésaventure et je suis donc très exigeant.
Quand on veut rejoindre une organisation, c'est que sa politique, son orientation mais aussi l'activité que l'on en voit nous intéresse.
Dans ce cas, on contacte ladite organisation et on voit ce que l'on peut faire avec elle. Il est bien entendu que quand on s'engage, on veut savoir à quoi, sur quoi, c'est tout à fait normal.
Sur les forums politiques cohabitent des ennemis politiques, d'autres faux amis, frères malveillants et bien entendu aussi bienveillants. Ce n'est donc pas le lieu que va choisir pour se renseigner à ce niveau celui qui se pose le problème de faire un bout de chemin avec nous. Par contre, il en profitera pour essayer de mieux connaître ce que nous disons sur tel ou tel sujet. Là, il se heurtera éventuellement aux limites de notre compétence. S'il est vraiment intéressé par une réponse officielle, il posera sa question à [url=mailto:contact@lutte-ouvriere.org]contact@lutte-ouvriere.org[/url] et il verra bien ce que l'on lui répondra. Mais j'espère que la personne qui veut défendre les idées révolutionnaires ne fait pas des effectifs d'une organisation le critère absolu. Si les trotskystes existent encore aujourd'hui dans de nombreux pays, c'est par la qualité de leur programme que des mini-organisations (parfois moins de 10) ont essayé de défendre dans la limite de leurs moyens.